31 mai 2016

Politique du logement : il faut une révolution copernicienne

Depuis la décentralisation, la politique du logement en France est fondée sur un terrible malentendu : l'Etat a fait le choix d'aider les acquéreurs de logement, et par ricochet les producteurs, plutôt que d'aider les collectivités locales. En fait, tout s'est passé comme si rien n'avait changé depuis que la responsabilité de l'urbanisme leur a été confiée, alors que leurs décisions conditionnent désormais largement la disponibilité foncière, la vigueur de la production et les prix de sortie.

Si les collectivités ont bénéficié pendant trente ans de dotations les incitant à la modération de la fiscalité locale ou encore à ne pas céder leurs emprises foncières à des prix excessifs, cette situation est révolue. La maîtrise des droits à construire et des autorisations, le bénéfice de la taxe foncière et de la taxe d'habitation sont les seules ressources qui restent aux communes. D'ailleurs, le débat est ouvert sur le manque de réalisme du calcul des taxes locales : l'entrée en vigueur de la réforme des bases cadastrales devra bien intervenir un jour pour une opération-vérité sur le patrimoine foncier, bâti et non bâti.

Que faut-il faire en faveur des collectivités pour dynamiser la construction à des prix accessibles? Il importe d'abord de supprimer les aides publiques aux acquéreurs et de libérer les droits à construire. La dépendance aux aides des acteurs est patente. Une illustration : à Nantes, le prix de marché est de 2 500€/m², grâce au PSLA (prêt social de location-accession) et la TVA à taux réduit. Sur le même territoire, un logement acquis sous le régime fiscal du dispositif Pinel, ne bénéficiant pas de ces avantages, ressort à un prix de 4 000€/m², l'acquéreur acceptant l'effort du prix à l'entrée, parce qu'il pourra modérer son imposition ensuite. Bref, un marché de dupes : les aides à l'acquéreur, accédant ou investisseur, ne sont là que pour servir d'amortisseur à des prix excessifs.

C'est en zone véritablement tendue qu'il faut accentuer l'effort de construction privée et abonder l'offre locative privée : entre 1995 et 2008, alors que la zone A -marchés à plus fort déséquilibre entre l'offre et la demande-, qui ne comprenait alors que l'Ile-de-France, les Alpes-Maritimes et le Pays de Gex, le nombre de logements locatifs privés n'a crû que de 5%, pendant que l'offre HLM augmentait de plus de 50% pour tenter de satisfaire la demande.

En revanche, on assimile à tort la taille des agglomérations et leur attractivité aux tensions de marché: Aix-en-Provence, Marseille, Lyon, Bordeaux, Toulouse, Montpellier ou Nantes sont des villes chères, mais la population parvient à s'y loger, avec, il est vrai, une majoration du taux d'effort. Ce ne sont pas à proprement parler des marchés tendus.

On sait également que les maires sont réticents à autoriser l'édification de programmes neufs parce que l'arrivée de nouveaux habitants va exiger une multiplication des services et des infrastructures, créant des charges supplémentaires. Ces charges vont peser sur la population actuelle...qui constitue aussi le corps électoral. Aider les communes actives en matière de construction par des dotations spéciales aux équipements leur permettra de ne pas ressentir les nouveaux logements comme générateur d'investissements insupportables, entraînant des augmentations d'impôts.

Le discours dominant des pouvoirs publics, qui considèrent les aides aux investisseurs comme une condition de la santé de la construction résidentielle neuve, mais également de la communauté des promoteurs, habituée à ces perfusions économiques, doit changer. La conception qui l'inspire est à courte vue. Il est urgent d'assainir le système et de cesser, comme dans le tonneau des Danaïdes, de déverser des aides en bout de chaîne pour atténuer la douleur découlant d'un mal originel. Ce mal, c'est le gâchis de droits à construire sous-utilisés, assorti d'une inflation du prix du foncier de l'ordre de 30% consécutif au dispositif Pinel. Aux aides qui ne résolvent rien sur le fond, il faut substituer une politique de soutien aux communes qui jouent le jeu du foncier et de son optimisation, et misent sur l'abondement de leur parc de logement par l'octroi de permis de construire. Rien moins qu'une révolution copernicienne: c'est la formation des prix qui doit conduire à la modération, et non les aides qui doivent corriger l'absence de modération.

30 mai 2016

HERACLES INVESTISSEMENT acquiert une résidence étudiante et un local commercial dans la ZAC du Trigone

Le groupe HERACLES INVESTISSEMENT, fondé et dirigé par Xavier Alvarez-Roman, vient d’acquérir en état futur d’achèvement, auprès d’EIFFAGE Immobilier et d’ICADE, une résidence étudiante et un local commercial. La livraison est prévue pour juillet 2018.

L’ensemble est situé dans la ZAC du Trigone, face à la gare TGV de Nîmes. La résidence étudiante, composée de 190 logements et de 40 emplacements de stationnement, a été acquise par HERACLES INVESTISSEMENT. Les espaces communs intérieurs ont été dessinés par le studio MHNA (Marc Hertrich et Nicolas Adnet). HERACLES INVESTISSMENT a aussi le local commercial, d’une surface de 1 165m2.

Création de valeur et diversification

Ces deux acquisitions ont été réalisées sur plan (en VEFA) et « en blanc », c’est-à-dire avant location. Elles illustrent parfaitement la stratégie d’HERACLES INVESTISSEMENT sur deux points :

> Sa capacité à créer de la valeur, en se positionnant très en amont sur une opération et en se réservant la recherche du locataire. Une fois pris à bail, en effet, l’actif est valorisé d’après le loyer fixé et le taux de rendement demandé par les investisseurs sur le marché. Il y a création de valeur chaque fois que le montant de cette valorisation est supérieur au prix de revient du bien.

> Son objectif de diversification d’actifs, la foncière HERACLES INVESTISSEMENT accélérant ses acquisitions de résidences étudiantes. Six autres réalisations sont actuellement en cours dans toute la France, 3 en Ile-de-France et 3 autres dans de grandes villes de province.

Dans cette opération, HERACLES INVESTISSEMENT était assisté par Maître Guibert, son notaire, et conseillé par la société GB Conseils pour le local commercial.

Le Groupe DPG-DELTA construit les futurs bureaux de Pôle Emploi

Le Groupe DPG-DELTA annonce la mise en construction de deux immeubles destinés à Pole Emploi, l’un à Bayonne et l’autre à Parentis-en-Born. Les deux opérations sont réalisées en BEFA (Bail en l’Etat Futur d’Achèvement) : la location est signée sur plan entre le promoteur et le locataire (Pôle Emploi).

A Bayonne, des stars de l’architecture

Le premier projet est situé à Bayonne, sur le boulevard du Bab à proximité du centre-ville. Ce bâtiment accueillera sur 3 étages 58 agents Pôle Emploi. Le rez-de-chaussée sera dédié à un occupant tiers. 21 places de parking en sous-sol sont également prévues.

