26 septembre 2014

Un nouveau système d’information au cœur de la stratégie immobilière de SCOR Global Investments

SCOR Global Investments, accompagné par le cabinet de conseil Artimon, a choisi de s’équiper de la solution GlobalAsset de Taliance : une plateforme d’analyses et de projections financières pour la gestion d’actifs immobiliers.

SCOR Global Investments (« SGI ») gère le portefeuille d’investissement d’entités du Groupe SCOR, cinquième réassureur mondial, qui représente plus de 15 milliards d’euros d’actifs.

Plusieurs facteurs ont amené SGI à revoir son système d’information de gestion des fonds immobiliers : d’une part, la volonté d’avoir une solution efficace pour répondre aux exigences de reporting des nouvelles réglementations telles que AIFMD ou encore Solvency II, d’autre part, l’objectif d’optimiser les processus d’investissement et de gestion des risques immobiliers dans le cadre de la politique de qualité très rigoureuse du groupe SCOR.

Marie-Elisabeth du CHAYLA – SCOR Global Investments
« Nous avons consulté un certain nombre d’éditeurs de logiciels, Taliance offrait la solution la mieux adaptée à notre métier. Nous avons été convaincus par leur plateforme GlobalAsset qui permet de centraliser les données immobilières et de bénéficier de la complémentarité des logiciels FinAsset et GlobalFund afin de générer des prévisions et analyses financières détaillées en temps réel » souligne Marie-Elisabeth du CHAYLA, Finance & Administration Manager au sein du département Immobilier de SGI.

Aujourd’hui, l’ensemble des fonds immobiliers de SGI ont été modélisés avec succès. Les équipes de gestion d’actifs peuvent ainsi automatiser les calculs d’analyse et de simulation de la performance des véhicules d’investissement au niveau de chaque actif, du portefeuille ou du fonds. Ces résultats sont utilisés afin d’optimiser et d’accélérer les processus de gestion, de prévision et d’arbitrage pour plus d’efficacité dans chacune des étapes de prise de décision, notamment dans le cadre du comité d’investissement.

« Cette automatisation des processus métiers a été possible grâce à la mise en place préalable d’un datawarehouse et de l’environnement de synchronisation des données de Taliance. Nous sommes ainsi capables d’agréger les informations de back-office provenant de sources multiples, de les centraliser et de les mettre à disposition des services de front-office en temps réel » affirme Laurent GUERAUD, Global SGI IT Manager.

« Grâce à ces évolutions, nous sommes en ordre de marche pour nous conformer aux nouvelles réglementations. Nous sommes en effet capables, grâce à la solution Taliance, d’extraire l’ensemble des informations nécessaires aux reportings réglementaires et d’en assurer la traçabilité » ajoute Marie-Elisabeth du CHAYLA. La société Artimon a accompagné SGI dans l’assistance à maîtrise d’ouvrage et la gestion de projet, en collaboration avec les équipes de Taliance.

« Au-delà de l’aspect technique, ce projet a été l’occasion de mener une réflexion plus globale sur les besoins des sociétés de gestion, leur métier, les processus internes à mettre en place mais également de poser les premiers jalons pour le développement de processus transversaux nécessaires à une meilleure intégration dans le groupe » déclare Laurent SAGLIETTO, Manager d’Artimon.

À propos de Taliance :
Taliance (www.taliance.com) est l’éditeur de la première plateforme d’analyse financière développée tout particulièrement à destination des professionnels de l’immobilier et du marché de l’investissement alternatif. La plateforme de l’entreprise met à disposition des services de prévision, d’analyse et de modélisation financière, ainsi que toute autre interaction dynamique entre le front-office et le middle-office en temps réel. Au total, ce sont 200 milliards de dollars d’actifs qui sont gérés avec ces solutions. Plus de 100 clients ont fait appel à Taliance afin d’optimiser les performances de leurs portefeuilles d’investissements alternatifs internationaux dans plus d’une 15aine de pays. Parmi nos clients, nous pouvons citer AXA REIM, BNP Paribas REIM, Grosvenor, Canada Life, Hammerson, HSBC REIM, Generali Real Estate, Harrison Street, SCOR Global Investments, ou encore, Cordea Savills. Outre son siège social à Paris, la société Taliance est présente à Londres.

