31 août 2016

Open Partners inaugure la Résidence étudiante Jules Verne

Laurent Strichard, Président d’Open Partners, a inauguré ce jour la résidence étudiante Jules Verne.

Située dans un quartier en pleine expansion, à proximité de la gare de Clichy-Levallois, elle se trouve à moins de 10 min du centre de Paris (Gare Saint-Lazare) et, par la ligne L du Transilien, à moins de 15 min de Nanterre et de ses 31.000 étudiants.

Une résidence étudiante à la place de bureaux

La nouvelle résidence d’Open Partners a été construite sur un emplacement précédemment occupé par des locaux d’activités et des bureaux. Par ailleurs, en maîtrisant le coût de la construction, Open Partners a réussi à garantir un prix de sortie inférieur au marché, avec un rendement locatif de 3.7% HT/HT, mobilier inclus ; un investissement attractif pour les acquéreurs.

Une nouvelle génération de résidences services

Sur une surface totale de 5 592 m², la résidence propose 231 appartements, dont 216 studios et 15 deux-pièces.

Afin de s’adapter aux besoins des nouvelles générations d’étudiants et des jeunes actifs, Open Partners a développé un concept de logement innovant pour ses studios, « Open 18 ». A surface globale comparable, il offre une plus grande superficie dans la pièce à vivre (en moyenne près de 20% en plus) grâce à une optimisation de l’espace et à la création d’équipements fonctionnels et polyvalents : un « mur intelligent » intégrant la kitchenette équipée et un mobilier exclusivement conçu par Open Partners qui s’adapte au besoin de l’occupant.

La résidence propose des nouveaux espaces communs adaptés aux étudiants 2.0 : un espace de co-working & de détente, une salle de fitness, une laverie, un grand hall convivial avec un espace salon.

« En 2022, nous aurons 2.6 millions d’étudiants en France, nous devons continuer à construire pour que ceux-ci réussissent. Nous devons également faire évoluer ce concept et aider les jeunes à se lancer dans la création d’entreprises en leur offrant des bureaux et un logement », explique Laurent Strichard, Président d’Open Partners.

3 JOURS POUR RÉUSSIR SON PROJET DE MAISON NEUVE AVEC MAISONS PIERRE AU SALON “ FAIRE CONSTRUIRE SA MAISON ” !

Après avoir créé l’événement à la Foire de Paris en donnant la possibilité au public de visiter une vraie maison de 140 m2 aménagée et décorée, Maisons Pierre s’installe sur le salon Faire Construire sa Maison. Les 9, 10 et 11 septembre prochains, l’entreprise accueillera sur son stand les particuliers venus rencontrer des professionnels de la construction en vue de concrétiser leur projet immobilier. Une nouvelle occasion pour le spécialiste de la maison individuelle de leur faire découvrir son savoir-faire en matière d’habitations confortables et performantes, qui s’adaptent à tous les styles de vie.

Cette année, le salon Faire Construire sa Maison fête sa septième édition. Cet événement permet au grand public de découvrir les dernières innovations en matière d’économies d’énergie, de production de chauffage et d’aménagement de la maison. Les particuliers peuvent également rencontrer les acteurs-clés de leur futur projet immobilier : aménageurs fonciers, constructeurs, architectes, industriels du second œuvre et organismes de financement.

Exposant fidèle de cet événement, Maisons Pierre attend les visiteurs sur son stand de 120 m2 entièrement décoré pour l’événement. Celui-ci sera le reflet de sa philosophie : permettre au plus grand nombre de devenir propriétaire d’une maison neuve, performante et économe en énergie au meilleur rapport qualité/prix possible. En exclusivité, le constructeur y présentera plus de 70 plans de maisons. Les visiteurs auront également la possibilité d’échanger avec des conseillers Maisons Pierre et de réaliser une étude personnalisée. Enfin, certains secrets de fabrication d’une maison écoperformante leur seront dévoilés.

Mais ce n’est pas tout ! Comme pour chaque salon auquel il participe, Maisons Pierre promet une surprise de taille à ceux qui seront au rendez-vous. Ainsi, pour toute réservation d’une maison sur son stand, les futurs propriétaires se verront offrir leur cuisine équipée et installée d’une valeur de 9 000 €. Un beau cadeau qui vient récompenser leur envie de se lancer dans l’aventure de la construction !