L’immeuble s’inscrit dans un plan guide dessiné par le cabinet d’architectes néerlandais MVRDV dans le cadre d’un projet avec l’Agglomération Côte Basque Adour. Les façades sont différenciées en fonction de leur orientation.

A Parentis-en-Born, une architecture locale

Le second projet situé à Parentis-en-Born est réalisé sur un terrain communal de 2139m2 cédé au Groupe DPG-DELTA. Cette agence Pôle Emploi de plain-pied est destinée à accueillir 31 agents. L’immeuble respectera le style local avec des façades maçonnées en enduit blanc et une charpente apparente gris anthracite recouverte de tuiles Océane couleur « Paysage ».

Livraison. Dans les deux cas, les travaux commenceront début 2017 pour une livraison prévue fin 2017.

27 mai 2016

REALITES renforce ses positions dans l’Ouest en remportant 2 projets d’un volume d’activité global de 25 M€ à Brest.

REALITES continue son développement dans le Grand-Ouest et s'implante à Brest (29) en remportant un appel à projets lancé par l’aménageur public Brest Métropole Aménagement (BMA). Les 2 futures résidences représentent un volume d’activité global de 25 M€ environ, et sortiront de terre courant 2018 pour une livraison prévue en 2019.

REALITES a été désigné lauréat du concours de l’Ilot G de la ZAC du Plateau des Capucins, Quartier des 4 Moulins à Brest. Au travers de ses filiales REALITES PROMOTION et HEURUS, le groupe réalisera une résidence services pour personnes âgées et séniors de 114 logements (gérée par HEURUS), ainsi qu’une résidence pour étudiants de 140 logements environ. La réponse apportée par REALITES a convaincu l’aménageur et les décideurs publics par la qualité des services et les tarifs proposés notamment, ainsi que la perspective de création d’emplois dès l’ouverture des résidences.

Le transfert des activités industrielles et militaires de la ZAC du Plateau des Capucins est l’occasion de bâtir un quartier convivial, innovant et respectueux de l’environnement, en plein cœur de l’agglomération. Les anciens Ateliers des Capucins recevront ainsi très bientôt un ensemble d’activités économiques, culturelles et festives (commerces, restaurants, salles d’exposition, complexe Cinéma, médiathèque, Centre National des Arts de la rue…). De plus, déjà bien desservi par le réseau de transports en commun (bus et tramway), le quartier situé sur les hauteurs de Recouvrance sera prochainement relié au cœur de ville par un nouveau téléphérique urbain.

De nombreux logements ont été récemment construits sur la ZAC, avec une production diversifiée : social, primo-accession, logements libres, et commerces de proximité en pieds d’immeubles. La résidence services pour personnes âgées et la résidence étudiante viendront répondre à un besoin complémentaire, et permettront par la même occasion d’accentuer le lien intergénérationnel du quartier.

Les 2 résidences seront certifiées selon les normes NF Habitat - NF Habitat HQE™. Le planning des projets sera lui arrêté au cours des prochaines semaines. Les permis de construire devraient être déposés au second semestre 2016, la commercialisation lancée au 1er semestre 2017, et les travaux démarrés au cours du premier semestre 2018. Leurs livraisons sont ainsi envisagées pour la fin de l’année 2019.

Résidence SEGER Dôme Impérial, à Besançon :56 appartements inaugurés et 35 appartements en commercialisation

Avec Dôme Impérial, SEGER poursuit sa contribution à l’enrichissement architectural de Besançon, ville d’art et d’histoire jadis surnommée Chrysopolis, la « Ville d’or ». Les dômes à l’impériale coiffant sa toiture rendent hommage à la forme traditionnelle, inspirée de la couronne du Saint Empire Romain Germanique, des clochers francs-comtois construits aux 17e et 18e siècles et ont été réalisés par l’architecte Jean-Jacques JULIEN.

L’élégance et la qualité de vie d’une résidence haut de gamme

Située aux portes du centre-ville historique, au cœur d’une zone piétonne desservie par le tramway, la première tranche de la résidence de standing Dôme Impérial composée de 56 appartements (du studio au T6) vient d’être inaugurée.

Elle intègre en son rez-de-chaussée les nouveaux bureaux de l’agence SEGER ainsi qu’un grand commerce alimentaire qui dynamise l’avenue Fontaine Argent.

Accès sécurisés, isolation phonique performante, matériaux de qualité faits pour durer, balcon, terrasse ou loggia dans la plupart des appartements, système de refroidissement par aérothermie dans les trois-pièces et plus…, l’ensemble immobilier réussit parfaitement la synthèse entre le grand standing et l'habitat durable, justifié par le label BBC (Bâtiment Basse Consommation).

Une œuvre d'art réalisée par l'artiste Laure OBERRE de l’atelier "de l'OR à la lumière », siègera dans le hall d'entrée de la résidence. Cette action s’inscrit dans le programme « 1 œuvre 1 immeuble » lancé par le ministère de la Culture et de la Communication et soutenu par la Fédération de la Promotion Immobilière (FPI).

La commercialisation des 35 appartements de la seconde tranche du programme immobilier vient également d’être lancée. La livraison est prévue pour le second trimestre 2017.

Le respect de la culture locale, un emplacement idéal, la parfaite intégration dans le paysage urbain, une architecture élégante, la qualité des prestations pour un confort de vie hors normes, la préservation de l'environnement : les grands concepts qui guident chacune des réalisations de SEGER depuis 35 ans, trouvent ici leur plus belle expression.

Une nouvelle « Griffe SEGER » à Besançon

Ce coup de maître n’est pas le premier de SEGER à Besançon. Le promoteur dijonnais s’est installé en Franche-Comté en 1997 et, depuis, toutes ses réalisations, représentant 750 logements, portent sa Griffe.

Ainsi, en 2000, SEGER a réalisé la réhabilitation de l’ancienne usine Weil de confection de vêtements, emblématique de la ville, transformée en immeuble résidentiel de 86 logements, Les Fontaines de Jouvence.

SEGER a proposé en 2004 la campagne à la ville avec un complexe de 430 appartements niché dans un ensemble boisé de plus de 10 hectares surplombant le centre-ville, le Domaine des Monts de Brégille.

En 2009, une résidence services pour séniors, la Villa Médicis, sise en plein cœur de Besançon, est née de la rénovation de l’ancien Grand Hôtel des Bains, vestige classé du passé thermal de la cité.

SEGER a construit en 2011 un immeuble de 48 logements, la Villa Campagnola, dédié au peintre et sculpteur Enrico Campagnola (1911-1984), Directeur de l’école des Beaux-Arts à Besançon et ami d’enfance du propriétaire du terrain. La décoration du hall d’entrée, toujours très soignée dans les réalisations SEGER, est rehaussée d’un bas-relief de cet artiste.