A propos de SCOR Global Investments :
SCOR Global Investments (« SGI ») est la société de gestion de portefeuille du groupe SCOR créée en 2008. Régulée depuis mai 2009 par l’Autorité des marchés financiers (« AMF »), SGI fournit une gamme de services de gestion de portefeuille aux entités de SCOR et à des clients institutionnels. SGI est composée d’une soixantaine d’experts disposant de compétences diverses. Fort d’une expertise importante en termes de classes d’actifs et de zones géographiques couvertes, SGI est spécialisé dans différents domaines : taux, crédit, actions et multigestion, immobilier, infrastructure et insurance-linked securities.

À propos d’Artimon :
Artimon est un cabinet de conseil en management et organisation indépendant. Nos équipes fondent leurs interventions sur la mise en cohérence des différents leviers de performance : stratégie, organisation des fonctions et processus, systèmes d’information, mode de management et dispositifs de pilotage. Depuis 1995, Artimon a réalisé plus de 650 missions chez près de 150 clients, dont un tiers de son activité dans le secteur immobilier. Nos consultants allient l’expertise des projets de transformation et des savoir-faire métiers développés sur nos domaines d’excellence : Immobilier mais aussi Finance et Gestion, Médias, Transports, Assurance et Santé, Secteur Public, Achats et Logistique, RH et Conduite du Changement, Efficacité commerciale, Systèmes d’Information.




www.moto-quad.info

24 septembre 2014

Cautionnement bancaire immobilier : Des pratiques sujettes à caution

A la veille des premiers jugements relatifs à l’assurance emprunteur, l’UFC-Que Choisir dénonce ce jour un nouveau scandale bancaire sur un autre marché lié au crédit immobilier : le cautionnement. Face aux graves dysfonctionnements concurrentiels, l’association saisit l’Autorité de la Concurrence et appelle le Législateur à l’action.

Le cautionnement bancaire : un marché créé et trusté par les banques

Le cautionnement est devenu depuis 10 ans la première des garanties (56% des garanties en 2012), avant l’hypothèque et le privilège du prêteur de deniers, exigées par les banques pour accorder un crédit à leurs clients. Or, non seulement les banques dirigent les clients vers le cautionnement, mais pire, elles imposent leur(s) organismes(s) de cautionnement aux clients emprunteurs. Le choix se limite ainsi, au mieux, entre la filiale possédée en commun par les banques, le Crédit logement, et la filiale exclusive de la banque, dite « captive »(1) ! Conséquences : outre un marché tenu à 95% par les banques, cette pratique de concurrence en silo empêche les clients de tirer parti du grand écart tarifaire constaté entre organismes : par exemple, la caution CMH du Crédit Mutuel est 2,5 fois moins chère que celle de la CAMCA du Crédit Agricole.

Jusqu’à 45% de marges accaparées par les banques

Cette concurrence sclérosée aboutit à des marges extrêmement importantes. Chez les « captives », la rentabilité déjà élevée (environ 20% de bénéfices nets) s’accompagne d’un commissionnement des « partenaires » bancaires (20% supplémentaires), disproportionné dès lors que le travail du conseiller se limite à quelques clics. Plus grave, le Crédit Logement, lui, mutualise les pertes et privatise les bénéfices, ce qui lui permet d’afficher une rentabilité nette de près de 45%. L’argent des clients déposés dans son Fonds Mutuel de Garantie paie l’intégralité des défauts, mais les intérêts de ce Fonds très riche (3,9 milliards d’euros en 2013), au lieu de compenser les pertes, sont conservés par le Crédit Logement. Autant d’argent qui ne revient pas aux clients en fin de crédit, conservés par les actionnaires banquiers, qui récupèrent, eux 95% des bénéfices.

Plus de 200 millions de pouvoir d’achat économisable

Juteux pour les banques, les errements du cautionnement bancaire pénalisent fortement les consommateurs. Sur ce marché de 520 millions d’euros par an, l’instauration d’une véritable concurrence permettrait, simplement en allant vers l’acteur actuellement le moins cher, de dégager, 210 millions d’euros par an, soit une réduction de près de 41% de la facture globale… et 560€ d’économies par dossier de crédit. En poussant plus loin la concurrence et en réduisant les marges, l’économie réalisable passerait à 270 millions d’euros par an en moyenne.

Décidée à assainir le marché et dynamiser effectivement la concurrence au service des consommateurs, l’UFC-Que Choisir passe à l’action et:

Saisit, pour avis, l’Autorité de la Concurrence
Demande au Législateur :

- l’officialisation d’une liberté effective de choix pour les consommateurs de leur organisme de cautionnement bancaire

- la réintégration des intérêts produits par les Fonds Mutuels de Garantie, l’automaticité du reversement et la transparence du mode de calcul de ce reversement.