Maisons Pierre sur le salon Faire Construire sa Maison
Stand E23
Paris – Porte de Versailles
Les vendredi 9 et samedi 10 septembre de 10 h à 19 h, puis le dimanche 11 septembre de 10 h à 18 h

À propos de MAISONS PIERRE
Fondée en 1984 par Pierre Jude, MAISONS PIERRE réalise la construction de maisons individuelles dans plus de 25 départements en France, grâce à un réseau de plus de 40 points de vente et 8 centres techniques. L’entreprise couvre aujourd’hui les régions Île-de-France, Normandie, Hauts-de-France, Grand-Est, Bourgogne-Franche-Comté, Centre-Val-de-Loire, Pays-de-la-Loire et Occitanie. Depuis sa création, plus de 37 000 familles lui ont accordé leur confiance.
www.maisons-pierre.com

Travaux en copropriété, les clés pour bien négocier les honoraires de syndic

La question des honoraires de suivi travaux fait souvent l’objet de longues discussions, parfois houleuses, en assemblée générale. Syneval, n°1 des courtiers en syndic, délivre ses conseils pour bien négocier avec son syndic.

Les travaux, notamment liés à la « rénovation énergétique », sont un sujet majeur en copropriété du fait des montants très importants en jeu. Le suivi de ces travaux est assuré par le syndic, et ce dernier est alors en droit de percevoir une rémunération spécifique, votée en assemblée générale.

Il convient, dans un premier temps, de préciser que le syndic perçoit une rémunération liée au suivi administratif et comptable des travaux, cela comprend notamment l’édition et l’envoi des appels de fonds ainsi que la comptabilisation des factures. Cette rémunération est exprimée en % du montant des travaux, généralement comprise entre 1,5% et 3% HT du montant HT des travaux.

La copropriété peut, par ailleurs, demander au syndic d’effectuer, en sus, un suivi « technique » des travaux en réalisant des visites de chantier, généralement en l’absence de maître d’œuvre. Il convient de préciser que le syndic n’a pas la compétence pour assurer le suivi technique de travaux
ouvrant droit à une garantie biennale ou décennale, la copropriété a donc généralement recours à cette solution pour des petits travaux (ex : cage d’escalier à repeindre, boites aux lettres à remplacer…). Cette rémunération de suivi technique est généralement comprise entre 2% et 4% HT du montant HT des travaux.

Conseil n° 1 : Intégrer les petits travaux dans le budget prévisionnel. En effet, en intégrant certains travaux dans le budget prévisionnel, le suivi de ces travaux fait alors partie de la gestion courante et ne peut donc faire l’objet d’une rémunération spécifique pour le syndic. Cette solution est évidemment déconseillée pour les travaux importants.

Conseil n°2 : Négocier une facturation à la vacation horaire plafonnée à un % du montant des travaux. En cas de mésentente avec son syndic sur le montant de ses honoraires, il est possible d’opter pour une facturation à la vacation horaire avec un maximum correspondant au pourcentage proposé par le syndic. Le syndic ne pourra donc facturer que les heures réellement consacrées au suivi des travaux.

Conseil n°3 : Fixer des dates d’appels de fonds correspondant à ceux du budget. Fixer des dates d’appels de fonds en début de trimestre, comme pour les appels de fonds du budget, simplifie le travail administratif et comptable du syndic. Cela peut-même permettre de diviser les honoraires de suivi administratif et comptable par deux !

Conseil n° 4 : Anticiper la négociation avec le syndic. Il ne faut pas attendre l’assemblée générale pour aborder cette question. Le climat en assemblée générale est en effet peu propice aux prises de décisions. Le conseil syndical doit donc aborder le sujet en amont afin que la rémunération du syndic, proposée en assemblée générale, ait déjà été validée par le conseil syndical.

30 août 2016

Squarebreak révolutionne le métier de gestionnaire de locations de maisons et appartements entre particuliers et invente les « BreakManagers »

De plus en plus, nous entendons parler « d’ubérisation » dans tous les aspects de notre société ultra connectée. De l’hôtellerie, au transport de personnes, en passant par les petits travaux de rénovation ou encore la rénovation énergétique des bâtiments.