En 2012, une petite copropriété certifiée BBC a vu le jour sur les bords du Doubs à deux pas du centre-ville, dans un site protégé avec un ancien jardin à la Française donnant sur la ville et la citadelle de VAUBAN, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, le Clos de Port Joint

Cette copropriété a été complétée en 2013 par une deuxième petite résidence, le Clos de Port Joint 2, située sur le même emplacement exceptionnel pour répondre au succès rencontrée par la première (au total, 58 appartements).

Inauguration de la résidence Algorithme à Epinay-sur-Orge (91) : 65 nouveaux logements, dont 13 sociaux

Emmanuel Rolland, Directeur de la Promotion de Crédit Agricole Immobilier a inauguré le 26 mai 2016 la résidence Algorithme à Epinay-sur-Orge (91), en présence de M. Dominique Decugnière, 1er Maire adjoint de la ville et Hugues Cadet, Directeur général de SOGEMAC Habitat (bailleur social). Cet ouvrage résulte de 18 mois de travaux, qui ont engagé 15 entreprises. Algorithme recevra ses nouveaux habitants à partir du 6 juin prochain. La résidence compte 65 logements, dont 13 sociaux.

Signée de l’architecte Viorel Simion, la résidence Algorithme donne une nouvelle illustration de l’ambition du groupe Crédit Agricole dans le domaine du logement. Située 102-104 grande Rue, à Epinay-sur-Orge, elle s’insère harmonieusement dans un quartier résidentiel proche du cœur de ville et accessible à pied ou en bus. Avec des prestations et des prix permettant l’accession à la propriété pour tous, et notamment aux jeunes, le projet a été plébiscité par les spinaliens et les habitants des communes environnantes. Près de 80% de la résidence a été vendue à des accédants précédemment domiciliés dans l’Essonne ou à des investisseurs locaux.

Crédit Agricole Immobilier, pôle d’expertise du groupe Crédit Agricole en matière d’immobilier, réaffirme ainsi en Ile-de-France son implication sur les territoires pour proposer aux habitants les solutions de logement adaptées à leurs besoins. La résidence Algorithme sera livrée à ses occupants le 6 juin prochain.

Chiffres clés :
3 732 m² de logements – 65 appartements, dont 13 logements sociaux – 104 parkings
18 mois de travaux
Montant global des travaux : 5 500 000 € HT
+ de 15 entreprises engagées

26 mai 2016

Immobilier : C'est le moment d'acheter !

Dispositif Pinel, baisse des taux d'intérêt, prix toujours stables, les signaux sont au vert dans l'immobilier neuf et laissent envisager une réelle reprise. De quoi intéresser à nouveau acheteurs et investisseurs... Explications avec Philippe Buyens, Directeur général et Virginie Cottet-Moine, Responsable de la filière Neuf chez CAPIFRANCE.

« L'immobilier est une valeur-refuge. Il permet de sécuriser son capital, mais est aussi un actif de placement rentable » assure Virginie Cottet-Moine, Responsable de la filière Neuf chez CAPIFRANCE. Or selon l'experte, « avec la baisse des taux bancaires, les gens sont très enclins à investir. Ils prennent conscience que le moment est venu d'acheter dans le neuf, grâce aux divers dispositifs mis en place par le gouvernement que ce soit pour favoriser l'accession à la propriété ou l'investissement locatif».

Toutes les conditions sont notamment réunies pour séduire à nouveau les investisseurs privés: « les taux bas combinés aux avantages de la loi Pinel garantissent une rentabilité et un taux de défiscalisation très intéressants » assure Philippe Buyens, Directeur Général de CAPIFRANCE.
« La loi Pinel ouvre droit à une réduction d'impôts sur le revenu pouvant atteindre 21% sur 12 ans. Ce dispositif permet de défiscaliser jusqu'à 63 000 euros ».
Très attendue, la prolongation du dispositif fiscal Pinel jusqu'à 2017 a d'ailleurs été saluée par l'ensemble des acteurs du secteur. « Après le dispositif Duflot qui a été un échec, il faut reconnaître que ce dispositif fonctionne bien et a permis de relancer les ventes de logement locatifs neufs. Pour notre part, nous avons au sein du réseau CAPIFRANCE enregistré une hausse de plus de 35 % des ventes par rapport à 2014. Autrement dit, l'an dernier près d'une vente sur trois réalisée dans l'immobilier neuf était un Pinel (37%) » se félicite le Directeur Général de CAPIFRANCE.

3 conseils pour un bon investissement Pinel

1/ Comparer les loyers en loi Pinel avec les loyers réels
Un particulier achetant un appartement pour le louer à travers le dispositif Pinel, doit respecter un plafond de loyer. Le conseiller CAPIFRANCE se chargera d'établir une moyenne des loyers pratiqués aux alentours afin que son client propose le prix le mieux adapté au marché.

2/ Choisir le meilleur emplacement pour son projet immobilier
Faut-il privilégier la ville ? Faut-il investir près de chez soi ? Les conseillers CAPIFRANCE, experts dans l'immobilier neuf, accompagnent et orientent leurs clients afin de leur assurer d'investir dans les meilleures zones et les meilleurs programmes, à grâce à leur portefeuille de plus de 20 000 lots en France et dans les DOM.

3/ Calculer et comparer la rentabilité locative
Une fois que l'emplacement du logement est validé et que le loyer proposé en loi Pinel parait cohérent au regard du marché locatif, notre conseiller immobilier proposera à son client de calculer la rentabilité locative des logements. Celle-ci est déterminante pour choisir le meilleur bien potentiel.

Les primo-accédants ne sont pas en reste : le PTZ +, prêt à taux zéro élargi et dont le différé de remboursement a également été allongé devrait toujours séduire. «La baisse des taux d'intérêts et le PTZ entraînent des mensualités réduites pour les acquéreurs. Le moment est donc ultra favorable pour acheter, d'autant plus que nous ne savons pas encore si les conditions seront les même en 2017 » précise Virginie Cottet-Moine.

Plus avantageux que jamais, le PTZ permet donc de faire revenir les primo accédants qui avaient déserté le marché depuis plus de 5 ans. Mais si les conditions d'éligibilité sont aujourd'hui particulièrement intéressantes peu de ménages savent qu'ils peuvent y prétendre. « Manque de communication, message mal compris ... les acheteurs potentiels connaissent mal le PTZ et peu d'entre savent qu'ils y ont droit ».

Selon les derniers chiffres du gouvernement 35 000 ménages pourraient ainsi potentiellement accéder à la propriété grâce à ce dispositif.

Voilà pourquoi CAPIFRANCE lance les soirées Capi Accèss. Le principe : organiser une soirée lors de laquelle sera présenté le réseau, sa filière neuf et les avantages d'acheter avec CAPIFRANCE. « Il s'agit également de présenter les différents programmes et d'expliquer les solutions de financement comme le PTZ et les conditions d'éligibilité » ajoute l'experte de la filière Neuf.

