29 février 2016

Immobilier de prestige : Paris reste incontournable pour les étrangers

Face à la toute-puissance de Londres et New York, la capitale française résiste et conserve une place de choix dans le cœur des investisseurs internationaux, notamment en raison de ses prix, moins élevés et qui ont récemment baissé : ils ont perdu en 4 ans environ 15% pour les biens d’une valeur supérieure à 1 million d’euros et jusqu’à -25% pour les biens supérieurs à 4 millions d’euros.

Un marché sain et sécurisant
Contrairement aux autres grandes capitales, Paris ne subit pas de variations majeures à la hausse ou à la baisse, aucun risque de bulle ne se profile, les règles qui caractérisent son marché ne sont pas spéculatives et ne dépendent ni de la Bourse, ni d’excès de construction.

L’année 2015 marque la reprise du marché immobilier en nombre de ventes (+ 20% globalement). La conjoncture économique et fiscale moins floue, des conditions de taux d’intérêt faibles et des prix mesurés ont permis ce regain d’activité. Dans ce contexte, 2016 se présente au mieux et le début d’année s’annonce déjà sur une tendance toujours positive.

Même si certains phénomènes politico-économiques risquent de perturber le marché s’ils devaient s’accentuer (chute des prix du pétrole entrainant la fragilisation des clients du Golfe, attentats, etc.), Paris reste l’une des régions les plus attractives au monde ; y investir dans l’immobilier demeure une valeur sûre.

L’exceptionnel séduit
Presque tous les segments de marché sont concernés par cette reprise et même les biens d’exception ont bénéficié du retour de certains étrangers (Américains, Sud-américains, ressortissants du Moyen- Orient, Pays de l’Est, Chinois…).

2015 a vu le retour d’une clientèle, de plus en plus fortunée, avec des budgets souvent supérieurs à 10 millions, voire au-delà de 20 millions d’euros. Les clients, d’origine chinoise, singapourienne, indonésienne, mais aussi malaisienne, sont de plus en plus nombreux à souhaiter réaliser des investissements immobiliers à Paris, symbole d’un art de vivre et de la qualité de la pierre.

Les biens recherchés par cette clientèle sont des hôtels particuliers ou des maisons contemporaines, situés dans les 6°, 7e, 8e et 16e arrondissements et vendus dans une fourchette de prix comprise entre 8,5 et 15 millions d’euros. Seul bémol, ces biens sont rares et n’offrent pas toujours les critères de confort, de services et d’équipements auxquels est habituée la clientèle internationale haut de gamme. Paris doit aussi soigner son image du luxe et du prestige dans l’immobilier.

Les nouvelles normes prudentielles pourraient-elles pénaliser la distribution de crédits immobiliers aux particuliers ?

Les Fédérations professionnelles LCA-FFB, FNAIM, FPI, souhaitent alerter les Pouvoirs publics sur les conséquences que de nouvelles normes prudentielles pourraient avoir sur la relance du logement en France.

Le Comité de Bâle prépare actuellement une nouvelle recommandation sur le risque de crédit. Si elle était adoptée en l’état, cette norme reviendrait à pénaliser la distribution de crédits immobiliers aux particuliers avec peu ou sans apport, qui caractérisent tout particulièrement les primo-accédants aux revenus modestes et les jeunes ménages. Les opérations locatives en défiscalisation sans apport seraient également concernées.

Cette recommandation consisterait à accroître la pondération des fonds propres requis pour ces financements et pourrait dissuader les établissements financiers à les distribuer du fait des surcoûts entraînés.

Cette recommandation du Comité de Bâle peut par ailleurs apparaître paradoxale au regard du niveau très faible du taux d’impayés et de sinistres en France, y compris en temps de crise, comme en attestent les chiffres figurant dans les différents rapports de l’ACPR et dans les bilans de la SGFGAS (Société de gestion du Fonds de Garantie de l’Accession Sociale).

Aussi, les Fédérations professionnelles signataires invitent instamment les Autorités françaises à soutenir la spécificité du financement du logement en France afin qu’il ne soit pas pénalisé par ce projet de recommandation du Comité de Bâle.

Cette particularité française se base sur une analyse des banques fondée principalement sur la capacité de remboursement de l’emprunteur et non sur la valeur du logement financé provenant de modèles de financement plus anglo-saxons. Il en va de la poursuite d’une relance durable du logement, indispensable pour satisfaire les besoins en logement de nos concitoyens et pour la reprise de l’économie ainsi que celle de l’emploi.

26 février 2016

Passer du commerce de proximité à l’immobilier, il suffit de sauter le pas

Poursuivant son développement dans la région PACA ERA Immobilier ouvre une nouvelle agence à Saint-Saturnin-lès-Avignon (84)

ERA Immobilier est l'un des plus importants réseaux de franchise d'agences immobilières dans le monde. Présent dans près de 34 pays, il emploie plus de 32 000 collaborateurs dans plus de 2 300 agences. En Europe, le réseau est présent dans 14 pays avec 1 100 agences. Bénéficiant de l'image de professionnels exigeants que le réseau a su imposer, ERA Immobilier compte aujourd’hui plus de 380 agences ouvertes sur l’ensemble du territoire et poursuit, mois par mois, son développement.

Sur cette lancée, Rachel LINDO, vient d’ouvrir son agence au sein du réseau ERA Immobilier située à Saint-Saturnin-lès-Avignon dans le Vaucluse.

« Je suis issue d’une famille de commerçants et j’ai exploité plusieurs boutiques en commerce de proximité. J’ai appris ce nouveau métier par l’envie d’accompagner mes clients sur leurs projets de vie, j’ai donccollaboré au sein de plusieurs réseaux d’agences immobilièresen tant que négociatrice avant de rejoindre ERA Immobilier en Janvier 2016.

Rencontré lors du Salon de la Franchise de Marseille, c’est le côté dynamique et l’accompagnement proposé en termes de management qui m’ont convaincue. De plus, il existe une vraie solidarité entre les agences du réseau ERAImmobilier, ce que je n’avais pas ressenti lors de mes précédentes expériences professionnelles. »

Située à Saint-Saturnin-lès-Avignon, l’agence ERA LINDO CONCEPT IMMOBILIER est composée d’une équipe de 4personnes. L’agence inclut dans ses prestations d'achat-vente, toute une panoplie de services concrets et originaux qui font le succès de la marque : multi-expertise, plan d’actions marketing, etc.Toujours au service de ses clients pour faire aboutir leurs projets.

ERA LINDO CONCEPT IMMOBILIER – 96 Avenue de la Rétanque,
84450 Saint-Saturnin-lès-Avignon
Ouvert du lundi au samedi de 9h à 18h

Le Groupe Gambetta lance 38 nouveaux logements

Au 650 boulevard Honoré Teisseire, à La Colle-sur-Loup, le Groupe Gambetta va construire la résidence « Cœur Village », qui comprendra au total 38 logements.

38 logements en accession et en location sociale
Voisine de Saint Paul de Vence et de Villeneuve Loubet, la résidence profite de ce cadre exceptionnel avec une nature préservée. Les 38 logements sont répartis entre 6 maisons de 3 et 4 pièces et de 3 petits immeubles allant du studio au 4 pièces dont 12 sont destinés à la location sociale.

La résidence s’organise autour d’une placette aménagée, piétonne, grâce aux parkings exclusivement en sous-sol. Par ailleurs, « Cœur Village » permettra de mieux maîtriser les consommations d’énergie avec la certification thermique BBC 2005.

Les 26 logements à l’accession sont proposés :
- A partir de 129 000 € pour un studio
- A partir de 134 000 € pour un T2
- A partir de 243 000 € pour un T3
- A partir de 349 000 € pour un T4
- A partir de 301 000 € pour une villa T3
- A partir de 408 000 € pour une villa T4

Concernant le chantier, les travaux devraient débuter à l’automne 2016 pour une livraison au cours du 1er trimestre 2018.

La Colle-sur-Loup, un village provençal vivant et agréable à vivre

Niché entre Nice et Antibes, le village de La Colle-sur-Loup offre une qualité de vie et un charme indéfinissable. Ses trésors architecturaux, ses ruelles piétonnes, ses vieilles pierres mais également ses équipements modernes nécessaires à la vie de tous les jours, lui confère un statut unique où confort rime avec sérénité.

Idéalement située à deux pas de la place du marché et du stade, la résidence « Cœur Village » s’intégrera dans le prolongement du vieux village grâce à son architecture provençale et sa conception à dimension humaine.

25 février 2016

15 291 m² de bureaux réhabilités par OGIC , futur siège social mondial de Sephora

Spécialiste des réhabilitations de sites historiques, OGIC est également reconnu pour ses rénovations d’immeubles de bureaux. Fort de cette notoriété, l’entreprise s’est vue confier la restructuration d’un immeuble de 15 291 m² de bureaux à Neuilly-sur-Seine, 41 rue Ybry. L’immeuble sera le prochain siège de Sephora. Les travaux, débutés en janvier 2016, se termineront au 1er trimestre 2017.

« Les différentes opérations en cours permettront d’améliorer sensiblement les performances énergétiques du bâtiment et vise une double certification "BREEAM " et "NF Bâtiment Tertiaire – Démarche HQE Rénovation" », souligne Emmanuel Launiau, Président du directoire d’OGIC.

Construit entre 1970 et 1972, l’immeuble se compose de deux bâtiments de 6 et 8 étages, avec un rez-de-chaussée et de trois niveaux en sous-sol. Un espace recevant du public, indépendant de l’immeuble, se situe au 1er sous-sol. Il a connu une première restructuration lourde dirigée par l’architecte Carlo Maria Natale en 1997. Il s’agissait, à l’époque, de créer un espace d’accueil pour le public au niveau -1, un parking souterrain de 273 places sur 2 niveaux. La façade et la verrière sur l’atrium avaient également été rénovées.

Une réhabilitation lourde
Avant l’installation de Sephora, l’immeuble va connaître une nouvelle vie après des travaux portant sur :
- l’optimisation du hall et des accès avec la création de puits de lumière, apportant un éclairage naturel plus confortable pour les utilisateurs de l’immeuble,
- l’optimisation des espaces de travail,
- l’amélioration de la performance énergétique,
- l’amélioration de sa conformité, notamment l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite.
- la rénovation de la façade avec le remplacement des menuiseries et le nettoyage du parement en pierre.
- la transformation de l’ancien restaurant inter-entreprises en un espace agora avec une cafeteria.
- la création de places réservées au covoiturage et d’autres pour les véhicules électriques dans le parking
- la création d’un local vélos au niveau du rez-de-chaussée.

