24 février 2014

Les non-résidents : La clé de la relance du marché immobilier français ?

70% des étrangers qui acquièrent un bien immobilier résident déjà en France. Les non-résidents représentaient seulement 2% du marché en 2013. Voilà pourquoi chez CAPIFRANCE on mise beaucoup sur cette clientèle potentielle. Explications...

Selon les notaires de France, les premiers acquéreurs non-résidents sont les Français expatriés. Ils représentent près de 30% de la demande. En outre, dans 70% des cas, les étrangers qui acquièrent un bien immobilier résident déjà en France. On note également, que la proportion d'acquéreurs déjà propriétaires (hors de leur pays d'origine) avant leur acquisition en France continue d'augmenter. Plus particulièrement, la part de ces acquéreurs ayant déjà par le passé acheté en France, a plus que doublé, passant de 14 % en 2012 à 33% en 2013. (Source BNP Paribas International buyers). Une tendance qui semble s'inscrire dans la durée puisque les intentions d'achat continuent d'augmenter. Ainsi, 53 % de ces « habitués » déclarent envisager une nouvelle acquisition prochainement.

Pourtant si on regarde au détail, sur la période 2009-2013, les étrangers qui n'habitaient pas dans l'Hexagone avant d'y acheter un appartement représentent seulement 2% des acquéreurs. « Tout reste donc à faire pour attirer une clientèle étrangère souvent plus exigeante en matière de services et de relationnel. C'est pourquoi CAPIFRANCE, premier réseau de mandataires en immobiliers de France a souhaité développer un service international qui leur est dédié » précise David Breuillon, à la tête de celui-ci.

L'objectif : une plus grande réactivité dans le traitement des demandes et de la transparence dans le suivi, mais également une plus grande souplesse dans les solutions proposées, avec la prise en compte du projet de manière globale. « Souvent les étrangers qui souhaitent investir dans un bien immobilier sont inquiets par notre processus de vente ou d'achat, par notre fiscalité ou encore nos démarches administratives lourdes. Il est donc essentiel de les rassurer mais également de les accompagner sur tous ces points » assure David Breuillon. La clientèle expatriée se caractérise en effet souvent par sa volonté de comprendre les aspects réglementaires de l'opération.

D'où l'importance du rôle pédagogique porté par l'interlocuteur du client. Une particularité dont a bien conscience David Breuillon, pour qui « il est essentiel que l'interlocuteur soit capable de répondre à toutes les demandes. Cela permet d'éviter les intermédiaires. D'ailleurs chez CAPIFRANCE on mise depuis toujours sur un interlocuteur unique, qui met en relation le client avec le conseiller, et qui suit de près toutes les étapes de l'acquisition du bien ».

Une stratégie payante puisque le réseau enregistre des taux de recommandations record. « 97% des clients étrangers qui ont fait appel à CAPIFRANCE pour un projet immobilier, recommandent les services du réseau. « C'est sans doute la raison des bonnes performances de CAPIFRANCE concernant la clientèle des non-résidents. Car l'autre particularité des étrangers c'est qu'ils font souvent appel à leurs amis ou relations ayant déjà acquis un bien en France pour trouver leur propriété » explique David Breuillon. C'est en effet le cas de 43 % des non-résidents. Mais cette tendance semble révolue puisque en 2013, 41 % des non-résidents se sont tournés vers les professionnels. (Source BNP Paribas International buyers)




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19 février 2014

FIRST REAL TRANSAC HOLDING SA recherche des distributeurs exclusifs


FIRST REAL TRANSAC HOLDING SA, distributeur exclusif du MLS ( Multiple Listing Service ) immobilier mondial et du premier CRM multi-utilisateurs entièrement gratuit, recherche dans le cadre de son expansion en France, des distributeurs exclusifs régionaux afin de distribuer son produit.

DISTRIBUTEUR EXCLUSIF REGIONAL:

- Des solutions innovantes venue tout droit des Etats-Unies
- Un marché internet en plein essors
- Une demande forte de la part des clients
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- Pas de compétences techniques requises
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Auto-entrepreneur / entrepreneur ayant un profil commercial
* avoir une connaissance du métier de l'immobilier est un plus.








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10 février 2014

Immobilier : Les raisons de s'implanter en Allemagne

Le marché immobilier allemand est depuis quelques années un des plus dynamiques en Europe et, de fait, a attiré de nombreux investisseurs étrangers, en particulier français. C'est le cas de CAPIFRANCE, premier réseau de conseillers immobiliers de France, qui envisage d'y implanter sa première filiale dès le mois de juin 2014. Explications avec Xavier Lalande, Directeur international.

Comment a émergé le projet de création d'une filiale à l'étranger ?
Xavier Lalande : Il est logique pour une entreprise qui atteint un volume comme celui de CAPIFRANCE, avec plus de 53 millions d'euros, ainsi qu'un modèle bien éprouvé et efficace, en tout cas sur le marché français, d'actionner un levier de croissance via les territoires. Or, quand on a une bonne couverture nationale, ce qui est le cas de CAPIFRANCE, il est normal qu'on se tourne à l'international. En outre les études de marché que nous avons lancées montrent que le modèle n'existe pas ou peu à l'étranger. Qui plus est, avec cette taille, cet historique, il est peut être dangereux sur le long terme de ne dépendre que du marché français. Investir à l'international, permet bien sûr de conquérir de nouveaux marchés et de nouveaux chiffres d'affaires mais en même temps, de pérenniser la structure.