Poussée par une forte volonté d’innovation, les fondateurs de Squarebreak ont eu l’idée d’ajouter le service hôtelier de luxe et de professionnaliser la location de biens immobiliers entre particuliers. Pour cela, la startup a créé le poste de BreakManager et mis en place une application qui leur est réservée.

Un BreakManager, c’est quoi ?

Chaque BreakManager est en charge d’une zone définie – un « cluster » -, contenant entre 15 à 25 villas et appartements. Ils sont aujourd’hui entre 30 et 40, et d’autres devraient être recrutés très prochainement dans le cadre du développement de Squarebreak. La taille de la zone à couvrir dépend de la demande dans la région et du style de la clientèle de la région. « La ville de Saint Tropez est très demandée et compte beaucoup de villas haut de gamme. Il y a donc deux BreakManagers rien que pour la ville et ses environs proches. Alors qu’en Bretagne il n’y en a qu’un pour toute la région » explique Hugues Van Heesewijk, co-fondateur de Squarebreak. Un BreakManager doit être passionné par la région, son patrimoine, sa culture et bien la connaitre, avec un réel souci de transmettre l’art de vivre à la française. Il doit avoir de l’expérience dans le tourisme (tour opérateur, agence de voyage, immobilier, voyage…) et rechercher un emploi qui exige beaucoup de flexibilité.

Une application IPhone dédiée

Pour optimiser leur travail, Squarebreak a mis en place une application pour IPhone, dont elle équipe tous ses BreakManagers. Cette application est à l’image de celle qu’utilisent les chauffeurs Uber et a pour objectif de simplifier et optimiser leur travail.

Les BreakManagers peuvent y ajouter des notes sur leurs clients pour se rappeler de leurs exigences et leurs habitudes, géolocaliser les hôtes pour être présents à la villa à l’heure exacte de leur arrivée, communiquer avec eux pendant leur séjour et répondre à toutes leurs demandes, réaliser les états des lieux pour les envoyer directement à Squarebreak, faire le management opérationnel du parc de villas et assurer le lien technique avec le siège de Squarebreak.

Une application destinée cette fois aux clients devrait voir le jour début 2017. Elle permettra d’améliorer leur confort et faciliter encore plus leurs vacances en proposant des prestations de services locaux (excursions, locations de vélo, Chef à domicile, Baby sitting…).

En PACA, hausse des mises en vente de programmes neufs

Les Alpes-Maritimes et les Bouches-du-Rhône sont les deux pierres angulaires du marché de la promotion immobilière en PACA. Comprenant près de 3 000 000 d’habitants, ces deux départements connaissent aujourd’hui une hausse sensible du nombre de programmes neufs mis en vente. Tour d’horizon….

Regain d’activité dans les Alpes-Maritimes
Dans les Alpes-Maritimes, l’activité de promotion immobilière se développe principalement (70%) dans les secteurs littoraux (Nice, Antibes, Cannes, Drap et Carros). En 2015, les programmes en commercialisation ont augmenté de 5,78% par rapport à 2014 et les mises en vente de 15,85%.

Adéquation de l’offre et de la demande. Nice et Cannes focalisent l’intérêt des investisseurs qui représentent 40% des ventes sur ces villes. Par conséquent, les T1 et T2 représentaient 56% des transactions, contre 11% pour les T4 et plus. Dans le même temps, les programmes commercialisés proposaient 45% de petites surfaces. Cette adéquation entre l’offre et la demande permet au stock physique de rester stable à 11% et l’offre commerciale devrait être écoulée en 15 mois.

Des prix en baisse. Le prix moyen au m² des logements collectifs réservés dans le cadre du régime d’une TVA à 20% est en légère baisse par rapport à 2014. Il s‘établit à 5 301 €/m² en 2015 contre 5 429 €/m² en 2014, soit une baisse de 3,4%.