OGIC, un spécialiste de la réhabilitation de bureaux
OGIC a déjà à son actif plusieurs opérations de réhabilitation comme « Le Phénicien », 7 500 m² de bureaux à Boulogne-Billancourt livrés à la fin de l’année, ou encore « Seine Panorama », un ensemble de 15 000 m² de bureaux dans le 15e arrondissement qui a été cédé à LaSalle Investment Management. Il est également l’auteur de la réhabilitation de bâtiments historiques comme l’hôpital Richaud à Versailles (78) et de celle des anciennes prisons Saint-Joseph et Saint-Paul à Lyon (69).

OGIC réalise en parallèle des immeubles de bureaux neufs. A Paris, il a lancé « Bercy Crystal », 14 550m² de bureaux dans le quartier de Bercy. Il a également réalisé à Boulogne-Billancourt, pour le compte de l’assureur AG2R La Mondiale, Up West, un immeuble neuf de 7 000 m² de bureaux, dans lequel il a notamment installé son siège. Cet immeuble est certifié "NF Bâtiment Tertiaire - Démarches HQE" et "BREEAM ".

Le Groupe Gambetta renforce ses équipes

Spécialiste de l’accession à la propriété sociale, le Groupe Gambetta poursuit son développement sur l’ensemble du territoire. Norbert Fanchon, Président du Directoire du Groupe, annonce avoir recruté de nouveaux profils dans l’ensemble de ses agences. Ces nominations sont effectives depuis le 1er janvier 2016.

Alexandre Martel, en qualité de Responsable du Développement Ile-de-France. Diplômé de l’ESC Toulouse, Alexandre Martel débuta sa carrière au sein d’Expansiel Groupe Valophis avant de rejoindre Bouygues Immobilier comme Responsable du Développement Hauts-de-Seine Nord.

Aurélie Pons, a intégré le Groupe en qualité de Responsable de Programmes à Marseille. Précédemment, elle était en poste comme Responsable de Programmes Immobiliers pour Vinci Immobilier sur Aix-en-Provence.

Kristell Trichereau, est, quant à elle, la nouvelle Responsable de Programmes à Nantes. Elle occupait déjà ce poste pour REALITES Promotion à Saint-Herblain (44).

Dans le même temps, le Groupe Gambetta réalise les promotions internes suivantes :
Pascal Auzenat, est nommé Responsable de l’agence de Tours. Il a rejoint l’équipe de promotion en Ile-de-France du Groupe Gambetta en 2010, avant de devenir Directeur de Programme à Tours.

Laurent Dorne, devient, quant à lui, Directeur du Développement de l’agence de Marseille. En complément de la maîtrise foncière, il est Responsable de l'équipe programme de cette même agence.

Laurent Lis occupe désormais le poste de Directeur de Programmes au sein de l'agence de Nice. Tous deux sont sous la direction de Richard Molinié, Directeur Général de Gambetta PACA.

En Ile-de-France, Thierry Roulet est nommé Responsable de Programmes. Après avoir intégré la gestion locative du groupe en 2010, il avait rejoint les équipes de promotion, dirigées par Cyril Bouillot depuis 3 ans.

Enfin, Cloé Chauvin prend, en complément de son poste d'Assistante de Direction, la responsabilité de la communication interne du Groupe Gambetta.

Paris Vision 2016 - Le marché locatif de bureaux - Le triomphe du QCA

Avec un total de 2.088.000m² en 2015, la consommation de bureaux en Ile-de-France retrouve un niveau quasi-stable par rapport à celui de l’année précédente (-1%). À 7,3% de moyenne régionale, le taux de vacance reste stable sur un an et continue de s’afficher comme un des plus faibles d’Europe. Mais l’année a été marquée par des changements notables dans la structure du marché.

La localisation de l’activité transactionnelle a profondément évolué vers des adresses plus centrales, mieux connectées et plus rapidement desservies, pour le plus grand bénéfice du Quartier Central des Affaires[1] (QCA).

Le QCA, marché dynamique

Avec une « part de marché » de 20%, le QCA affirme sa prépondérance à l’échelle régionale. C’est nettement plus que la représentation qui est habituellement la sienne : sur les 10 dernières années, sa « part de marché » moyenne est inférieure à 17%. Les belles années s’enchaînent et 2015 n’y aura pas fait exception. Les quelques hectares du QCA ont un charme intact aux yeux des entreprises.

Ce n’est pas la progression la plus spectaculaire. Mais, avec une activité transactionnelle en hausse de 12%, le QCA s’impose comme un des marchés les plus dynamiques d’Île-de-France. La performance est d’autant plus remarquable que cette hausse se fait sur la base de résultats 2014 qui étaient déjà très bons et sur des volumes impressionnants. Le QCA est en effet passé au-dessus de la barre des 400.000 m² placés en 2015. Cela faisait cinq ans que ça ne s’était pas vu.

Son succès, le QCA l’a construit sur le dynamisme de son cœur de cible traditionnel : les entreprises recherchant moins de 5.000 m² de bureaux. Ce sont en effet les utilisateurs de petites et moyennes surfaces qui ont tiré le marché locatif en 2015. Mais le QCA a également pu compter sur le maintien d’une activité non négligeable sur le segment des grandes transactions : 6 prises à bail de plus de 5.000 m² ont été enregistrées au cours de l’année dernière, pour un total de près de 60.000 m². C’est certes moins qu’en 2014, mais l’anomalie s’était produite cette année-là : 2014 avait été un cru excellent pour le QCA sur ce segment de surfaces. L’année 2015 aura été celle d’un retour à la normale si on définit celle-ci par la moyenne observée sur cinq ans (7 transactions annuelles pour un volume global de 60.000 m²). Même dans un environnement marqué par la recherche d’économies et d’efficacité, le QCA séduit les utilisateurs. Belle performance pour le marché qui affiche indéfectiblement les prix les plus élevés de la région.

Le QCA, un levier de croissance

C’est que beaucoup d’entreprises installées en Île‑de‑France affichent des résultats financiers très satisfaisants, qui leur offrent une grande latitude de choix quant à leur implantation. Et pour elles, comme pour d’autres, le loyer et les charges ne sont désormais que des éléments parmi d’autres du coût immobilier. Les gains de productivité que l’emplacement autorise compensent aux yeux de beaucoup d’utilisateurs tout ou partie des surcoûts de loyers. L’immobilier est aussi un levier de croissance.

Il n’est d’ailleurs pas anodin que les start-up et les entreprises de la nouvelle économie affichent un goût toujours plus prononcé pour le QCA. Le phénomène n’est pas nouveau puisque nous l’abordions déjà il y a deux ans, dans le Paris Vision 2014. Mais il a pris une ampleur inédite en 2015, notamment avec la prise à bail de 9.700 m² par Blablacar dans l’immeuble #Cloud (2ème arrondissement). Le leader du covoiturage voisinera ainsi celui de la nouvelle économie, qui a loué 3.600 m² dans le même immeuble. Et, comme si ces noms dont la notoriété n’est plus à prouver ne suffisaient pas à l’actualité 2015, d’autres ont acté leur présence dans le quartier avec, par exemple, Wistiki, Vocalcom, Wallix, Smart AdServer ou Save my Smartphone.

[1] Le QCA est la partie centrale de l’ensemble formé par les 1er, 2e, 8e, 9e, 16e et 17e arrondissements de Paris. Il est délimité à l’ouest par La Porte Maillot, l’avenue de Malakoff et le Trocadéro; au nord par la Porte Champerret, l’avenue de Villiers et la Gare Saint Lazare; à l’est par la rue Montmartre et la rue du Louvre; au Sud par la rue de Rivoli. Le QCA est divisé en deux :
- le Triangle d’Or, délimité par l’avenue Georges V, l’avenue Montaigne et les Champs Elysées ;
- la Cité financière, dans les quartiers Haussmann-Opéra.

wiSEED immobilier finance la 1ère tranche d’une opération de 158 terrains à bâtir, en 41 minutes

Première plateforme de crowdfunding immobilier, wiSEED immobilier vient de proposer à ses 50 000 investisseurs de financer la 1ère tranche de 34 lots d’un programme d’aménagement foncier de 158 lots au total : « le Domaine de Launay », situé à Ploufragan, près de Saint-Brieuc.

Pour réaliser cette première tranche, 96 internautes de wiSEED ont répondu présents et ont souscrit 300 000 euros en un temps record (41 minutes), pour un montant unitaire moyen d’environ 3 130 euros.

Les raisons du succès de la collecte
Ce lotissement répond à un réel besoin, et près de la moitié des terrains ont été très vite pré-réservés. Le chiffre d’affaires provenant de la vente des 34 premiers lots est estimé à 624 725 euros.

Pour compléter ses fonds propres, l’aménageur-lotisseur CAB Promotion avait besoin de 300 000 euros. Il les a financés en émettant un emprunt obligataire dont la souscription a été ouverte sur la plateforme de financement participatif wiSEED immobilier. Les 96 investisseurs se sont engagés à prêter le montant versé pendant une durée de 18 mois, avec une rémunération de leur prêt au taux de 12% annuel. A l’échéance du prêt, ils seront remboursés du capital investi.

Le programme en détails
Situé dans la banlieue sud de Saint Brieuc, Ploufragan est la 5e commune du département des Côtes-d’Armor. La municipalité aménage, depuis 1990, la vallée du Goëlo, 20 hectares de prairies et de bois en milieu urbain.

C’est dans cet environnement exceptionnel que le projet « le Domaine de Launay » va voir le jour. Sur une superficie de 76 540m², vont être aménagés 158 terrains à bâtir, dont 5 sociaux, en quatre tranches. :

- Tranche 1 : 34 lots, dont 1 social, sur 9 623m²
- Tranche 2 : 30 lots, dont 1 social, sur 10 528m²
- Tranche 3 : 59 lots, dont 2 sociaux, sur 17 542m²
- Tranche 4 : 35 lots, dont 1 social, sur 11 830 m²

Dans le respect du schéma de cohérence territoriale, le projet accueillera 25 logements à l’hectare. Les futurs logements construits sur ces terrains devront respecter la réglementation RT 2012 et accueillir de 400 à 500 habitants.

La première tranche, dont les travaux démarrent en février, sera livrée en mai 2016. Face au succès rencontré, les tranches suivantes devraient être lancées rapidement.