Et de conclure : « Chez CAPIFRANCE l'accession concerne plus de 60 % de nos ventes. Un résultat qui s'explique justement par le temps que nous prenons à rencontrer nos futurs clients et à leurs expliquer les dispositifs auxquels ils peuvent prétendre ! ».

Pour tout savoir sur les conditions d'éligibilité au PTZ le gouvernement a lancé un site internet : http://www.pretatauxzeroplus.com/conditions-pret-taux-0+/

24 mai 2016

Décret sur les états des lieux: tout ça pour ça - Par Jean-François BUET, Président de la FNAIM

Fallait-il que paraisse le décret du 30 mars dernier, en application de la loi ALUR, sur l'état des lieux? Fallait-il que les ministres concernés apposent leur signature au bas d'un texte d'une telle pauvreté? Car il faut être honnête: la loi du 24 mars 2014 nous avait habitué à de vrais changements dans les pratiques, et on doit lui reconnaître d'avoir beaucoup fait dans le sens de la transparence ou encore de la sécurité au profit du consommateur. Rien de tel avec ce décret, d'une étonnante vacuité.

Sur les deux questions cardinales que sont la complétude et la précision d'une part, et la vétusté d'autre part, le texte réglementaire est totalement silencieux! Que dit-il alors? Des banalités sur des sujets que l'usage et le bon sens avaient traités et stabilisés. On nous rappelle ainsi que les constats d'état des lieux doivent stipuler l'adresse du bien, celles des parties et du mandataire le cas échéant ; qu'il est nécessaire qu'ils décrivent avec fidélité les pièces du logement et ses équipements - ou encore qu'il est indispensable que les documents soient datés. On apprend que les constats d'entrée et de sortie peuvent être établis sur un même document ou sur deux distincts. On nous rassure également sur le fait que la dématérialisation est admise, pour consigner sur une tablette et pour transmettre aux parties prenantes. On sait aussi désormais que des photographies peuvent venir en appui des mots.

Qu'aurait dû comporter le décret pour marquer un réel progrès et apporter plus de sérénité? Il aurait dû être didactique tant sur la terminologie à employer pour désigner les éléments des logements que sur la vétusté et la façon de l'apprécier. Pourquoi? Ou plutôt pour qui? Pour les particuliers qui gèrent eux-mêmes les locations, une transaction locative sur deux se fait sans la compétence d'un mandataire. Les professionnels y auraient aussi puisé d'utiles clarifications et de normalisations des pratiques par définition diverses. Il est évident que les organisations qui rassemblent les administrateurs de biens et les agents immobiliers n'avaient attendu ni la loi ALUR ni son décret d'application pour sécuriser les constats d'état des lieux, mais puisque le législateur avait voulu aller au-delà...il fallait y aller!

Tout ce travail du parlement, des cabinets et de l'administration pour un résultat tellement étique -sans h-, c'est-à-dire maigrelet. Une conclusion s'impose: mieux vaut recourir au savoir-faire d'un professionnel de la location et de la gestion, en outre assuré en responsabilité civile en cas d'erreur, plutôt que de rester dans l'approximation des pratiques à laquelle le décret du 30 mars ne met pas fin... Les commissions locales de conciliation, alimentées par les différends sur les états des lieux et l'estimation des déprédations locatives, relevant pour la plupart de relations sans intermédiaire professionnel, ne seront pas de sitôt en chômage technique. On peut regretter cette occasion manquée d'apaiser ce qui doit encore l'être en matière de relations locatives.

23 mai 2016

Commission de contrôle: le scandale caché de la loi ALUR ?

Il aura fallu ce viol législatif, qui privera le parlement de tout débat sur le sujet, pour que la communauté immobilière mesure l'imposture dont elle est victime. La profession a appelé de ses vœux un conseil national qui intègre des représentants des consommateurs au côté des organisations syndicales de la transaction et de la gestion, parce que des avis rendus au gouvernement sur des projets de règlementation sont mieux fondés si professionnels et utilisateurs des services les coproduisent. S'agissant de trancher les litiges entre particuliers et agents immobiliers ou administrateurs de biens, ce qui a été prévu par la loi ALUR est inacceptable et ce que tente d'y ajouter le projet de loi "Égalité et citoyenneté" est de l'ordre de l'imposture.

De quoi s'agit-il? D’un tribunal d'exception dont les décisions seront par construction orientées. Les magistrats y seront majoritaires et c'est l'un d'entre eux qui présidera l'instance. Pour autant, ils n'y représenteront pas l'appareil judiciaire, mais y siègeront pour leur compétence supposée. Les sièges restants seront partagés à parité entre des consommateurs et des professionnels n'étant plus en activité, pour éviter les conflits d'intérêts. Quel poids ces professionnels auront-ils? Arithmétiquement, il sera insignifiant. Le premier scandale réside dans ce simulacre de cour de justice spécialisée, fondée sur une équation curieusement équilibrée. On voit bien à quelle sauce les professionnels seront mangés et quel goût constant elle aura.

À cette vision perverse de la justice, le gouvernement ajoute l'imposture et l'injure: il faudrait que la collectivité des transactionnaires et des gestionnaires finance le fonctionnement de la Commission de contrôle! On s'égare: si un tribunal est un cénacle constitué de fonctionnaires, il est naturel que l'État le finance, c'est-à-dire que l'ensemble des citoyens contribue par l'impôt à faire vivre le service public. Les tribunaux sont payés par le budget de la nation. Quelles modalités de financement pour une Commission fondée sur le partenariat entre le privé et le public, avec cohabitation des consommateurs et des professionnels? Il est évident que les derniers n'ont pas à assumer le fonctionnement de ce monstre juridique. Mais la difficulté à trouver le payeur légitime ne révèle-t-elle pas que la Commission telle qu'elle a été bâtie est contre nature?

Si, bien sûr. Quelle voie désormais? La modification urgente de la loi ALUR, pour transformer cette étrange Commission de contrôle en instance professionnelle, à l'instar de ce que connaissent les professions ordinales. Il faut dire haut et fort qu'il n'y a que deux façons de juger un différend entre un professionnel et un particulier: saisir la justice ordinaire, et créer un lieu où un professionnel est jugé par ses pairs.

Une telle Commission sera salutaire. Elle en appellera à la responsabilité des professions d'agent immobilier et d'administrateur de biens, et elle fondera la confiance entre les professionnels et les consommateurs. À l'inverse, ce qui a été conçu alimente la suspicion: comment voulez-vous que le public estime des métiers et des entreprises qu'on n'a pas cru capables de se réguler, et qu'on flanque de représentants des consommateurs et de magistrats en civil ? Repenser le modèle disciplinaire de la loi ALUR est une urgence.

