L'UNPI part d'un constat simple : suite à la crise financière et économique, le nombre de loyers impayés a fortement augmenté, et le fonds consacré à la GRL risque d'être beaucoup sollicité à l'avenir.
De plus, l'augmentation du risque entrainerait une hausse des primes, ce qui risque de réduire le nombre de propriétaires désirant souscrire une assurance GRL. L'argument principal de l' UNPI est que le taux d'effort admis (jusqu'à 50 % des revenus du locataire) est beaucoup trop élevé. Ce taux d'effort élevé a pour conséquence qu'un faible nombre d'assureurs souhaitent proposer ce contrat.
Enfin, l'UNPI préconise de limiter la Garantie des Risques Locatifs « à l'aspect des loyers impayés », les éventuels frais de dégradation relevant d'une autre assurance, « librement contractée par le bailleur ».
L'UNPI espère que ces propositions seront entendues, à la fois dans l'intérêt des propriétaires qu'elle représente, et dans celui de l'Etat à qui les défauts de l'actuel système et la situation économique risquent de coûter cher.
Constructeurs de maisons individuelles dans l'Aube
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