24 février 2016

La ville de Hambourg dévoile en avant première ses projets immobiliers d’envergure et son nouvel emblème : la philharmonie de l’Elbe

Récemment classée 2e ville européenne la plus attractive sur le plan des investissements immobiliers* (derrière Berlin), Hambourg continue de séduire les investisseurs et de développer de nouveaux concepts urbains innovants.

Dans la continuité des projets HafenCity et Mitte Altona, la ville hanséatique dirige désormais son regard vers l’Est. Après l’expansion de son centre-ville au travers du projet de développement urbain HafenCity, la revitalisation des îles de l’Elbe et du port intérieur de Harburg, le troisième projet majeur portera sur la transformation des quartiers industriels de Rothenburgsort et Billbrook pour continuer à renforcer le potentiel économique de la région.

*classement réalisé par PriceWaterHouseCoopers and Urban Land Institute

Les projets de la ville de Hambourg

Elbphilharmonie : la salle de spectacle spectaculaire sera officiellement inaugurée les 11 et 12 janvier 2017. Située dans le port d’Hambourg, elle deviendra le nouvel emblème de la ville avec sa silhouette impressionnante et son architecture atypique.

HafenCity : c’est le plus grand projet urbain de développement intra-muros d’Europe. Ce nouveau quartier, construit sur front de mer, permet d’augmenter la surface du centre-ville de Hambourg de 40%.

Mitte Altona : deuxième plus grand projet de développement urbain dans la région d'Hambourg. La ville réhabilite ses friches industrielles intelligemment pour gagner de l'espace au cœur de la ville.

Rothenburgsort et Billbrook : En mettant en valeur leur patrimoine identitaire et en améliorant la qualité de vie, les quartiers industriels de Rothenburgsort et Billbrook sont appelés à être transformés pour attirer des entreprises industrielles modernes. La banlieue industrielle de Billbrook, qui se situe en remontant les fleuves de l’Elbe et Bille, sera soumise à la modernisation.

23 février 2016

2015, une année record pour Capifrance

Que ce soit dans l’ancien, le neuf ou l’immobilier d’entreprise, toutes les activités de Capifrance ont surperformé le marché. Avec plus de 24% de progression de son volume de ventes, Capifrance maintient encore une fois sa position de leader parmi l’ensemble des réseaux mandataires.

Les conférences de presse de début d’année organisées par les principaux syndicats professionnels ou L’observatoire des Prix de l’immobilier ont souligné que le volume des ventes réalisées en 2015 sur le marché français avait progressé de 10 à 15% par rapport à l’année 2014, avec un dernier quadrimestre particulièrement actif. « Pour Capifrance, le nombre de ventes actées a progressé de +21% et de +24% en signatures de compromis, en économie cela s’appelle prendre des parts de marché », souligne Philippe Buyens, Directeur Général de Capifrance. « Ces très bons résultats sont enregistrés dans tous les métiers pratiqués par nos conseillers : dans l’ancien avec près de 8 000 ventes mais également dans le Neuf avec une progression de +44% du nombre de contrats de réservation signés contre +20% sur l’ensemble du marché français, et des ventes également en progression de +9% en immobilier d’entreprise sur un marché en recul de -12% sur la cession de bail et de -20% en cession de fonds de commerce » précise Philippe Buyens.

Plus que constater cette surperformance sur le marché, il est important d’en expliquer les raisons. La nouvelle offre Capifrance en direction des conseillers du réseau et des candidats a rencontré un fort succès : modularité en fonction des ambitions de chacun, moyens renforcés principalement sur la diffusion des affaires et les options de visibilité, accompagnement initial assuré par 300 formateurs terrain. Une animation du réseau alliant proximité et compétences, qui a permis au réseau de dépasser les 1500 conseillers sur le territoire métropolitain et dans les départements d’outre-mer. Ces services uniques auprès du réseau se traduisent par un ratio de chiffres d’affaires par conseiller le plus élevé du marché.

« Ceci conforte aussi notre approche d’hyper-proximité qui nous permet d’être au plus proche des projets des Français et de rappeler que nous sommes les voisins de nos clients » indique le Directeur Général du réseau.

Enfin, la stratégie de Capifrance qui repose sur une offre globale (pouvoir proposer tous les services immobiliers) et sur l’hyper spécialisation a montré également toute son efficacité. « Notre réseau est organisé autour de 4 grands métiers : la transaction dans l’ancien, dans le Neuf, dans l’immobilier commercial et la location/gestion. Nous avons des équipes dédiées au siège pour apporter toutes les solutions spécifiques à ces métiers. Sur le terrain, nous disposons de conseillers spécialisés avec notamment 120 conseillers en immobilier commercial et 105 spécialistes en immobilier Neuf », confirme Philippe Buyens.

Depuis le début de l’année Capifrance bénéficie également des services du Centre de services partagés (CSP) de sa maison mère, la société Digit Re Group, qui regroupe toutes les marques du pôle immobilier d’Artémis (holding de François Pinault).

Cette nouvelle structure traite directement l’activité back office de ses filiales. Outre les services de contrôle mandats/compromis, le service d’appui et d’assistance juridique, les services comptables et financiers, Digit RE Group met également à leur disposition ses départements DSI, New technologies, et Webmarketing, dont les moyens vont être renforcés (près de 20 ingénieurs).

Cela permettra à Capifrance de disposer de nouvelles solutions technologiques et ainsi de proposer de nouveaux services innovants, à forte valeur ajoutée pour ses clients. A très court terme, et par exemple, cela pourra prendre la forme d’une transparence accrue pour nos acquéreurs et vendeurs via le partage d’avis et recommandations. Nos clients pourront donc donner leur avis et partager leur retour d’expérience auprès de chacun de nos conseillers.

« Ces moyens inédits, et inégalés dans le mondes des réseaux mandataires, doivent nous permettre de réinventer l’immobilier et de poursuivre notre croissance en 2016», indique Philippe Buyens.

Immobilier locatif : Que s'est-il passé en 2015 ?

Un marché locatif très sage, sauf à Paris où la loi ALUR n’a décidément pas les effets escomptés !


Le marché locatif privé reste orienté à la baisse en 2015. Les studios, 2 pièces, 3 pièces et 4 pièces, qui représentent ensemble plus de 90% des locations réalisées par le réseau CENTURY 21, ont vu leurs loyers moyens diminuer respectivement de -1,2%, -0,7%, -0,3% et -1,5% cette année. Seuls les appartements de 5 pièces et plus ainsi que les maisons échappent à cette tendance baissière, mais ils représentent moins de 10% des locations réalisées en France (9,4%).
Partout, ce phénomène de modération des loyers s’observe. Les bailleurs privilégient la solvabilité de leurs locataires plutôt que la rentabilité de leur investissement. Le placement locatif est un placement à long terme ; la récurrence des revenus est essentielle pour son financement.
En revanche, la Capitale dénote du reste de l’Hexagone. A Paris, si l’encadrement des loyers a eu un effet modérateur sur les 2 pièces (-1,1%), il a également eu pour conséquence d’inciter les propriétaires bailleurs à appliquer des hausses de loyers notamment pour les grandes surfaces lorsque celles-ci étaient sous-évaluées au regard du dispositif. Cela s’est traduit par exemple par une augmentation de 6% des loyers des 4 pièces.

Reprise de la mobilité résidentielle ?

La mobilité résidentielle des locataires a progressé pour s’établir à 30% en 2015 (contre 27% en 2014). Une des explications tient à un marché immobilier favorable à l’acquisition. Encouragés par des taux d’intérêt historiquement bas et des prix orientés à la baisse depuis 2012, de nombreux locataires ont pu enfin concrétiser leur projet d’achat.
Paris fait toutefois exception à la règle avec un taux de mobilité de 18% seulement. Les freins à la mobilité sont principalement de deux ordres :
1/ le prix moyen d’une transaction parisienne, qui plus est en hausse de 3,9% en 2015, n’encourage pas la primo accession.
2/ la baisse de l’investissement locatif (de -4,8% dans la Capitale), conjuguée à de nombreux changements de destination des biens loués en réponse à l’encadrement des loyers (bien retiré du marché pour être vendu ou mis en location touristique) ont dégradé l’offre de biens disponibles sur le marché, amenant les locataires à renoncer à déménager.
La réduction du délai de préavis à un mois -qui a été vécue par les propriétaires bailleurs comme une fragilisation de leur investissement- n’a eu aucun effet positif sur les locataires parisiens.
Fait appréciable : la Mairie de Paris, consciente du danger que représente à terme l’assèchement du parc locatif privé, a mis en place en urgence le dispositif « MULTILOC » pour inciter financièrement les propriétaires de logements vacants à les remettre sur le marché.

Les seniors en grande forme sur le marché de la location

Depuis 4 ans, la part des plus de 60 ans ne cesse de progresser. Ils représentent désormais près de 10% des nouveaux locataires, tandis que la proportion des 50-60ans augmente également de 7,7% cette année, et est à l’origine de 8,4% des locations réalisées.
Les seniors sont évidemment loin de détrôner les moins de 30 ans qui représentent toujours près d’une location sur deux (48,6% des locations réalisées en 2015).

Conclusion & perspectives 2016

France entière, lorsqu’on observe les loyers sur 10 ans, il est frappant de constater qu’ils subissent un recul de -0,2%, quand l’inflation a progressé de 12,8% sur la même période.
Il est indispensable de sortir du prisme parisien pour mesurer la sagesse dont fait preuve le marché locatif dans la fixation de ses prix. Nul encadrement n’est nécessaire : en 10 ans, en euros constants tenant compte de l’inflation, les niveaux de loyers ont reculé de 13% !
A opposer schématiquement propriétaires-bailleurs et locataires, on oublie que l’un a besoin de l’autre et réciproquement. Et que le danger, dans les prochaines années, réside davantage dans l’étiolement du nombre de propriétaires-bailleurs sur le marché que dans la pression abusive des loyers supportée par les locataires. Car l’équation est simple : sans propriétaire bailleur et investisseurs, plus de locations sur le marché donc plus de logements privés disponibles pour les locataires.
Et à la question « le parc locatif social pourrait-il se substituer au parc privé ?», nous connaissons la réponse. Il est temps que le gouvernement renoue avec les propriétaires bailleurs et en fasse des partenaires de leur politique du logement future.

19 février 2016

BARNES ouvre sa première agence au Maroc en association avec « Immobilier International Marrakech »

Spécialiste de l’immobilier de luxe, BARNES poursuit son développement dans les lieux de villégiature les plus prisés. C’est à Marrakech, à moins de 3 heures de vol des principales capitales européennes, que le groupe ouvre une nouvelle agence en s’associant avec un acteur de référence du marché local, « Immobilier International Marrakech ».