Retrouvez l'étude et les propositions de l'UFC-Que Choisir sur le thème "Cautionnement bancaire immobilier : des pratiques sujettes à caution"

(1) CEGC pour la Caisse d’Epargne, CMH pour le Crédit Mutuel, CAMCA pour le Crédit Agricole…




www.fontemour.com

23 septembre 2014

EUROPE ASSET crée l'événement au Salon Patrimonia

Les 25 et 26 septembre 2014, EUROPE ASSET présentera en exclusivité au Salon Patrimonia, sur son stand E54, trois nouvelles solutions innovantes de placement financier :

EUROPE ASSET PATRIMOINE : un fond accessible à tous dans les contrats d'assurance et comptes titres, offrant une forte protection du capital avec un objectif de performance de 7%* net par an.
EUROPE ASSET PREMIUM : un certificat d'investissement immobilier, coté en bourse, ayant un objectif de rentabilité de 8,75%* net par an.
EUROPE ASSET ACCES : un certificat d'investissement de trésorerie, coté en bourse, ayant un objectif de rentabilité de plus de 10%* net par an.
EUROPE ASSET lancera le CLUB EUROPE ASSET destiné à faciliter le business des professionnels du patrimoine et à les faire entrer dans l'ère du numérique 2.0.

EUROPE ASSET animera un Atelier sur le thème "la classe d'actif des devises au service de la gestion alternative" le vendredi 26 septembre à 14h.

* Ceci est un objectif de rendement et ne représente en aucun cas une garantie de performance.

A propos

EUROPE ASSET est un créateur de services dédiés aux CGP, courtiers et CIF et un créateur de solutions de diversification du patrimoine des investisseurs :

Fonds Europe Asset Patrimoine : ISIN n° LU1075236775
Certificat d'investissement Europe Asset Premium* : ISIN n° DE000A1ZLJ26
Certificat d'investissement Europe Asset Access* : ISIN n° DE000A1ZLCV2
* ces deux certificats s'adressent exclusivement aux Prestataires de Services d'Investissement (PSI) gestionnaire pour compte de tiers.

EUROPE ASSET est implanté en France, Allemagne, Suisse, Belgique, Luxembourg, Autriche... A découvrir sur www.europe-asset.com.

EUROPE ASSET sera présent au salon Patrimonia les 25 et 26 septembre à Lyon (stand E54) et animera un atelier sur "la classe d'actifs des devises au service de la gestion alternative".




oxya-nettoyage.com

Les propositions de l’UNPI pour une politique de sortie de crise du logement

L’UNPI qui s’est réunie à Tarbes le 19 septembre pour son 102ème Congrès en présence des représentants des propriétaires de l’ensemble de la France, présente ses propositions pour restaurer la confiance des investisseurs.

Par la voix de son président Jean PERRIN, la Fédération souhaite alerter les pouvoirs publics sur les axes suivants :

- Réglementation des loyers
Indépendamment de sa complexité caricaturale, le corset législatif mis en place par la loi Alur du 24 mars 2014 est inutile, car la tendance est à la baisse des loyers. Dans ces conditions, la réglementation des loyers mise en place par la loi Alur peut être supprimée sans difficulté, d’autant plus qu’un décret encadre toujours l’évolution des loyers, en plafonnant pour l’essentiel la hausse à la variation de l’indice, dans 28 agglomérations.
Proposition n°1 : supprimer la réglementation des loyers de la loi Alur

- Rapports locatifs
Ils se caractérisent en France par une très grande complexité et un déséquilibre flagrant des règles applicables aux bailleurs et aux locataires. Est-il vraiment nécessaire que ce droit soit minutieusement réglementé dans ses moindres détails, que le chèque de réservation soit interdit, que deux nouveaux diagnostics soient créés (amiante, électricité) par la loi Alur en plus de ceux existants déjà (DPE, plomb, état des risques naturels et technologiques), que des contrats type soient imposés, ou que les règles pour les locations meublées soient considérablement durcies alors qu’à l’évidence ce type de location doit répondre à un minimum de souplesse… ? Est-il vraiment équitable d’interdire toute clause pénale en cas de retard de paiement du loyer, alors que parallèlement le bailleur est fortement sanctionné en cas de retard dans la restitution du dépôt de garantie (10 % du loyer mensuel pour chaque période mensuelle commencée en retard) ? Est-il légitime de faire supporter aux bailleurs privés le poids de la solidarité nationale, en refusant dans de nombreux cas d’exécuter les décisions judiciaires d’expulsion ?
Proposition n°2 : réformer, équilibrer et simplifier les rapports locatifs