11% de rendement annuel proposés par WiSEED immobilier pour refinancer une opération de Corsea Promotion à Porto-Vecchio11% de rendement annuel proposés par WiSEED immobilier pour refinancer une opération de Corsea Promotion à Porto-Vecchio

Disposant d’un permis de construire entièrement purgé, Corsea Promotion a lancé la construction de la résidence « la Boétie », situé au 12 rue Giudice de Cinarca à Porto-Vecchio, en juillet 2015 avec une livraison prévue en décembre 2016.

Ce programme de 23 logements étant bien avancé, le promoteur fait appel au crowdfunding immobilier via WiSEED immobilier pour refinancer ses fonds propres afin d’être en capacité de lancer d’autres projets et poursuivre sa croissance. La plateforme de finance participative recherche 800 000 € à un taux annuel de 11%, avec une mise minimum de 1 000 €.

Un programme proposant de nombreuses garanties
Le promoteur CORSEA Promotion et la résidence « la Boétie » répondent aux critères de sélection mis en place par WiSEED immobilier afin de sécuriser au maximum l’investissement. Au-delà de la sécurité financière de l’investissement, WiSEED a sélectionné CORSEA Promotion pour son attachement à favoriser l’accession à la propriété, à la collaboration avec des fournisseurs locaux et au respect de son environnement.

Une commercialisation quasi totale. Proposée à la vente depuis décembre 2015, la résidence « la Boétie » est aujourd’hui commercialisée à 88% (20 logements vendus sur 23). Le programme a notamment su tirer parti de son éligibilité à la loi Pinel, zone A.

Garanties. Corsea Promotion signera une garantie à première demande sur le remboursement des fonds investis.

Une résidence de qualité
Construite sur une parcelle de 1 507m², la résidence « la Boétie » remplacera d’anciens immeubles qui ont été détruits. Le bâtiment, de 3 étages, totalisera 21 logements, allant du Type 1 au Type 3, deux villas sur le toit, 20 garages fermés et 11 places de stationnement extérieures.

Un promoteur reconnu. Créé en 2009, Corsea Promotion est un acteur incontournable de l’immobilier corse. Depuis 2014, le groupe a également créé une filiale en Ile-de-France. Premier constructeur de bâtiments respectant les normes BBC en Corse, Corsea Promotion réalise des programmes en accession, en déficit foncier et en démembrement de propriété.

20 mai 2016

Maisons Pierre, le meilleur de la maison individuelle pour tous !

Un accompagnement terrain…
Tout d’abord, le constructeur aide ses clients à bien définir leurs besoins pour trouver le modèle de maison qui leur conviendra le mieux, en fonction de leur mode de vie, de leur budget, mais aussi de leurs futurs projets. Côté financement, le conseiller Maisons Pierre réalise un plan de financement personnalisé, afin de pouvoir estimer leur capacité d’emprunt et d’identifier les aides de l’État auxquelles ils peuvent éventuellement prétendre (prêt à taux zéro, prêt à l’accession sociale, etc.). Enfin, il réalise des simulations et comparaisons des différentes solutions possibles pour présenter le montage financier le plus avantageux.

Puis Maisons Pierre les assiste dans la recherche d’un terrain adapté. Un choix stratégique qui doit prendre en compte de nombreux paramètres : exposition, qualité du sol, environnement… Pour cela, l’entreprise s’appuie sur un réseau étendu de partenaires fonciers et sur des études de sols certifiées.

Dès le chantier lancé, les clients sont mis en relation avec le conducteur de travaux, qui sera leur interlocuteur unique pendant toute la durée de la construction. Celui-ci leur rend compte chaque semaine de l’avancée du projet. Il organise et planifie avec les artisans partenaires les différentes étapes du chantier, afin que la maison soit achevée et livrée dans les délais impartis.

Enfin, le jour J, la remise des clés est organisée avec l’assistance d’un expert, qui leur signale tous les points importants de l’habitation et de son fonctionnement, et répond aussi à leurs éventuelles questions.

… et administratif !
Construire une maison, c’est aussi faire face à de nombreuses obligations réglementaires et financières. Là encore, le constructeur est présent aux côtés de ses clients et les soutient dans toutes leurs démarches.

Ainsi, une fois le projet validé, les services internes de Maisons Pierre prennent le relais : les gestionnaires gèrent toutes les démarches administratives en vue de l’obtention du financement, tandis que le bureau d’études se charge du dépôt du permis de construire et de l’urbanisme.

Enfin, au moment de la livraison, le constructeur s’occupe des garanties décennale et biennale obligatoires, puis assure un service après-vente pendant 10 ans.

Des gammes de maisons pour tous les styles de vie et tous les budgets !

Chez Maisons Pierre, les Français peuvent choisir la maison de leurs rêves parmi 4 gammes, plus de 25 modèles et 70 plans possibles. Chacune présente des caractéristiques esthétiques et techniques qui lui sont propres, mais toutes bénéficient du meilleur de l’innovation à des prix extrêmement compétitifs !

Gamme Home Chrysalide : qualité et accessibilité
Home Chrysalide, c’est l’alliance parfaite entre la qualité et l’accessibilité. Conçue pour offrir des espaces de vie pensés pour toute la famille, cette gamme s’adapte à tous les styles de vie avec des maisons conviviales et fonctionnelles, offrant un vrai confort au quotidien.

Modèle ALPINE À partir de 125 900 €
Existe en 2 versions de 112 et 116 m2
Tout en hauteur, cette maison spécialement conçue pour les terrains étroits offre des espaces généreux sur 3 niveaux.

Modèle ARGUS À partir de 90 900 €
Existe en 6 versions de 69 à 105 m2
Compacte et économique, cette maison de plain-pied séduit par ses volumes ouverts sur l’extérieur, pour profiter des plaisirs du jardin.

Modèle ÉVASION À partir de 123 900 €
Existe en 6 versions de 96 à 144 m2
Cette maison sobre et raffinée avec ses espaces lumineux s’adapte à toutes les configurations.

Modèle GRAND NACRE À partir de 107 900 €
Existe en 9 versions de 88 à 128 m2
Ce modèle contemporain et modulable est la maison familiale par définition, avec de beaux volumes et de nombreux rangements.

Modèle HISTOIRE À partir de 96 900 €
Existe en 5 versions de 61 à 138 m2
Cette maison est idéale pour une jeune famille qui souhaite profiter d’un espace de vie confortable, économique et modulable.

Modèle IDYLLE À partir de 126 900 €
Existe en 3 versions de 97 à 109 m2
Avec ses volumes généreux, cette maison est idéale pour une première acquisition grâce à son excellent rapport qualité/prix.

Modèle LABRY À partir de 111 900 €
Existe en 2 versions de 88 et 111 m2
Avec son architecture qui lui confère élégance et sobriété, cette maison apporte un espace de vie convivial et généreux.