Un marché résidentiel sain dans une ville dynamique

« L’engouement que connaît le Maroc, et plus précisément Marrakech, auprès de notre clientèle traditionnelle, nous a incités à être présents sur place, d’autant plus que le marché immobilier y est redevenu attractif », précise Thibault de Saint Vincent, Président de BARNES.

Au Maroc, l’immobilier est un des piliers de l’expansion économique. Le développement de la classe moyenne locale et la présence croissante d’Européens dynamisent le marché résidentiel de qualité et de haut standing.

A Marrakech, la « Pépite du Maroc », après une forte hausse des prix au cours de ces dernières années, l’immobilier présente à nouveau de belles opportunités. Riads, villas, appartements et terrains, l’offre est diversifiée. Les biens de qualité supérieure se négocient entre 2 000 et 5 000 €/m² et peuvent atteindre les 30 000 000 € pour les produits d’exception proposant piscine, jardin privatif, hammam, sauna, climatisation, gardiennage, etc.

Un partenaire local aux compétences reconnues

Pour son implantation à Marrakech, BARNES a choisi de s’associer avec l’Agence « Immobilier International Marrakech ». Créée en 2003 par Karim El Baroudi, formé à l’école des notaires de Toulouse, et Medhi Amar, ancien agent immobilier à Albi, cette agence est devenue une référence sur le marché marrakchi.

« Immobilier International Marrakech » maîtrise l’ensemble des services utiles à une clientèle haut de gamme internationale. Elle la conseille sur ses achats, mais également sur les aspects juridiques, fiscaux et financiers des opérations ainsi que sur la réglementation des changes.

BARNES Marrakech – Immobilier International Marrakech
234 avenue Mohamed V - Marrakech - Maroc - +212 (0) 6 64 407 151- contact@immo-maroc.com
Directeurs : Karim El Baroudi et Medhi Amar

A propos du plafonnement des frais de mutation

Le décret sur les tarifs des notaires a été déposé hier devant le Conseil d’Etat.

Ce décret prévoit le plafonnement des indemnités à 10% de la valeur du bien et la possibilité de remises pour les clients – qui pourront aller de 10 à 40%.

Cette position sera défendue par les députés socialistes lors de la prochaine loi de finances.

Qu’en pensent les professionnels ?

Promotion

« Un mauvais procès… » selon Marc Gedoux, Président de Pierre Etoile

« J’estime que nous faisons un mauvais procès aux notaires sur leur rémunération. Les honoraires des notaires, sont inclus dans les frais d’acte qui sont pour la plus grande part des taxes reversées au Trésor public. Pour nous professionnels de la construction ils sont d’un bon rapport qualité prix, puisque nous ne payons que si l’acte est signé, et donc que si l’affaire est réalisée. Nous connaissons avant la signature sous forme de provision leurs montants. A contrario, les honoraires d’avocats se comptent au temps passé. Sans garantie que l’affaire aboutisse ou non. »

Investissement immobilier

« La possibilité de remise existe déjà » selon Silvio Estienne, Directeur général de PATRIZIA

« Ce que l’on doit cependant rappeler, c’est que la possibilité de « remises » existe déjà dans le décret actuel :

- Pour des émoluments qui dépasseraient 80.000€, une négociation est possible entre client et notaire sur la partie qui excède ce montant : c’est chose courante dans les « grandes » transactions auxquelles les professionnels sont habitués ;
- Une remise totale est autorisée…
- Une remise partielle est possible après autorisation de la chambre de discipline des notaires ;

Concernant le plafonnement, le sujet est très complexe. En effet, si dans certains cas, les montants peuvent paraître élevés en pourcentage, la somme en euros ne couvre pas nécessairement les coûts induits chez le notaire.

Enfin, il semble opportun de rappeler que les « frais de notaires » sont à environ 90% des taxes diverses et non pas les émoluments du notaire. La vraie économie viendrait de leur réduction. »

Financement

« De la nécessité de baisser le coût de la mutation immobilière » selon Philippe TABORET – Directeur général adjoint de CAFPI

« Les plus impactés par les frais de mutations, encore une fois franco français, sont les primo-accédants dont le faible apport disponible est largement amputé par ces frais. Souvent jeunes, ils sont donc les plus amenés à changer de travail et de lieu, bloquant ainsi leur mobilité professionnelle.

Il faut donc réformer ce dispositif pour continuer, après le PTZ, à relancer l’accession des primo-accédants.

Je pense par ailleurs que, la commission européenne uniformisant les pratiques du crédit immobilier en Europe (directive MCD), le gouvernement français à tout intérêt à réformer ses veilles pratiques (le monopole des notaires) pour gommer les différences avant qu’elles ne nous soient imposées. »

18 février 2016

La FNAIM et l’Association QUALITEL se mobilisent en faveur de la certification des copropriétés

Jean-François BUET, Président de la Fédération Nationale de l’Immobilier (FNAIM), et Bertrand DELCAMBRE, Président de l’Association QUALITEL, ont signé ce jeudi 11 février à Paris une convention de partenariat afin de promouvoir la démarche de certification dans les copropriétés ainsi que l’information des particuliers sur la qualité de leur logement.

La FNAIM, soucieuse de répondre aux demandes croissantes des copropriétés et des syndics, notamment en matière de performance énergétique et de prise en compte des aspects environnementaux en phases exploitation et rénovation, a choisi de s’associer aux travaux de l’Association QUALITEL, référent en matière de qualité du logement, pour leur apporter une solution simple, lisible et efficace.

La FNAIM et l’Association QUALITEL ont ainsi signé une convention de partenariat visant à favoriser la certification dans les copropriétés en s’appuyant sur les syndics. La FNAIM participe activement aux travaux d’élaboration du référentiel NF Habitat, spécifiquement adapté aux besoins et enjeux des copropriétés en exploitation et rénovation. Elle contribuera à sa promotion auprès de ses adhérents, syndics de copropriété, afin qu’ils s’engagent dans la certification et la proposent aux copropriétés dont ils assurent la gestion.

La FNAIM participera également à l’évolution du guide www.bienacheterbienrenover.fr, et de son application Bienvisiter pour smartphone développés par l’Association QUALITEL pour permettre aux particuliers d’apprécier les problématiques liées à la qualité du logement lorsque l’on se trouve en situation d’acheter ou de faire rénover un bien existant. Son apport aura notamment pour objectif d’enrichir ce guide de modules dédiés à l’entretien et la maintenance du logement et aux évolutions des modules existants.

En outre, une réflexion commune sera engagée pour envisager le rôle que pourrait jouer GISELE (Guide d’Information sur les Equipements du Logement et leur Entretien) dans la perspective de la généralisation d’extranets des copropriétés et de la mise en place du carnet numérique de suivi et d’entretien du logement, telle que prévue par la Loi Transition Energétique pour la Croissance Verte, notamment au travers de certains de ses modules et en complémentarité des outils développés par la FNAIM.

« La signature de cet accord de partenariat formalise nos ambitions communes : mobiliser les professionnels de l’immobilier sur la rénovation énergétique » affirme Jean-François BUET, Président de la FNAIM, « La certification des syndics et des copropriétés proposée par QUALITEL attestera de la compétence de nos adhérents et contribuera à la réalisation de programmes de travaux dont la qualité sera reconnue de tous. »

« Nous sommes fiers de ce partenariat qui contribuera à renforcer la qualité des logements en France, et plus particulièrement au sein des copropriétés », indique Bertrand DELCAMBRE, Président de l’Association QUALITEL. « La FNAIM va ainsi pouvoir jouer un rôle déterminant dans la sensibilisation des syndics pour que les copropriétés s’engagent dans la certification NF Habitat ».

Profil des emprunteurs : Enfin le retour des primo-accédants

La nouvelle mouture du PTZ favorise le retour des primo-accédants sur les marchés immobiliers résidentiels, dans le neuf comme dans l’ancien. Dès la fin de l’année 2015, les promoteurs ont vu le nombre de réservations augmenter et les constructeurs de maisons individuelles ont sensiblement regarni leurs carnets de commandes. La tendance se poursuit en ce début 2016, où l’investissement locatif gagne, lui aussi, du terrain.

Leur retour se fait avec un endettement un peu moins élevé (177 738 €, contre 179 278 € le mois dernier) pour une durée quasi équivalente (240 mois) : les primo-accédants allègent un peu leurs mensualités. Ils sont moins nombreux à acheter dans l’ancien (80,09%, contre 81,01% le mois dernier) et leur acquisition représente en moyenne 4,93 années de revenus, contre 4,97 précédemment.

Toujours aussi nombreux à acquérir dans l’ancien (plus de 92%), ils se sont endettés davantage ce mois-ci (182 898 € contre 178 162 € le mois dernier), sur une durée plus longue (198 mois au lieu de 195). Leur acquisition représente 3,67 années de revenu, contre 3,54 le mois dernier.

16 février 2016

L’immobilier de luxe parisien ne répond pas à la demande internationale

Ikory, spécialiste de l’immobilier résidentiel, publie une étude montrant que l’offre parisienne reste très en deçà des attentes du marché mondial de la pierre de luxe. Logements trop petits, insuffisamment équipés en technologie et en services : les produits haut de gamme en vente dans la capitale française ne répondent pas aux besoins de la nouvelle clientèle des millionnaires qui font le marché du luxe international. Et pourtant Paris a tous les atouts pour entrer dans cette compétition.

Réalisée avec le cabinet Stratos et s’appuyant sur des données publiées en France et à l’étranger, cette étude montre que si les prix se sont considérablement enchéris ces dernières années, cela ne fait pas de l’immobilier de la capitale un immense marché du luxe. Les niveaux élevés au m² cachent une offre largement dominée par les petites surfaces, contrairement à New York ou Londres. Et la stagnation du marché parisien depuis la crise est à comparer au spectaculaire rebond de ses concurrents. De plus, la présence active d’acheteurs étrangers, qui est l’apanage d’un immobilier d’exception, est encore ténue : 8% des transactions sont le fait d’étrangers à Paris, contre 15% à New York et même 51% dans le centre de Londres. Et, si l’on compte les étrangers qui ne résident pas en France, cette proportion descend même à 3%.

Enfin, dernier constat, les transactions de plus de 2,5 millions d’euros sont peu nombreuses : seules 288 ventes ont été ainsi recensées cette année, à comparer aux 32.200 transactions que représentait le marché parisien dans son ensemble. Des chiffres donc très faibles et qui posent la question du poids réel du marché haut de gamme parisien.