- Copropriété
Sous le prétexte de mieux informer les acheteurs, la loi Alur (article 54) a rendu extrêmement complexe la signature des promesses de vente en multipliant le nombre des documents à fournir à l’acquéreur. Compte tenu de la sanction très grave pour les notaires (le délai de rétractation ne court pas si tous les documents ne sont pas fournis), de nombreuses transactions sont actuellement arrêtées, les parties étant dans l’incapacité de signer un avant-contrat dans un délai raisonnable.
Proposition n°3 : simplifier le droit applicable aux transactions de lots de copropriété, pour donner à nouveau une fluidité au marché

- Baux commerciaux
La loi Pinel du 18 juin 2014 instaure un « plafonnement du déplafonnement », en limitant à 10 % par an les augmentations en cas de déplafonnement du loyer (déjà sévèrement contrôlé par le juge). Or, ces hausses peuvent être importantes car, dans ce cas, le loyer est considérablement sous-évalué depuis de nombreuses années. Les nouvelles règles vont générer des rentes de situation au profit des locataires en place, au détriment de ceux qui cherchent à installer une nouvelle activité et qui devront payer leur droit au bail plus cher.
Par ailleurs, la loi Pinel bouleverse l’équilibre économique des contrats en cours en changeant la liste des charges et impôts qui ne peuvent être imputés aux locataires.
Proposition n°4 : supprimer le « plafonnement du déplafonnement » et limiter les nouvelles règles relatives aux charges et impôts aux nouveaux baux hors renouvellement

- Fiscalité
En matière de fiscalité, une proposition choc s’impose pour relancer un secteur immobilier locatif sinistré; elle peut concerner l’ISF, les droits de succession, les taxes foncières…
La pression fiscale sur le parc existant doit baisser.
Proposition n°5 : exonérer d’ISF et de droits de succession les logements neufs ou anciens loués à un tiers

Jean PERRIN considère que des mesures d’urgence sont indispensables pour relancer un secteur clé pour l’économie de notre pays. Les préoccupations des propriétaires sont fortes tout comme leurs attentes pour retrouver la confiance perdue. La complexité des règles et leur caractère déséquilibré sont une cause majeure de découragement. Il faut y remédier pour permettre un redémarrage du secteur locatif privé.

L’UNPI, est une Fédération nationale, présidée par Jean Perrin, seule représentante des propriétaires immobiliers privés dont elle défend les intérêts. Elle œuvre pour la promotion du droit de propriété face à une législation virulente et une fiscalité écrasante. Interlocuteur connu, reconnu et écouté, l’UNPI rassemble 250 000 adhérents, à travers son réseau de 120 chambres syndicales de propriétaires, présentes sur l’ensemble du territoire.

www.unpi.org




www.domaine-de-marseillens.com

17 septembre 2014

Honoraires de location : Les locataires font les frais du lobby des professionnels !

Alors que l’encadrement des loyers et la GUL passent à la trappe, que les décrets sur les syndics se font toujours cruellement attendre, l’UFC-Que Choisir dénonce aujourd’hui l’entrée en vigueur, ce jour, d’un décret qui vide grandement de sa substance un autre volet de la Loi ALUR : les frais d’agences en matière de location. Ce décret, qui fixe les montants maximum - en euros et par m2- des « frais d’agence » dus par le locataire fait s’envoler l’objectif ambitieux énoncé par le Législateur de « diviser les frais au moins par deux ».

En effet, selon notre étude de 500 annonces actuelles d’agences immobilières(1) , les plafonds retenus incluant l’état des lieux (désormais payant !) - 15€/m2 bassin parisien, 13 pour les autres grandes agglomérations et 11 dans le reste du territoire - sont, au mieux, une avancée économique relative, et, au pire, un total reniement de baisser les frais d’agences.

Le plafond de 15 € pour le bassin parisien ne permettra de faire baisser le prix de moitié qu’à Paris, et encore pas pour toutes les surfaces. Dans les autres agglomérations c’est encore pire : les plafonds sont supérieurs aux prix actuellement pratiqués. Ainsi, une agence qui met à bail un logement de 30 m² à Aix-en-Provence facture 374 € au locataire, soit 12,3 € /m2, moins que les 13 euros du décret. De même, à Dijon, pour un 20m2, le montant actuel de 10€/m2 est aussi en deçà des 11 euros. Avec des plafonds supérieurs à la réalité du marché, il existe donc un vrai risque inflationniste pour les zones tendues et détendues.