Modèle NOCTUELLE À partir de 90 900 €
Existe en 6 versions de 62 à 102 m2
Combles aménageables ou combles aménagés, ce modèle laisse le choix et bénéficie d’un excellent rapport qualité/prix et une distribution bien pensée.

Modèle NOIR JASPEE À partir de 120 900 €
Existe en 2 versions de 92 et 95 m2
Cette maison agréable à vivre est idéale pour un premier achat, grâce à son aménagement fonctionnel et à son excellent rapport qualité/prix.

Modèle PERLE À partir de 104 900 €
Existe en 2 versions de 81 et 94 m2
Idéalement conçu pour les terrains étroits, ce modèle offre de beaux volumes au RDC et des espaces de nuit optimisés à l’étage.

Modèle SAGESSE À partir de 100 900 €
Existe en 3 versions de 77 à 93 m2
Les plans de cette maison ont été imaginés pour rendre son prix accessible, tout en offrant de réelles possibilités d’évolution avec ses combles aménageables.

Modèle UNIK À partir de 106 900 €
Existe en 4 versions de 97 à 118 m2
Cette maison actuelle et familiale offre un aménagement fonctionnel pour que chaque membre de la famille ait son propre espace de vie.

Gamme Confort : élégance et innovation
Équilibre idéal entre élégance et innovation, mais aussi invitation à la contemplation, cette gamme conjugue harmonieusement charme et convivialité. Elle se compose de maisons spacieuses aux finitions soignées et aux prix accessibles.

Modèle CACHEMIRE À partir de 121 000 €
Existe en 2 versions de 104 et 133 m2
Cette maison de plain-pied est à la fois actuelle et familiale. Tout est prévu pour garantir son bien-être et celui de ses proches.

Modèle CADENCE À partir de 147 900 €
Existe en 3 versions de 126 à 143 m2
Harmonie et élégance sont les maîtres mots de cette maison familiale, qui offre des volumes généreux et des finitions soignées.

Modèle CÉLESTE À partir de 136 500 €
Existe en 2 versions de 120 et 137 m2
Originale avec sa forme en V, cette maison de plain-pied offre de beaux volumes et des chambres isolées des espaces de jour.

Modèle CHRISTAL À partir de 158 300 €
Existe en 2 versions de 128 et 165 m2
Ce modèle en impose par son architecture traditionnelle et ses volumes généreux.

Modèle CIBELLE À partir de 157 300 €
Existe en 2 versions de 152 et 153 m2
Cette grande maison à étage a beaucoup d’allure avec sa façade imposante, ses finitions soignées et ses volumes intérieurs.

Modèle IDÉAL À partir de 155 200 €
Existe en 2 versions de 131 m2
Le modèle idéal offre une distribution centralisée qui facilite la circulation dans la maison entre l’espace jour et l’espace nuit.

Gamme Diane : design et modernité
Cette gamme est le signe d’un renouveau en matière d’architecture et d’art de vivre. Ces maisons aux lignes épurées jouent la carte de l’espace avec des volumes bien pensés et généreux, qui satisferont les plus exigeants.

Modèle ALLURE À partir de 125 300 €
Existe en 1 version de 109 m2
Cette maison contemporaine aux lignes pures et aux façades rythmées offre une distribution des pièces optimisée pour toute la famille.

Modèle AMBIANCE À partir de 105 600 €
Existe en 3 versions de 85 à 93 m2
Avec sa forme compacte et ses lignes pures, ce modèle propose un plan intérieur qui mise sur la sobriété et la fonctionnalité.

Modèle AMBITION À partir de 134 500 €
Existe en 2 versions de 119 m2
Cette maison résolument moderne et fonctionnelle de 119 m² répond en tous points à la RT 2012.

Modèle ATTITUDE À partir de 121 100 €
Existe en 2 versions de 93 m2
Cette maison contemporaine propose un grand espace jour de 41 m² avec de larges ouvertures vitrées offrant un ensoleillement optimal aux pièces de vie.

Modèle AUDACE À partir de 133 500 €
Existe en 1 version de 116 m2
Ce modèle à étage très moderne bénéficie d’un espace jour très lumineux, ouvert sur le jardin, grâce à de belles baies coulissantes.

Gamme Duo : performance et sécurité
La gamme Duo est dédiée à l’investissement ou à la création de patrimoine. Bénéficiant d’une distribution intelligente et de performances énergétiques excellentes, ces maisons confortables et ingénieuses sont idéales pour un achat malin !

Modèle CAPITAL PLURIEL À partir de 172 800 €
Existe en 1 version de 86 m2
Cette maison propose 2 logements individuels de 86 m² habitables, qui offrent le confort de 3 chambres, 2 salles de bains, un cellier et une cuisine ouverte sur un séjour où domine la sensation d’espace.

Modèle CAPITAL SÉLECTION À partir de 174 900 €
Existe en 1 version de 88 m2
Cette maison propose 2 logements individuels de 88 m² habitables, intégrant 3 chambres, 2 salles de bains, un cellier et une cuisine ouverte sur un séjour très bien agencé.

Modèle EXPANTIEL À partir de 125 300 €
Existe en 2 versions de 124 et 128 m2
Astucieuse dans sa conception, cette maison satisfait les familles qui souhaitent disposer d’un espace d’intimité pour loger leurs proches. Elle convient également à l’investissement locatif.

Modèle HORIZON À partir de 155 300 €
Existe en 2 versions de 79 et 107 m2
Cette maison à étage moderne et aux lignes épurées propose 2 logements individuels d’une surface habitable de 79 ou 107 m² : idéal pour une construction en ville.

19 mai 2016

Profil des emprunteurs : Objectif résidence principale

A 86 %, les emprunteurs achètent pour se loger. Les accédants plébiscitent l’ancien à près de 93% tandis que les primo-accédants renouent avec le neuf, puisqu’ils sont moins de 82% à acheter dans l’ancien. Investissement locatif et résidences secondaires stagnent.

Primo-accédant. En moyenne, il emprunte ce mois-ci un peu plus de 168 000 euros sur 233 mois (contre 176 000 euros sur 234 mois en avril). Son acquisition représente 4,86 années de revenu, contre 4,83 en avril dernier. Un capital emprunté moins élevé, mais pesant presque autant en années de revenu, voilà qui confirme bien la présence sur le marché d’acquéreurs aux ressources financières plus modestes.

Accédant. Il emprunte 185 185 euros sur 205 mois et son acquisition représente à peine plus de 4 années de revenus. Par rapport au mois précédent, à ressources constantes, les accédants empruntent 4 500 euros de moins sur une durée plus longue de 3 mois, ce qui peut laisser penser, ici aussi, à un élargissement du spectre des acquéreurs vers des ménages aux ressources plus modestes.