La cible des millionnaires mondiaux

Pourtant, Paris devrait pouvoir gagner sa qualification de capitale du luxe immobilier. Le Globe abrite aujourd’hui près de 15 millions de millionnaires (High Networth Individuals), un chiffre en constante et forte progression. Encore faut-il savoir les attirer et connaître les leviers sur lesquels agir. Quelle que soit leur nationalité d’origine, ces millionnaires sont sensibles à certaines caractéristiques liées à l’objet immobilier : une adresse, bien sûr, mais aussi un immeuble ou un intérieur portant la griffe d’un grand architecte ou d’un décorateur, un certain art de vivre, des équipements technologiques de pointe, une offre de services, autant d’atouts qui vont le faire entrer dans le club de l’immobilier de luxe.

La plupart des grandes villes-monde l’ont bien compris. On y rencontre aujourd’hui une offre immobilière de très haut standing qui reprend ces cinq conditions – adresse, griffe d’un créateur, art de vivre, technologie et services. Paris se doit de suivre le mouvement si la capitale du pays du luxe veut prendre sa place.

Ikory s’attaque au marché du luxe parisien

Fort de ce constat, Ikory a décidé de s’attaquer au marché du luxe parisien en y apportant des concepts marketings novateurs. Ikory s’adresse à la clientèle internationale en lui proposant des produits haut de gamme « clés en main ». Pour ce faire, elle fait appel aux services d’architectes et de décorateurs qui vont travailler à la refonte de ces appartements mal adaptés aux besoins des nouveaux acheteurs à haut revenus. Ils sont à cette occasion remis au niveau des standards internationaux et un service personnalisé (conciergerie, caviste etc.) est proposé en complément. Ces opérations, peuvent concerner des appartements isolés ou des immeubles entiers dans les plus beaux quartiers de Paris.

Ikory a déjà lancé deux opérations phare. La première concerne la restructuration d’un immeuble, retransformé en hôtel particulier, sur le parc Monceau. La deuxième consiste à rénover un appartement situé dans un immeuble classé des années trente, sur le bois de Boulogne à Neuilly sur Seine. A chaque fois, c’est un grand décorateur qui intervient, pour une livraison « clés en main » au futur acquéreur.

Doit-on inscrire le droit au logement dans la Constitution pour mobiliser le foncier privé ?

C’est l’une des propositions du rapport remis aujourd’hui par le député socialiste Daniel Goldberg en commission des affaires économiques de l'Assemblée nationale sur le thème « mobilisation du foncier privé en faveur du logement ».

Qu’en pensent les professionnels ?

La FNAIM, par la voix de son Président Jean-François Buet :

Le droit au logement ne peut être inscrit au même titre que le droit à la propriété dans la constitution. Cela entraînerait un bouleversement hiérarchique en les plaçant à égalité. Le droit de propriété est et doit rester supérieur au droit au logement. Il ne peut y avoir d’équilibre entre les deux.

La collectivité ne peut franchir le Rubicon en mettant à mal le droit de propriété. Il s’agit d’une atteinte aux libertés individuelles et la remise en cause de la démocratie. Il ne peut y avoir de démocratie sans droit à la propriété privée. 64% des individus en France sont protégés par ce droit inaliénable.

L’Etat en est le garant. Qu’advient-il alors si cette garantie disparaît ? Une confiscation des biens au nom de l’Intérêt général ? L’Etat confisquera des terrains ? Des immeubles ? Des résidences secondaires ?

Partant de cette inscription ; toutes mesures fiscales incitant à la cession de terrain à bâtir se heurteraient alors à une question de constitutionnalité. Que faire valoir, le droit de propriété ou le droit au logement ? La vente ou la confiscation ?

Il s’agit là d’un raisonnement erratique. Il faut conserver la hiérarchie des normes. Le droit de propriété est une liberté publique.

Par ailleurs, des droits existent déjà, nous avons le DALO.

ERA, par la voix de son Directeur exécutif, Eric Allouche :

S’il est vrai que la mode est aux modifications constitutionnelles, celles-ci semblent nous détourner des vrais problèmes actuels (chômage, compétitivité…). Inscrire un droit au logement dans la constitution revient à dire que l’Etat, gardien des droits, doit prendre des mesures visant à permettre à chacun de se loger. Mais où prendre ces logements ? Dans le parc public? Ni l’Etat, ni les collectivités n’en ont réellement les moyens. Dans le parc privé ? Ce serait imposer aux propriétaires l’obligation de mettre leur bien à disposition. A quelles conditions ? On voit très rapidement le glissement insidieux vers une collectivisation de la propriété privée.

Le droit de propriété serait selon ce rapport « détourné de son objectif initial ». Le droit de propriété s’inscrit dans les droits fondamentaux de l’individu à se constituer un patrimoine. La finalité du droit de propriété n’est pas de procurer un logement à tous, mais de la possibilité pour chacun de devenir propriétaire, ce qui n’est pas pareil…

Plutôt que d’opposer le droit de propriété au droit au logement, ne serait-il pas plus judicieux et plus efficace d’inciter les propriétaires de terrains à les vendre ou à les louer. Plutôt que d’utiliser le bâton de la fiscalité pour dissuader et pénaliser les propriétaires. Ne vaut-il pas mieux les inciter fiscalement à le faire ?

Il est clair que cette proposition s’inscrit comme une nouvelle tentative de réduire le droit de propriété en collectivisant le secteur du logement.

C’est là le meilleur moyen de stériliser un secteur déjà mis à mal.

SFL ouvre les portes de #cloud.paris Centre d’Affaires nouvelle génération de 35 000 m²

Après trois ans et demi de travaux, #cloud.paris est prêt à accueillir ses premiers occupants. Idéalement situé dans la Cité Financière, un quartier d’affaires qui ne cesse de se réinventer, il leur offre un lieu de travail agréable, plus humain et très identitaire pour l’entreprise.

Un véritable hub au cœur d’un réseau business et culturel

#cloud.paris est la synthèse des convictions de SFL : faire de l’immobilier de bureau un outil de management et de performance des entreprises, qui doit se transformer et s’adapter aux nouveaux modes de travail de ses futurs occupants. Il préfigure l’immeuble de bureau de demain au sein de la ville classique, vivante, ouverte et mixte.

Améliorer le cadre de vie au travail tout en maximisant le temps productif est le leitmotiv de nombreuses entreprises. C’est pourquoi #cloud.paris offre un ensemble pluriel, avec l’idée d’amener la ville et ses multiples commodités au sein du centre d’affaires, pour faciliter le lien entre vie privée et vie professionnelle : halls d’accueil, espaces de convivialité (e-lounge, restaurants, terrasses végétalisées…), bureaux individuels, open space, salles de réunion modulables, espaces de services.

Locataires prestigieux. #cloud.paris peut accueillir jusqu’à 2 500 personnes. Il a déjà séduit plusieurs locataires, de très belles entreprises dans des secteurs d’activité très différents. La société Exane y installera son siège sur 11 000 m² dès le 2e trimestre 2016, précédée par BlaBlaCar, sur 10 000 m², et par un des leaders de la net-économie, sur 3 600 m², dans le même timing. Leurs arrivées contribueront à dynamiser l’économie et le rayonnement international du 2e arrondissement.

Des travaux d’ampleur et de fortes ambitions environnementales

L’ensemble, d’une taille rare de 35 000 m² en plein cœur de Paris, à deux pas de la Bourse et de l’opéra-comique, donne sur les rue Ménars qui est désormais piétonne (n° 2 à 8), du 4 septembre (n° 10 bis), de Richelieu (n° 81 et 83), de Grétry (n° 1 à 5) et de Gramont (n° 16 et 18).

Il est constitué de quatre immeubles d’époques différentes (XVIIIe, XIXe et XXe siècles) et à l’architecture hétérogène, ayant subi de nombreuses transformations successives.

Qualités du neuf. Pour donner une idée de l’ampleur des travaux, Dimitri Boulte, Directeur Général Délégué SFL, explique : «Du fait des contraintes, nous avons créé une structure neuve à travers l’existant. 100 % des fondations, c’est-à-dire tous les poteaux, ainsi que 100 % des structures verticales ont été repris. Ce n’est qu’une fois tout en charge que nous avons pu venir démolir. Notre ambition a été de restructurer cet ensemble avec les qualités structurelles du neuf. »

Le bâtiment a donc été profondément modifié pour valoriser d’importantes surfaces aveugles (près de 30 % du bâtiment d’origine) en leur apportant un maximum de lu­minosité. La lumière naturelle arrive dans tous les espaces de bureaux, les espaces polyvalents et les espaces de services par les façades neuves (plus de cent mètres linéaires) comportant de larges baies.

Performances énergétiques. Dès le départ, SFL a visé une triple certification HQE®, BREEAM® et LEED® avec, pour chacune, le plus haut niveau. Cette réalisation s'inscrit dans une démarche environnementale forte avec l’obtention du label BBC Effinergie® Rénovation. L’objectif de consommation d’énergie primaire est de 76 kWh ep/m²/an (5 fois plus performant que le parc tertiaire existant). Le bilan carbone s’avère 4 fois plus performant à la moyenne française.

Pourquoi #cloud.paris ?

Le hashtag « # » illustre la trame architecturale et matricielle des façades, la géométrie ergonomique des espaces et des volumes.

« Cloud » symbolise la « mise en réseau », interne et externe, des personnes et des entreprises présentes sur place et dans l’aire géographique.

« Paris » fait référence à la localisation du centre d’affaires qui est situé en plein cœur de la capitale.

11 février 2016

Le promoteur Pierre Etoile intègre des locaux flexibles et collaboratifs, à son image

Fin 2015, le siège de Pierre Etoile a intégré « Nextdoor », un immeuble de bureaux « nouvelle génération » à Issy Les Moulineaux. Flexibles, connectés, ouverts sur l’extérieur et sur l’humain, ces nouveaux bureaux offrent une large gamme de services et événements.

« En tant que dirigeant, il me parait aujourd’hui indispensable de veiller au confort des collaborateurs de la société. Faire de leur bien-être une priorité, c’est reconnaître et valoriser leur place dans l’entreprise », conclut Marc Gedoux, Président de Pierre Etoile.

D’ici 2017, 10 programmes immobiliers seront lancés par Pierre Etoile, soit 647 logements à commercialiser et à construire. Certifié NF Habitat HQE™, la société contribue activement au développement durable à travers la construction de ses résidences (chantiers verts, économies d’énergie, confort, objets connectés, …).