Rareté du foncier, et surtout des recours... Si la rareté du foncier reste l’un des principaux freins à la réalisation de programmes dans le département, ceux-ci rencontrent aussi de nombreuses difficultés à cause de l’instruction des permis de construire, des recours…

Une année 2016 sous de bons auspices. Dans le département, Gambetta PACA détient 12% de part de marché pour les mises en vente. En 2016, la prorogation du dispositif Pinel, les taux d’intérêt qui restent bas et le développement des secteurs aménagés (Méridia, Place du Var, Grand Arenas, Ray…) laissent entrevoir de bonnes perspectives pour l’année en cours.

Rééquilibrage dans les Bouches-du-Rhône
Comme dans les Alpes-Maritimes, la promotion immobilière connait un regain d’activité dans les Bouches-du-Rhône. Porté par des villes telles que Marseille, Aix-en-Provence, Fréjus, Toulon et Avignon, le marché de l’immobilier neuf a connu une hausse de 25,31% des mises en ventes entre 2014 et 2015, passant de 5 532 à 6 932 logements. Dans le même temps, le nombre de réservations nettes a augmenté de 11,28%, passant de 5 596 en 2014 à 6 227 en 2015.

Rééquilibrage de la demande. Le marché des réservations s’est rééquilibré entre occupants (53%) et investisseurs. Ces derniers représentaient 47% de la clientèle en 2015 contre 34% en 2014.

Vente en bloc. Dans le même temps, les réservations en bloc ont subi une chute de 11%, passant de 1 112 unités en 2014 à 712 unités en 2015.

Des prix stables. Côté prix, le prix moyen du m² demeure stable depuis deux ans à 3 931 € / m² sur le département. A Marseille, il atteint 3 767 €/m² et 4 216 €/m² à Aix-en-Provence. De ce fait, le taux d’écoulement moyen reste également inchangé, stabilisé à 11 mois.

Zoom sur le Var
Département côtier limitrophe des Alpes-Maritimes et des Bouches-du-Rhône, le Var profite également de l’embellie de ses voisins. En 2015, les réservations y ont augmenté de 157% avec une offre commerciale en hausse de 11% (2 700 logements en 2015, contre 2 339 en 2014). Le prix moyen au m² (hors parking) a cru de 2%.

24 août 2016

WiSEED, partenaire du 22ème Congrès du Syndicat National des Aménageurs Lotisseurs (SNAL)

WiSEED, leader du crowdfunding immobilier en France, est partenaire du 22ème Congrès du Syndicat National des Aménageurs Lotisseurs (SNAL) qui se tiendra les 13 et 14 septembre 2016 à l'Arsenal de Metz. Le SNAL représente les entreprises d’aménagement et de lotissement en charge de l’ensemble des opérations de viabilisation d’un projet d’aménagement, des travaux de voierie à la revente des terrains urbanisables.

Les principaux représentants de la profession se réuniront à Metz pour discuter des enjeux de l’aménagement notamment en termes d’attractivité des territoires, de construction de logements en fonction des besoins des ménages face à l’évolution des cadres de vie ou encore de l’aménagement d’espaces publics favorisant la rencontre et la mixité sociale.

WiSEED y présentera le financement participatif comme un outil innovant permettant aux aménageurs lotisseurs, aux promoteurs et aux collectivités territoriales de financer leur projet. Le crowdfunding immobilier est un des vecteurs de financement de la transition écologique et un moteur de croissance intéressant pour la construction.

Depuis 2011, WiSEED immobilier a financé 61 projets, dont 11 projets qui ont donné lieu à des remboursements avec un taux de rendement moyen annuel de plus de 9%, pour une durée d’investissement moyenne de 14,3 mois. WiSEED a permis au secteur de l’immobilier et de la construction de collecter 30 millions d’euros auprès d’investisseurs particuliers. Ils ont contribué à la création de 2 232 emplois et au financement de 10 000 m² de bureaux et 2201 logements en France.

22 août 2016

Réseau Morgane, une approche révolutionnaire de l'immobilier


Le principe du réseau Morgane est simple: il s'agit de rassembler, à la fois, les acteurs de l'élaboration d'un programme immobilier respectueux de l'environnement et les futurs propriétaires dans une approche participative centrée sur l'autopromotion afin de limiter les coûts d'acquisition et d’établir une transparence financière.