Investisseur. Les investissements locatifs étaient montés à 14% le mois dernier. Ils redescendent à 12% ce mois-ci. Même avec un dispositif Pinel dans le neuf prorogé jusqu’en 2017, le niveau de 15%, courant il y a encore 10 ou 15 ans, reste un objectif difficile à atteindre.

18 mai 2016

Voicimonbien présente les visites virtuelles à 360° à la Foire Internationale de Bordeaux

Grâce à un casque de réalité virtuelle, les visiteurs de la Foire Internationale de Bordeaux pourront expérimenter les atouts des visites virtuelles à 360°, technologie qui permet à la société Voicimonbien.com d’optimiser les stratégies de vente de ses clients sur internet.

Démocratiser une technologie de pointe

Réalisées à partir de photos professionnelles, les visites virtuelles à 360° sont un moyen unique de mettre en valeur n'importe quel type de bien à vendre ou à louer, dont le potentiel réel est trop rarement perceptible à travers des annonces classiques. Jusqu’alors réservées aux lieux d’exception et aux sites touristiques, ces visites sont désormais accessibles à tous grâce à la société Voicimonbien.com, qui s'appuie sur un réseau de 40 franchisés répartis en France et dans les DOM TOM.

"Avec des résultats stupéfiants en termes de délai de vente pour le vendeur et de gain de temps pour l’acheteur, qui ne se déplace plus sur la base de trois photos lui donnant une perception erronée du bien qu’il convoite", précise Michel Soulé, franchisés du réseau Voicimonbien installé à Arcachon, venu faire découvrir cette innovation au public de la Foire Internationale de Bordeaux.

Casque de réalité virtuelle

Assis sur une chaise à roulettes et équipés d’un casque de réalité virtuelle, les visiteurs de la foire pourront ainsi visiter - outre la basilique de Fourvière - une villa proche de Perpignan dont la piscine à débordement ouvre directement sur la mer Méditerranée. "Le public pourra ainsi se rendre compte des possibilités conférées par les visites virtuelles à 360°, souligne Michel Soulé, "quiconque visite ainsi cette villa a ainsi réellement la sensation qu’il va plonger dans la piscine."

Rendez-vous jusqu'à 22 mai Hall 1 - Allée B - Travée 35 - Stand 3504

Pour plus d’informations : www.voicimonbien.com

13 mai 2016

ERA Immobilier finance à 30 % une maison qui sera construite en moins de 12h pour accueillir des femmes en difficulté sociale

Organisée par La Fondation I Loge You, la 3ème édition de la « Journée Nationale de Solidarité Logement » qui se déroulera samedi 14 mai sur le parvis de l’hôtel de ville de Paris a pour objectif de construire en moins de 12h une maison de 91 m². 75 000 € sont nécessaires pour que cette maison voit le jour. Pour cela, une cagnotte sous forme de don a été ouverte pour les particuliers et les professionnels via une plate-forme de crowdfunding*.

ERA Immobilier soutient ce projet en faisant un don de 25 000 €.

Une fois finalisée la maison sera offerte à l’association Alynea et transportée dans la région lyonnaise pour combler le manque de place d’un centre d’hébergement local. Des professionnels accompagneront ces femmes dans leur vie quotidienne en leur réapprenant à vivre dans un logement et en société. Cette maison a pour objectif d’être un tremplin et d’aboutir à une réinsertion sociale.

« Le mal logement touche beaucoup trop de nos concitoyens. Tout professionnel de l’immobilier se doit d’être concerné par cette cause. Fidèle à sa solidarité dans les 35 pays où il est présent, ERA Immobilier, à travers son réseau soutient la Fondation I Loge You qui intervient de manière réaliste, non politisée, désintéressée et concrète sur le terrain. » souligne Éric ALLOUCHE Directeur Exécutif de ERA Immobilier.

De l’athlétisme à l’immobilier : l’épreuve du grand saut

Poursuivant son développement dans la région Midi Pyrénées, ERA Immobilier ouvre une nouvelle agence à Toulouse

De l’athlétisme à l’immobilier : l’épreuve du grand saut

ERA Immobilier est l’un des plus importants réseaux de franchise d’agences immobilières dans le monde. Présent dans 35 pays, il emploie plus de 32 000 collaborateurs dans plus de 2 300 agences. En Europe, le réseau est présent dans 14 pays avec 1 100 agences. Bénéficiant de l’image de professionnels exigeants que le réseau a su imposer, ERA Immobilier compte aujourd’hui plus de 380 agences ouvertes sur l’ensemble du territoire et poursuit, mois par mois, son développement.

Sur cette lancée, Nicolas Dusseaud vient d’ouvrir son agence au sein du réseau ERA Immobilier à Toulouse.

« Après des études d’athlétisme, j’ai intégré l’armée durant 5 ans. Décidé à changer de voie, je cherchais un métier de service, au contact de la clientèle, je me suis donc lancé dans l’immobilier. J’ai alors rejoint le réseau ERA en tant que négociateur. Après avoir travaillé au sein de différentes franchises immobilières j’ai réintégré définitivement ERA Immobilier en ouvrant ma propre agence. Les formations proposées, l’encadrement, l’esprit de famille qui règne dans l’entreprise sont autant de facteurs qui font la différence chez ERA.»
Située à Toulouse, l’agence ERA CROIX DE PIERRE est composée d’une équipe de 3 personnes mais prévoit de recruter de nouveaux collaborateurs. L’agence inclut dans ses prestations d’achat-vente, toute une panoplie de services concrets et originaux qui font le succès de la marque : multi-expertise, plan d’actions marketing, etc. Toujours au service de ses clients pour faire aboutir leurs projets.

ERA CROIX DE PIERRE – 169 avenue de Muret 31300 Toulouse
nicolas.dusseaud@eraimmo.fr
Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h30 et de 14h à 19h00
Le samedi ouvert sur rendez-vous



12 mai 2016

Groupe Gambetta pose le vendredi 13 mai la 1ère pierre du « Domaine des Beauprés » à Marignane

Le 13 mai prochain, Eric Le Dissès, Maire de Marignane, Conseiller Général des Bouches-du-Rhône, Norbert Fanchon, Président du Directoire du Groupe Gambetta, Richard Molinié, Directeur Général de Gambetta PACA, poseront la 1ère pierre du programme « Le Domaine des Beauprés », un programme immobilier de 4 bâtiments et 14 maisons duplex. Au total, cette opération, première menée par l’agence Gambetta de Marseille, comprendra 68 logements (47 en accession, 21 locatifs sociaux).

Marignane, 100 ans d’histoire dans l’aéronautique
Connue pour son aéroport international, Marignane se situe à équidistance de Marseille et d’Aix-en-Provence. La ville, avec ses 100 ans d’histoire dans l’aéronautique, a mis en place un ambitieux plan de préservation de son centre historique. La ville développe également ses équipements de loisirs et de services et propose de nombreuses festivités.