Pierre Etoile - 43 rue Camille Desmoulins, 92442 Issy-les-Moulineaux Cedex

Bordeaux : 8ème édition du Salon du logement Neuf

Le rendez-vous des candidats-accédants à la propriété et des investisseurs sur le territoire de Bordeaux Métropole

Du 1er au 3 avril, la Fédération des Promoteurs Immobiliers (FPI) Aquitaine Poitou-Charentes, et son président Alain Ferrasse, organisent la 8ème édition du Salon du logement Neuf, événement permettant de découvrir l'ensemble des programmes de logements neufs de Bordeaux Métropole et de bénéficier des conseils personnalisés des acteurs du secteur.

Des dispositifs d'accession à la propriété cumulés et renforcés

Dans un contexte de renforcement des dispositifs d'aide à l'accession à la propriété depuis janvier 2016, le Salon du logement Neuf réunira sur les Allées de Tourny l'ensemble des professionnels de la filière (promoteurs, bailleurs sociaux, établissements bancaires, etc...)

Bordeaux-Métropole offre des conditions abordables d'acquisition d'un logement neuf en cœur d'agglomération, grâce au cumul de plusieurs dispositifs :

- le nouveau PTZ renforcé proposé par l'état depuis janvier.

- le Passeport 1er Logement, coup de pouce financier de la ville de Bordeaux. Afin de favoriser l'accession à la propriété sur Bordeaux des ménages modestes, il accompagne depuis 2011 le dispositif PTZ de l'Etat par une aide complémentaire. Le Passeport 1er Logement, c'est aussi la mobilisation des promoteurs et des bailleurs sociaux qui proposent des prix de vente plafonnés entre 2 500 €/m2 et 3 000 €/m2 dans certaines de leurs opérations.

- le Prêt à taux zéro de Bordeaux Métropole a été remanié en octobre 2015 afin de gagner en lisibilité, en alignant les critères de prix pour les logements sur la ville de Bordeaux sur ceux du Passeport 1er Logement. Ainsi, toutes les opérations neuves labellisées sur le territoire de Bordeaux permettront de prétendre au Passeport 1er Logement et au prêt 0% de Bordeaux Métropole pour un véritable effet levier. Les plafonds restent inchangés sur les autres communes de la Métropole (entre 2 500 € TTC et 2 900 € TTC parking compris) et, compte tenu de la forte demande en logement des personnes seules, le dispositif prêt 0% a été élargi aux célibataires sur tout le territoire métropolitain.

La large offre de logements proposés (du T1 au T5) par la trentaine de promoteurs présents est une aubaine, sur un marché dont les indicateurs du mois de décembre viennent clôturer une année 2015 marquée par un retournement lent mais favorable du secteur de la construction.

Vendredi 1er avril : de 14h à 19h - Samedi 2, dimanche 3 avril : de 10h à 18h
Allées de Tourny à Bordeaux - Entrée Gratuite
Renseignements sur www.salonlogementneuf.com

09 février 2016

Montana La Rochelle, nouvelle résidence seniors haut de gamme sélectionnée par Cerenicimo

Leader de la commercialisation de résidences services à destination des seniors, avec plus de 15 500 logements distribués depuis 1995, Cerenicimo propose aux professionnels du patrimoine une nouvelle opération sur ce segment aux besoins clairement identifiés.

En lisière du centre historique de La Rochelle, la résidence seniors Montana présente des conditions d’investissement particulièrement attractives : un emplacement de choix, un prix très compétitif au regard de l’offre locale et, du potentiel de valorisation et une gestion par Steva, spécialiste reconnu du segment.

La Rochelle, ville attirante au centre de la façade Atlantique

A équidistance de Nantes et de Bordeaux, La Rochelle offre une grande qualité de vie grâce à son positionnement naturellement favorable. Donnant sur l’Océan, la ville héberge le plus grand port de plaisance d’Europe et s’ouvre sur les îles aux alentours avec un accès routier direct à l’île de Ré. Recherchée pour son ensoleillement record sur le littoral Atlantique, La Rochelle attire aussi pour son patrimoine historique et sa richesse culturelle.

Un vivier croissant de seniors. La Rochelle et son agglomération comptent plus de 162 000 habitants, dont le vieillissement représente un potentiel de locataires en résidence seniors. D’ici à 2040, le nombre des plus de 75 ans ou plus devrait doubler pour atteindre les 20 % de la population de la Charente-Maritime d’après les projections de l’Insee.

Une résidence de grand standing au cœur du nouveau quartier Renaissance

La résidence seniors Montana se situera sur le site de l’ancienne caserne militaire Mangin au sein d’un nouveau quartier résidentiel avec espaces verts, à proximité immédiate des commerces et services. Des chemins piétons mèneront au centre historique et au vieux port de La Rochelle, qui sera aussi desservi par le bus en moins de 10 minutes.

Des lieux de vie chaleureux et confortables. Construite autour d’un patio paysager, la résidence d’architecture contemporaine comprendra 138 appartements, déclinés du T1 au T3. Chacun d’eux sera prolongé par une terrasse ou un balcon afin de profiter pleinement de l’ensoleillement.

La résidence proposera, sur près de 1 000 m² de parties communes, de nombreux services axés sur la qualité de vie, le bien-être et la convivialité : restaurant et salle à manger privée, cinéma, piscine et spa, salle de fitness, bibliothèque, salon de beauté, espaces de convivialité et conciergerie.

Gestionnaire reconnu. Concepteur et exploitant indépendant créé en 2005, Steva est régulièrement récompensé pour la qualité de ses résidences services pour seniors autonomes ou dépendants (Ehpad) : 9 de ses 11 établissements en exploitation ont été notés 10/10 au Palmarès 2015 de Maisons de Retraite Sélection.

Rendement et perspectives de valorisation

Les appartements sont proposés à partir de 136 000 euros (prix hors taxe, la TVA étant récupérable par l’investisseur), avec un prix au m² inférieur de 20 % comparé à un bien neuf équivalent sur le marché local. Sous le statut de loueur en meublé (LMNP), ils offriront un rendement performant de 4,2 % HT/HT (mobilier inclus) selon les conditions du bail commercial signé entre l’investisseur et l’exploitant.

En outre, l’emplacement de la résidence dans une ville prisée par les seniors, sa conception et gestion par un expert du segment et ses prestations haut de gamme sont sources d’un fort potentiel de valorisation patrimoniale dans le temps.

Deux services exclusifs pour un investissement serein

La résidence Montana La Rochelle bénéficie de deux services exclusifs sur les programmes distribués par Cerenicimo :

· L’Engagement Liquidité : en cas de force majeure (décès du conjoint, divorce, perte d’emploi…) contraignant l’investisseur à revendre son bien dans les 9 ans suivant son achat, celui-ci dispose non seulement de conditions préférentielles de revente accordées par LB2S, mais, en cas de moins-value, une assurance l’indemnise jusqu’à 20 % de son prix d’achat, dans la limite de 35 000 €.

· L’Asset Management : l’intégralité des logements bénéficie d’un mandat d’Asset Management confié à LB2S incluant l’accompagnement des propriétaires tout au long de la vie de l’investissement (collecte et reversement des loyers, suivi de la bonne exécution du bail…) et leur représentation auprès de l’exploitant. Un service clé en main offrant lisibilité et stabilité dans les relations entre le bailleur et l’exploitant professionnel.

wiSEED immobilier : Près de 20 millions d’euros collectés, 29 opérations financées, principalement par des investisseurs particuliers

En 2015, wiSEED immobilier a collecté près de 20 millions d’euros auprès des internautes pour soutenir les 29 projets immobiliers qui leur ont été proposés.

Au total, ce sont 893 logements, 6 206 m² de terrains, 9 396 m² de bureaux et 2 397 m² de commerces qui ont été financés via wiSEED immobilier durant l’année.

Une sélection drastique et des financements rapides
Sur l’année écoulée, wiSEED a reçu 290 projets. Les présélections effectuées par les équipes de la plateforme ont écarté 50% d’entre eux. Le comité de sélection, qui intervient ensuite, n’a retenu que 25% des projets présélectionnés. Au final, seuls 29 programmes ont été présentés à la collecte et financées.

Fort de sa communauté de plus de 50 000 wiSEEDers, la plateforme peut financer les projets qu’elle propose dans un temps très court. Sa levée de fonds la plus rapide s’est effectuée avec le programme « Les Terrasses de Notre Dame » à Martigues, du promoteur Elgéa, où 400 000 € ont été collectés en 10 minutes seulement.

Le crowdfunding immobilier, quels investisseurs ?
Principalement masculine (89%), la communauté d’investisseurs de wiSEED immobilier comprend également 6% de femmes et 5% de personnes morales.

Toutes les tranches d’âge s’intéressent au crowdfunding immobilier : 23% ont moins de 35 ans, 30% entre 35 et 45 ans, 24% entre 45 et 55 ans et 23% + de 55 ans.

Les prévisions de 2016 sont ambitieuses avec un objectif de collecte à 40 millions d’euros.

05 février 2016

Le réseau immobilier SAFTI fête son 1000ème conseiller

SAFTI, réseau immobilier national de conseillers indépendants, continue son développement et franchit une étape clé, celle des 1000 conseillers immobiliers en activité sur toute la France.

Depuis sa création en 2010, le réseau SAFTI a connu une croissance exceptionnelle. En l’espace d’un an, ce sont plus de 340 conseillers* qui ont rejoint le réseau et aujourd’hui, 1000 conseillers immobiliers mènent à bien, au quotidien, les projets de clients partout en France.

La société, cotée sur le marché boursier Alternext, a réalisé près de 10 millions d’euros de Chiffre d’Affaires en 2014 et devrait afficher pour 2015 une croissance supérieure à 50%. A horizon 2017, la société vise un Chiffre d’Affaires supérieur à 30 millions d’euros.

Un développement résultat et reconnaissance du travail accompli par le réseau.

SAFTI propose un concept innovant d’immobilier à domicile sans agences physiques et reposant sur la diffusion des biens sur des centaines de sites Internet (Le Bon Coin, Se Loger…). Concept qui peut s’adresser aussi bien à des professionnels de l’immobilier qu’à des néophytes, souhaitant changer de carrière.

La force de SAFTI est de développer sans cesse de nombreux outils et services à destination de ses conseillers, afin de les épauler au plus près de leurs besoins dans l’exercice de leur activité sur le terrain.