Après les victoires judiciaires de l’association ayant fait condamner pour pratiques illicites des agences immobilières ayant facturé des honoraires de location prohibitifs (environ un mois de loyer), le décret « frais d’agences » transforme donc le succès législatif de la loi ALUR d’encadrer strictement ces honoraires, obtenu de haute lutte, en victoire à la Pyrrhus.

La déception des consommateurs est donc aujourd’hui à la hauteur de l’attente : forte. Faut-il à nouveau rappeler que l’essentiel des services des agences immobilières servent les intérêts du seul bailleur qui les mandate? Le blanc-seing donné au décret, durant l’été, par le conseil national de la gestion et de la transaction immobilière (CNGTI) n’est guère étonnant dans la mesure où cette instance est majoritairement composée de professionnels, qui ne cessent de combattre les avancées de la loi ALUR. En vue de diviser par deux les honoraires, il aurait fallu maintenir les plafonds de 12, 8 et 4 euros évoqués dans un premier temps par le Ministère.

Au vu de ces éléments, et soucieuse de garantir l’effectivité d’une Loi qu’elle a soutenue et saluée, l’UFC-Que Choisir demande aujourd’hui au gouvernement:

de réviser rapidement, après une étude exhaustive du marché, les plafonds du décret pour respecter la volonté du Législateur d’une division par deux des frais d’agence des locataires.
d’ouvrir une consultation large, au-delà du CNGTI, sur les futurs décrets d’application de la loi ALUR qui se font encore attendre.


(1) Prix pratiqué par les agents immobiliers sur la base de 500 références (annonces immobilières) représentatives de chacune des zones concernées par le décret.




www.ifts-sls.com

10 septembre 2014

Covéa Immobilier signe la charte Plan Bâtiment Durable

Covéa Immobilier a signé la charte Plan Bâtiment Durable pour l'efficacité énergétique des batiments tertiaires publics et privés et du bien-être des utilisateurs de ses locaux

Cette signature s’inscrit dans le cadre d’une démarche ambitieuse d’amélioration de la performance énergétique et environnemental du parc immobilier entreprise par Covéa depuis de nombreuses années.

Déjà en 2011 Covéa Immobilier avait réalisé la cartographie énergétique du patrimoine immobilier de placement tertiaire et résidentiel, soit plus de 620 000m² qui ont fait l’objet d’un audit énergétique et préconisations de travaux.

Depuis, l’engagement de Covéa Immobilier en matière environnementale s’est traduit notamment par de nombreuses initiatives de :

Rénovations :

A Paris, 3 rue Meyerbeer (1 300 m² – label BBC), 12 rue Magellan (1 500 m² certifié BREAM), et 24 rue de Prony (4 000 m² – certifié HQE et BREAM),
à Saran (10 000 m² – projet de labellisation BBC et ISO 50001)
à Strasbourg, l’immeuble du Wacken (12 000 m² – label BBC).
Construction : bâtiment HQE, BBC et BEPOS de 5 000m² à Niort (79)
Trois grands projets de restructuration sont également en cours de programmation à Paris. Ils viseront des certifications HQE et BREAM de haut niveau.

« Conscients des enjeux du développement durable pour l’immobilier d’aujourd’hui et de demain, nous témoignons ainsi de notre engagement en faveur de la réduction des consommations d’énergie sur les immeubles de notre parc. La signature de cette charte contribue au projet d’entreprise responsable porté par le groupe Covéa », souligne Loïc Lecallo, directeur de Covéa Immobilier.

Chiffres clés de Covéa Immobilier :

Créé en janvier 2011, Covéa Immobilier mutualise les moyens et savoir-faire des trois enseignes MAAF, MMA et GMF dans le domaine de la gestion des immeubles de placement ou les immeubles d’exploitation.

A fin 2013, le patrimoine d’immeuble de placement détenu par le groupe Covéa est composé de 239 immeubles représentant 726 000 m². La gestion des immeubles de placement est réalisée sur l’ensemble du territoire français dont 98 % des surfaces sont situées à Paris et région Parisienne. Covéa Immobilier gère également les différents sièges sociaux et les sites en région de MAAF, MMA, GMF et les agences commerciales des enseignes MAAF et GMF. Plus de 1000 sites d’exploitation sont ainsi gérés par Covéa Immobilier.

Covéa Immobilier regroupe 330 collaborateurs.




www.fontemour.com