Basé sur un modèle économique novateur et participatif, le réseau Morgane s'adresse à des futurs propriétaires résidents et des investisseurs désireux de louer leur bien immobilier. Associés dans un projet commun, dans une mouvance du partage, les clients sont, avant tout, des associés.

Un coût réduit grâce à la réduction des intermédiaires

Novateur, le concept du réseau permet aux acquéreurs de réaliser des économies substantielles à l'achat du logement. Commercialisés au prix de revient, les biens immobiliers à énergie positive (RT2020) sont commercialisés à un prix similaire ou inférieur au marché du neuf traditionnel.

Pour parvenir à ce résultat, le réseau s'appuie sur la relation directe entre l'offre et la demande, sur un modèle de réseau social avec des partenaires régionaux incluant une absence de promoteur et de marge commerciale. Au niveau de la construction, le réseau privilégie une solution modulaire et industrielle de la construction. Cette approche innovante permet une optimisation des coûts, un gain sur le temps nécessaire à la construction et une innovation technologique permanente.

Des logements suréquipés tournés vers un avenir vert

Certifiés bâtiments à énergie positive (Bepos), les projets immobiliers du réseau Morgane anticipent la RT 2020. Les logements s'inscrivent dans un avenir vert où la production d'énergie de la construction est supérieure à celle nécessaire à son fonctionnement. Ainsi, les charges s'en trouvent allégées.

Du matériau de construction jusque dans les moindres équipements, les appartements sont conçus intelligemment. Suréquipés, fonctionnels et modernes grâce à l'apport de la domotique, ils privilégient la qualité de vie et le bien-être des occupants avec des espaces extérieurs individuels spacieux.

A propos du réseau Morgane
Créé en juin 2015 par Daniel Sechaud, le réseau Morgane lance simultanément, cette année, quatre programmes immobiliers à Faverges (74210), Albertville (73200), Marignier (74970) ainsi qu’une résidence étudiante à Cran Gevrier (74960) organisée dans le cadre de la colocation et conçue en partenariat avec les étudiants.
www.reseau-morgane.fr

01 août 2016

Homunity finance sa première opération de lots à bâtir et à rénover à 9% de rendement à proximité de Lyon

Première opération de refinancement de fonds propres

Après 4 opérations financées en région parisienne, Homunity propose une première opération dans la banlieue lyonnaise, à Saint-Cyr-au-Mont-d’Or, une commune très prisée.

Un projet de qualité

Ce projet est réalisé par Bo Invest, aménageur foncier depuis plus de dix ans en région lyonnaise et spécialiste du haut de gamme. Il porte sur la vente de 3 terrains viabilisés et d’une bâtisse qui sera entièrement rénovée et divisée en 8 lots, le tout réparti sur un terrain de 3 059 m². L’ensemble a été entièrement commercialisé et les travaux de viabilisation des lots et d’aménagement de la parcelle sont réalisés.

Une campagne de refinancement de fonds propres

La singularité de cette opération est le refinancement de fonds propres. L’objectif n’est pas de financer l’acquisition du terrain et le début des travaux, mais de permettre à Bo Invest de sortir une partie de ses fonds propres pour les allouer à une autre opération.

En aménagement foncier, une condition suspensive d’obtention de permis de construire est insérée dans le compromis de vente et à la signature de l’acte. De ce fait, le paiement ne se fait qu’une fois le permis obtenu. Pour éviter de laisser « dormir » ses fonds sur cette opération, Bo Invest a opté pour une campagne de refinancement via Homunity.

Un Investissement sécurisé

Les risques travaux et commerciaux sont écartés, et les acquéreurs ont tous fait appel à l’architecte Fabrice Santoro, qui travaille régulièrement avec Bo Invest dans le respect des dispositions du PLU. Cela explique la courte durée du projet, 10 mois, et son engouement auprès de la communauté Homunity. Lancée le 25 juillet, l’opération a récolté les 200 000 € recherchés en seulement 5 jours. De plus, elle propose un rendement de 9%.

Un développement sur tout le territoire français

Avec ce premier projet hors de la région parisienne, Homunity affirme sa volonté de développement. De nombreux autres projets sont en cours de montage aux quatre coins de la France pour satisfaire, à la fois les promoteurs en développement, et les investisseurs à la recherche de placements intéressants.