SAFTI a notamment développé son propre logiciel métier en immobilier, véritable plateforme sur-mesure à partir de laquelle les conseillers pilotent leur portefeuille de biens et de clients, et l’ensemble de la gestion de leur activité. Ce logiciel "maison" est optimisé en permanence afin de s’adapter à l’évolution du réseau et de l’activité.

SAFTI a enfin travaillé sa marque et sa notoriété, via de puissantes campagnes télévisées lancées durant tout 2015 sur les plus grandes chaînes françaises telles que TF1, France 2, M6 et BFM TV entre autres.

Qui n’a en effet pas déjà vu l’œil, l’oreille et la bouche du conseiller SAFTI sur son écran ?.... SAFTI a misé sur un spot quelque peu décalé, vantant "le nouveau regard", "la meilleure écoute" et "les très bons conseils" de ses conseillers indépendants en immobilier. Sans oublier un slogan fort "SAFTI, ça le fait !".

Et cette année encore, SAFTI poursuit ses investissements en TV, avec un dispositif important de plus de 1000 spots TV en début d’année sur BFMTV et ses chaînes associées, et le parrainage de séries et d’émissions à succès comme actuellement "Scènes de Ménages" sur M6 (du 4 janvier au 27 février) et "C’est Canteloup" à venir sur TF1 (du 7 mars au 29 avril).

La politique de recrutement de SAFTI parvient à allier développement et humain.

Soucieux de son développement, SAFTI place la formation et l’accompagnement de ses conseillers au cœur de sa stratégie.

Les conseillers rejoignant le réseau suivent en effet au préalable un parcours d'intégration de 3 mois. Ils intègrent ensuite un dispositif de formation continue, sous forme aussi bien de formations en présentiel, que de formations en web conférence ou en e-learning. C’est l’essence même de l’Académie SAFTI, qui regroupe l’ensemble des formations proposées à chaque conseiller tout au long de son parcours chez SAFTI.

Cette formation d’excellence est couplée à un accompagnement au quotidien par les équipes du siège, experts dans leurs domaines respectifs.

Avec un seul objectif : que les conseillers mènent leur activité en toute sérénité, et un seul leitmotiv : indépendant mais bien accompagné !

En 2016, SAFTI entend poursuivre sa stratégie de développement et maintenir une croissance maîtrisée afin d'affirmer sa position de réseau national leader. Comme le souligne, Gabriel Pacheco, PDG du réseau : "En 2016, l’objectif est d’atteindre au moins 1200 conseillers. Cependant, l’objectif n’est pas tant quantitatif que qualitatif et c’est surtout de faire en sorte que nos conseillers aient les meilleurs outils pour se différencier sur le terrain et apporter le meilleur service à leurs clients".

A propos de SAFTI

SAFTI en 6 dates :

- 2010 : création du réseau par Gabriel Pacheco, en association avec Sandra Françonnet et Marc Brimeux.

- Juillet 2013 : SAFTI obtient la certification Qualité ISO 9001**.

- Octobre 2014 : SAFTI lève 2,6 millions d’euros et franchit une nouvelle étape avec son transfert sur le marché boursier d’Alternext Paris.

- 2015 : SAFTI lance dès janvier et sur toute l’année une campagne TV nationale puissante avec plus de 2500 spots sur les plus grandes chaînes françaises (TF1, France 2, Canal+, M6, BFM TV …)

- Juin 2015 : SAFTI annonce les résultats de l’enquête de satisfaction TNS Sofres, avec une satisfaction globale de ses conseillers de 97,3%.

- Janvier 2016 : SAFTI fête son 1000ème conseiller en immobilier et poursuit sa campagne TV nationale avec notamment le parrainage de séries et émissions à succès comme "Scènes de Ménages" sur M6 et "C’est Canteloup" sur TF1.

* Source : classement du site meilleursreseaux.com sur la période du 13/01/2015 au 12/01/2016.
**Certification délivrée par l’organisme SGS, pour les activités de Développement, Formation, Accompagnement/Suivi et Gestion administrative d’un réseau de mandataires en immobilier.

Pour plus d’informations : www.safti.fr

Immobilier : Uberiser pour le meilleur, et non pour le pire

Par François Gagnon, Président ERA France et ERA Europe

On dit aujourd’hui de certains événements qu’ils sont « disruptifs » : ils perturbent l’existant au point de ne pas le laisser intact.
Il ne sera plus comme avant. Pour emprunter encore au langage contemporain, on peut dire que l’uberisation est « disruptive ».
Regardez ce qui arrive aux taxis. Une application internet sur le smartphone permet d’obtenir rapidement un VTC (véhicule de tourisme avec chauffeur).
Le véhicule est impeccable et confortable, son conducteur élégant et aimable, le service raffiné et tout cela pour à peine plus cher.
De quoi ringardiser à tout jamais une partie du parc de taxis existant.

Si l’uberisation consiste à faire monter en gamme un métier, quel qu’il soit, on ne peut qu’y être favorable. Regardez l’immobilier.
Comme certains taxis, certaines agences immobilières auraient bien besoin d’un lifting. On les reconnait à leurs locaux vétustes et poussiéreux, leur personnel nonchalant, leurs estimations de valeur approximatives. Combien de prétendus agents immobiliers ne sont encore aujourd’hui que de simples porte-clés ?
Ils font visiter ce qu’on leur a donné en mandat et attendent que quelqu’un se décide à acheter.

Les grandes enseignes de la transaction immobilière et les réseaux de franchise ont, de longue date, modernisé le métier.
Depuis longtemps ERA a compris qu’il fallait se montrer performant, être connecté pour simplifier les recherches, proposer la visite virtuelle des biens, présenter des plans et des cartes en 3D, etc. C’est un ensemble de services qu’il faut assurer, aussi bien pour le vendeur (estimation appuyée par des références, compte-rendu de visites…) que pour l’acquéreur (présentation d’un dossier complet, connaissance approfondie des biens, accompagnement dans les démarches…).
On est là dans la logique « Uber » de satisfaction du client.

Mais si, en son temps, la franchise avait provoqué un électrochoc dans nos métiers de l’immobilier, on ne peut pas parler, même a posteriori, d’uberisation.
Car la différence de méthode fut énorme. S’il s’agissait bien d’élever les standards du métier et les compétences des professionnels dans l’intérêt des clients, le changement s’est fait dans le cadre de la législation sociale et fiscale en vigueur à l’époque. Aujourd’hui, la rupture consiste à faire table rase des archaïsmes, mais aussi des multiples freins à la libre entreprise, jusqu’à priver l’entrepreneur de sa protection sociale et l’État de ses recettes fiscales.

Réagir aux pesanteurs administratives qui poussent nos jeunes diplômés à s’expatrier, c’est salutaire.
Mais les retenir pour en faire des travailleurs précaires n’est pas la solution. Notre classe politique est à présent confrontée à un formidable défi : trouver le point d’équilibre entre la libre entreprise et la sauvegarde de notre modèle social. Faute de réponse appropriée, elle pourrait bien, elle aussi, se retrouver uberisée.

Objectif 2016 pour Espaces Atypiques : cap sur les 20 agences

Réseau d’agences immobilières spécialisées dans les biens contemporains, Espaces Atypiques souhaite ouvrir 6 à 8 agences en 2016 en France, mais également mener une politique de développement dans les pays francophones limitrophes afin d'atteindre 5,5 millions d’euros de chiffre d’affaires cette année.

Créée en 2008, Espaces Atypiques compte aujourd’hui 12 agences, dont plus de la moitié a ouvert l'année passée, pour un chiffre d’affaires, en 2015, de 3,3 millions d’euros. Le réseau vise une augmentation de plus de 60% de son chiffre d'affaires en 2016 pour atteindre les 5,5 millions d'euros. Pour répondre à la demande grandissante en biens atypiques et contemporains, 6 à 8 agences devraient voir le jour en 2016. Les secteurs de Montpellier (34), Toulouse (31), Avignon (84), Nice (06), Strasbourg (67), Rouen (76) et Arras (62), ainsi que les départements du Var, de l'Essonne et de la Seine-et-Marne sont prioritairement visés. Un déploiement hors des frontières de l'hexagone est également envisagé, dans les pays francophones limitrophes. Ces ouvertures vont permettre d'accentuer progressivement le maillage du territoire avec un développement toujours maîtrisé.

UNE DEMANDE DE BIENS ATYPIQUES DE PLUS EN PLUS FORTE
"L’année 2016 va être un bon cru. Le marché présente de belles perspectives. La part des biens tels que les lofts, maisons d’architectes, boutiques rénovées est croissante sur le marché. Le particulier devient de plus en plus friand de ce type de biens et nous avons l’ambition d’optimiser notre activité en profitant de cette croissance structurelle." explique Julien Haussy, fondateur du réseau.

Espaces Atypiques mise également sur sa qualité de services haut de gamme ainsi que sur son positionnement de référent sur le marché de l’immobilier contemporain. Pour accompagner sa croissance, le réseau a déjà prévu d'étoffer ses équipes en interne et ainsi renforcer sa position de leader.

UN POSITIONNEMENT ARTISTIQUE ET DÉCALÉ ASSUMÉ
Avec un positionnement situé entre l’agence traditionnelle et celle de prestige, Espaces Atypiques fait office de pionnier et assume son côté décalé. L'enseigne recherche des franchisés qui partagent cette passion de la décoration et qui prônent des valeurs artistiques, en totale adéquation avec l'ADN de la marque.
Pour Julien Haussy : "Cultiver cette différence permet de fédérer franchisés et clients autour de biens contemporains, atypiques, dont la force réside dans leur originalité".

A propos d’Espaces Atypiques : créé en 2008 par Julien Haussy, Espaces Atypiques est un réseau immobilier jeune et dynamique qui se développe en franchise. Il est spécialisé dans la vente de biens hors-norme (loft, atelier, duplex, maison d’architecte…), ayant pour point commun leur aspect contemporain.
www.espaces-atypiques.com

04 février 2016

« Le Grand Rattrapage » : Les marchés immobiliers d’entreprise en Ile-de-France

L’année 2015 avait débuté lentement, avec des volumes transactionnels nettement orientés à la baisse au premier semestre. Le second semestre a balayé les incertitudes en comblant largement le retard observé. La location de bureau en Île-de-France a même montré un réel dynamisme sur le segment des petites et moyennes surfaces. L’investissement affiche, quant à lui, sa deuxième meilleure année, tandis que, de son côté, le commerce mise sur le tourisme.