Quelles sont les étapes pour s'implanter sur un marché étranger et où en êtes-vous précisément ?
XL : La première étape et une phase avant tout préparatoire. Dans notre cas, il s'agit de valider la stratégie et le potentiel que représente l'Allemagne. Pour cela, on s'appuie sur des études de marché, on rencontre les différents acteurs du marché, on s'imprègne des mentalités et de la culture d'affaires dans l'immobilier. On affute aussi notre offre. Aujourd'hui c'est notre principal travail.
La deuxième étape, revêt davantage un caractère opérationnel puisqu'il s'agit de monter une structure. Or, dans notre cas nous avons fait le choix de créer une filiale. L'autre option aurait été de prendre un master franchisé. La filiale est financièrement plus risquée, mais le retour sur investissement est souvent plus intéressant. Après avoir monté la structure vient l'étape du recrutement, l'objectif étant de trouver un responsable pays. C'est là que nous en sommes actuellement concernant la phase opérationnelle, reste à trouver des bureaux.
Enfin, avant de s'implanter sur un nouveau marché, il est essentiel d'analyser la concurrence et les nouveaux concepts émergeants, pour toujours rester innovants. La législation locale est aussi à surveiller pour être en permanence dans la conformité des lois.

Justement, quelles sont les particularités du marché immobilier Allemand et les grandes différences avec le système français ?
XL : Le secteur immobilier allemand est un réseau très dense de réglementations, largement basé sur la protection du consommateur. A la différence de la France, les locataires qui sont extrêmement protégés. Par exemple, en Allemagne, les loyers ne peuvent pas dépasser les 15 % d'augmentation sur 5 ans, d'une part, et d'autre part, ne doivent pas dépasser non plus les 10 % du prix moyen du quartier. Le prix moyen est d'ailleurs surveillé de très près par les associations de locataires, très puissantes ici. Il faut aussi savoir que les baux sont illimités et transmissibles aux enfants et que, seule la reprise par le propriétaire ou ses proches, permet de se séparer de son locataire. Et encore..... Tout ceci explique que le marché allemand reste avant tout un marché locatif. C'est sans doute la plus grande différence de mentalité avec la France. En Allemagne, seuls 46 % des ménages sont propriétaires de leur logement (et peu d'entre eux envisagent d'acheter).

Pensez-vous que cela puisse être un frein à votre activité dans ce pays ?
XL : Il est évident que pour appréhender le marché Allemand, il faut disposer entre autre d'une offre de gestion-location. C'est le cas de, CAPIFRANCE qui souhaite développer encore cette activité sur le sol allemand. Et concernant la faible propension des Allemands à acheter leur logement, c'est à nous de les sensibiliser à cette démarche. Tout comme en France ou le PAP représente encore 50% des transactions, il est évident que pour gagner des parts de marché, les professionnels immobiliers se doivent de proposer des services sur mesure et de qualité aux consommateurs. C'est le cas de CAPIFRANCE, seul réseau à proposer un accompagnement optimal aux clients, tout au long de leur projet immobilier. De la recherche à l'installation...




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04 février 2014

Convention-cadre entre l’Union Nationale de la Propriété Immobilière (UNPI) et l’Etat portant sur la mise en œuvre du programme Solibail

Jean Perrin, président de l’UNPI et Alain Régnier, délégué interministériel pour l’hébergement et l’accès au logement des personnes sans-abri ou mal logées (DIHAL) ont signé le 29 janvier à Paris une convention qui a pour objet de coordonner l'action de l'Etat et des propriétaires du parc privé, dans le cadre de la mise en œuvre du dispositif d’intermédiation locative Solibail (www.solibail.fr).

Le dispositif est déployé dans sept régions : Ile-de-France, Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées, Nord-Pas-de-Calais, Pays-de-la-Loire, Provence-Alpes-Côte-d’azur et Rhône-Alpes. L’objectif est de capter dans le parc d’habitat privé diffus une offre nouvelle pour accueillir des ménages en difficulté d'accès à un logement autonome. Les propriétaires-bailleurs, dans le cadre du dispositif Solibail, sont sécurisés financièrement et les ménages sont accompagnés dans leur recherche de logement.

A ce jour, la mise en œuvre du programme Solibail a permis de capter 4 500 logements sur l’ensemble du territoire, dont 3 000 en Ile-de-France.

Jean Perrin se félicite de ce partenariat avec l'État : le programme Solibail permettra de renforcer le rôle social que le parc privé joue déjà de fait.

L’UNPI s’engage à faire connaître et valoriser ce dispositif auprès de ses 250 000 adhérents et de son réseau de 120 chambres de propriétaires affiliées, sur l’ensemble du territoire.




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