Le marché locatif de bureaux : le triomphe du QCA

Avec un total de 2 088 000m² en 2015, la consommation de bureaux en Ile-de-France retrouve un niveau quasi-stable par rapport à celui de l’année précédente (-1%). À 7,3% de moyenne régionale, le taux de vacance reste stable sur un an et continue de s’afficher comme un des plus faibles d’Europe. Mais l’année a été marquée par des changements notables dans la structure du marché.

Réveil de la demande des PME. Après avoir animé le marché locatif en 2015, les très grands utilisateurs, en recherche d’au moins 20 000 m², se sont raréfiés : -39% des volumes placés. Alors qu’ils concentraient 20% de la consommation de bureaux en 2014 (en 13 transactions), leur part est tombé à 12% en 2015 (en 7 transactions).

Ce recul a été compensé par le réveil des utilisateurs de surfaces inférieures, comprises entre 1 000 m² et 5 000 m², sur lesquelles l’activité transactionnelle progresse de 12%. Quant aux utilisateurs de petites surfaces, inférieures à 1 000 m², qui avaient déjà fait un retour remarqué en 2014, ils ont continué sur leur dynamique : leur consommation de bureaux est en hausse de 9% en 2015.

Recentrage géographique de la demande. La localisation de l’activité transactionnelle a profondément évolué vers des adresses plus centrales, mieux connectées et plus rapidement desservies, pour le plus grand bénéfice du Quartier Central des Affaires (QCA) et du reste de Paris intra-muros.

La demande placée progresse de 14% en 2015 dans Paris, avec des hausses vertigineuses sur les 5e, 6e et 7e arrondissements (+71%) ou sur les 3e, 4e, 10e et 11e arrondissements (+59%). Au total, ce sont plus de 900 000 m² de bureaux qui ont été consommés sur la ville centre, soit 43% des volumes régionaux.

Le Croissant Ouest (+7%) a également progressé, tiré par l’envolée de l’activité transactionnelle sur la Boucle Sud (+73%). Le secteur de Péri-Défense a tiré son épingle du jeu (+22%), tandis que Neuilly‑Levallois et La Défense sont restés en retrait : l’année 2014 y avait été tellement bonne qu’il était irréaliste d’espérer conserver des volumes d’activité identiques.

Loyers stables. L’architecture des loyers n’a guère évolué au cours de l’année 2015. Les loyers moyens s’établissent à 531 €/m²/an dans le QCA, à 399 € à La Défense et à 329 € sur l’ensemble de l’Ile-de-France. Les loyers les plus chers se situent dans la partie Ouest du QCA, le Triangle d’Or, où ils sont stables à 750 €/m²/an. Dans la partie Est, la Cité Financière, les loyers prime atteignent désormais 680 € : l’écart, qui n’est plus que de 70 €, s’est réduit ces dernières années du fait de l’arrivée régulière d’une offre de Grade A. A La Défense, le loyer haut de gamme est de 540 €.

Perspectives 2016. Le retour des grands utilisateurs est attendu tandis que le dynamisme des PME devrait se maintenir. La demande placée devrait donc s’inscrire autour de 2,3 millions de m² en Ile-de-France en 2016, soit un niveau conforme à sa moyenne décennale.

Possibles pressions à la hausse sur les loyers des meilleurs immeubles. La probabilité est d’autant plus forte qu’il y a de belles opportunités du côté des valeurs locatives : même pour les surfaces de qualité, les loyers n’ont quasiment pas bougé depuis plus d’une décennie. On loue aujourd’hui un immeuble neuf au même prix qu’il y a 12 ans !

Crainte sur l’offre de qualité. La bonne orientation de la demande pourrait être contrariée par la raréfaction préoccupante de l’offre de Grade A. Un peu moins de 650 000 m² de surfaces neuves ou restructurées sont attendus en livraison dans la région parisienne au cours de l’année 2016, soit -51% par rapport à 2015. Et plus de la moitié de cette surface nouvelle a déjà trouvé preneur ! Il faut s’attendre à voir revenir les pré-commercialisations et les locations en l’état futur d’achèvement.

Le marché de l’investissement : l’appétit des investisseurs

Avec 18,1 milliards d’euros investis en Ile-de-France, l’année 2015 se termine sur une progression de 8%. C’est le 3e meilleur résultat jamais enregistré ! La performance est d’autant plus intéressante que le marché a été moins dépendant de quelques méga-deals : il repose sur davantage de transactions (+12%), portant sur un montant unitaire moyen plus faible qu’en 2014. Ainsi, la part de ventes entre 100 et 200 millions d’euros est passée, en un an, de 24% à 32% des volumes investis.

Elargissement de la gamme d’actifs. A 87%, les investissements de 2015 se sont portés sur les bureaux. La part des actifs Core Plus est restée quasi-stable en 2015. La performance de 2015 s’explique par un regain d’intérêt pour les opérations en blanc et le Value Added. Par nécessité, les investisseurs acceptent davantage de risque, dans certaines limites toutefois :

Comparativement à d’autres classes d’actifs, le risque locatif sur un immeuble neuf ou restructuré s’avère finalement mesuré dans un marché qui ne compte que 7,3% de vacance et qui est en manque cruel de surfaces de Grade A.

L’emplacement n’est pas sacrifié lui non plus. Puisqu’il n’y a pas d’opportunités dans le QCA, l’activité a très largement glissé hors de Paris intra-muros : le Croissant Ouest s’affirme comme la localisation star de l’année 2015, avec une progression de 116% des volumes investis, très loin devant la Première Couronne (+17%).

Acquéreurs français pour l’essentiel. Le marché reste ultra-dominé par les investisseurs français, qui génèrent 64% des montants placés en région parisienne, soit 11,6 milliards d’euros. Il s’agit majoritairement d’institutionnels, qui achètent pour leur compte ou pour des fonds immobiliers (SCI, SCPI, OPCI). Les fonds d’origine étrangère ont donc été marginalisés, sans avoir toutefois déserté la place parisienne puisqu’ils comptent pour un total de plus de 6,4 milliards d’euros en 2015.

Taux de rendement comprimés. Conséquence du très fort appétit des investisseurs, les taux de rendement ont connu une compression spectaculaire en 2015, généralement comprise entre 50 et 100 points de base suivant les secteurs géographiques. L’immobilier continue toutefois d’afficher un différentiel de rendement très positif par rapport à d’autres classes d’actifs, à commencer par les placements obligataires. À la fin 2015, les taux de rendement Prime sur le QCA s’inscrivent dans une fourchette comprise entre 3,50 et 3,75%, soit le plus faible niveau jamais observé.

Perspectives 2016. Tabler sur un volume d’investissement proche de 16 milliards d’euros en 2016 paraît réaliste. L’appétit des investisseurs pour les actifs immobiliers se maintiendra à un niveau élevé en raison du faible niveau de risque qu’ils garantissent. En comparaison de certains actifs financiers, l’immobilier d’entreprise en Île-de-France est un havre de paix !

Certes, un réel krach des Brics ferait voler en éclat ce scénario. Ce n’est toutefois pas ce qui semble se profiler : c’est davantage un ralentissement sévère des économies émergentes qui se dessine que leur effondrement. Pas de panique donc, sans pour autant se voiler la face : ce ralentissement, ajouté à la chute spectaculaire des cours du pétrole, auront des répercussions sur le marché de l’investissement en région parisienne.

Le marché des commerces : la manne touristique des ZTI

La croissance, c’est bon pour le commerce. En 2015, elle a été meilleure que prévue (+ 1,1% contre +0,9% attendu) et, surtout, meilleure qu’en 2014 (+0,2%). Sans faire de l’année un grand cru, elle a – un peu – réveillé la consommation. L’année 2015 a aussi été témoin de l’arrivée de nombreuses enseignes jusqu’alors inédites à Paris. L’attractivité touristique de la capitale ajoutée à la perspective d’ouverture le dimanche ont attisé la compétition entre enseignes pour les emplacements numéro 1 de Paris. L’activité transactionnelle s’est donc concentrée sur les meilleures rues, tirant à la hausse de près de 10% en un an le loyer moyen pour l’ensemble de Paris.

Reprise de la consommation. Dans l’évolution du PIB français, la consommation des ménages a joué un rôle moteur en 2015. Rien de spectaculaire : la France reste enserrée dans la bande des 40 à 42 milliards d’euros de dépenses mensuelles, dont elle n’est pas sortie depuis 2007. Mais le pays revient dans le haut de cette fourchette, qui n’avait été atteint qu’une fois, en 2011. Les dramatiques attentats de novembre ont, certes, donné un coup de frein momentané à la consommation. Mais la dimension du drame humain retient de s’attarder sur l’impact économique, même s’il a été réel.

Ouverture le dimanche. Tous les grands axes commerciaux de la capitale, ou presque, ont été intégrés aux nouvelles Zones Touristiques Internationales (ZTI), qui autorisent l’ouverture des commerces le dimanche et en soirée, jusqu’à minuit : cela accroît encore l’appétit des enseignes pour les emplacements numéro 1. En parallèle, les emplacements numéro 2 souffrent d’un manque d’intérêt des enseignes et d’une baisse de l’activité transactionnelle, se traduisant par des valeurs en berne.

Loyers. La hausse des loyers, qui ne concernait auparavant que les plus belles boutiques, se généralise à la plupart des surfaces disponibles sur les emplacements numéro 1. Ailleurs, il en va tout autrement. Néanmoins, la tension haussière sur les rues les plus recherchées (et le faible nombre de prise à bail sur les artères de seconde catégorie) s’est traduite par une hausse de +10% en 2015 du loyer moyen parisien, lequel dépasse désormais les 1 390 € par m² de surface pondérée.

Perspectives 2016. Le mouvement a-t-il des chances d’être durable et de se poursuivre en 2016 ? Il y a des raisons de le croire. Les perspectives 2016 sont favorables en termes de consommation des ménages. Pour la première fois depuis 2007, l’indicateur synthétique de confiance des ménages se rapproche du niveau moyen observé depuis que cet indicateur existe (1972). Or, la confiance est essentielle dans l’acte de consommation.

Même s’il reste encore une grande inconnue sur le front de l’emploi, les prochains mois devraient être favorables au chiffre d’affaires des commerces. Mais ce sont les meilleurs emplacements qui en profiteront le plus. Bref, l’année 2016 devrait être dans la continuité de la précédente, avec de nouvelles pressions à la hausse sur les axes les plus courus et un gap grandissant entre ces emplacements prime et les autres.