Un patrimoine naturel apprécié. Ville provençale, Marignane s’ouvre sur les étangs de Berre et du Bolmon avec sa plage et le cordon littoral du Jaï. Dans les terres, la ville donne accès à la colline Notre-Dame et ses 65 hectares de pinède et garrigue ou encore à la zone de la Palun, 200 hectares de marais, prairies et forêts où vivent 250 espèces d’oiseaux.

Un ensemble résidentiel aux inspirations marines
Le programme « Le Domaine des Beauprés » tient son nom du mât de beaupré, le mât majeur d’un navire. Cela ramène aux origines nautiques des lieux où sera érigée l’opération.

Une architecture contemporaine. Dessiné par le cabinet d’architectes Roccaro Architectes, les bâtiments, d’un ou deux étages, proposent de petits ensembles où les appartements sont combinés, assemblés, superposés, afin de permettre une certaine densification tout en s’approchant de l’habitat individuel. Les logements collectifs, du T2 au T4, disposent tous d’un espace extérieur (jardin, terrasse, balcon) sans vis-à-vis et chaque maison aura un jardin extérieur. Organisé de façon concentrique, le programme libère en son centre un vaste espace destiné à accueillir une aire de jeux commune et 83 places de stationnement.

Le programme « Le Domaine de Beauprés » répond à la réglementation RT 2012.

Prix et livraison. Aujourd’hui commercialisée à 76%, l’opération propose encore des T3 à partir de 204 000 €, un T4 à 255 000 € et des maisons à partir de 208 000 €. Les travaux débuteront en juin 2016 pour une livraison prévue au 1er trimestre 2018

L’UNPI & MA-RESIDENCE.FR : PARTENAIRES CONNECTÉS

L’Union Nationale des Propriétaires Immobiliers (UNPI), fédération représentant les propriétaires et copropriétaires privés sur l’ensemble du territoire, et ma-residence.fr, le 1er réseau social français d’échange et d’entraide entre voisins, ont annoncé mercredi 11 mai la signature de leur partenariat. Ce dispositif a vocation à faciliter les échanges entre les différents acteurs de l’habitat (conseils syndicaux, syndics, propriétaires et copropriétaires).

Un partenariat au service des propriétaires

Centré sur l’habitat et ouvert sur la vie de quartier, ma-residence.fr permet aux habitants d’échanger des services entre voisins (partage de savoir-faire, prêt d’objet), de découvrir et de participer à la vie de leur quartier (informations de proximité, associations, commerçants etc.) et de leur immeuble (informations pratiques, etc.). 

Un outil pour faciliter les échanges et la gestion de l’immeuble

Le dispositif sera déployé à partir de la mi-mai 2016. Il consistera en la mise à disposition de la plateforme ma-residence.fr et répondra à quatre fonctions essentielles :
  • S’informer sur la vie de son immeuble et faciliter les échanges entre gestionnaires, propriétaires et locataires (espace collaboratif privé, lien avec l’interface du gestionnaire, etc.),
  • Partager des ressources communes à l’immeuble (salle commune, véhicule partagé, etc.),
  • Dématérialiser l’information liée à l’immeuble et au logement pour la rendre plus accessible aux acteurs de l’habitat (documents du gestionnaire, etc.),
  • Renforcer l’intégration des acteurs de l’immeuble à leur vie de quartier.
« Les propriétaires immobiliers ont un défi majeur à relever : rester ancrés dans l’économie et ses mutations numériques. Nos adhérents et nos chambres locales sont à la fois soucieux et attentifs à cet ancrage. Nous les accompagnons pour qu’ils appréhendent sans difficulté ces nouvelles opportunités ; ils feront de ces mutations un atout pour l’avenir ». Jean PERRIN, Président de l’UNPI

« L’état des relations sociales au sein du logement en France le montre : la problématique du lien social commence dès l’habitat. Convaincus que le numérique peut nous aider, nous avons conçu ma-residence.fr comme une véritable plateforme d’échange et d’entraide d’ultra-proximité, afin de connecter habitants, logement et immeuble avec la vie locale. » Charles BERDUGO, Fondateur de ma-residence.fr 

A propos de l’UNPI

L’UNPI est une Fédération nationale, présidée par Jean Perrin, représentant les propriétaires et copropriétaires immobiliers privés dont elle défend les intérêts.  Elle œuvre pour la promotion du droit de propriété face à une législation virulente et une fiscalité écrasante. Interlocuteur connu, reconnu et écouté, l’UNPI à travers son réseau de 120 chambres syndicales de propriétaires est présente sur l’ensemble du territoire.                    

www.unpi.org

A propos de ma-residence.fr, le 1er réseau social de voisins en France

Start up à l’ère de l’économie du partage, ma-residence.fr s’est donnée pour vocation de renforcer le lien social de proximité. Au quotidien, le site permet à tous ceux qui participent à la vie locale de partager de l’information, d’échanger ou de s’entraider, à l’échelle de l’immeuble ou du quartier. Aujourd’hui, ce sont près de 200 000 voisins à travers l’hexagone qui utilisent ma-residence.fr et 40 000 immeubles qui sont connectés.

Dans le prolongement du site, ma-residence.fr a développé avec ses partenaires - collectivités, associations, bailleurs, syndics, promoteurs, développeurs d’applications numériques, etc. - des solutions innovantes pour rendre la ville intelligente plus humaine.

Pour en savoir plus sur ma-residence.fr : www.ma-residence.fr

11 mai 2016

Logements neufs trop chers : une affaire d’Etat !

Comment les politiques et les élus ont fait flamber les prix du foncier.

Dans sa nouvelle étude « FONCIER ET LOGEMENTS NEUFS : POURQUOI LES PRIX NE PEUVENT PAS BAISSER », Immo G Consulting révèle les causes réelles des dysfonctionnements de la production de logements neufs, tout en identifiant les responsabilités et en proposant des solutions.

L’offre de logements neufs, notoirement insuffisante en zones tendues, ne répond plus à la demande. Cette pénurie pousse les prix de vente, et les loyers, à des niveaux trop élevés pour nos concitoyens. Les promoteurs ne sont pas les principaux responsables de la cherté des prix du neuf et d’une pénurie d’offre. Il leur faut des terrains et des permis, deux éléments clés qui échappent aujourd’hui aux lois du marché car entre les mains de l’Etat et des collectivités.

La cause principale de la cherté des logements neufs est le coût du foncier, qui entre pour une part de plus en plus importante dans le prix de revient des constructions neuves (de 25 à 45% en zones tendues).

Ainsi à Boulogne-Billancourt, Levallois-Perret ou Versailles, un terrain vaut près de 10 fois le prix de celui situé à Albi, Besançon ou Valence.

La proportion démesurée du foncier dans ce prix de revient provient principalement de son accaparement par les Collectivités locales, de la façon inflationniste dont elles cèdent les droits à construire, de leurs dépenses d’équipements parfois somptuaires, de leurs sociétés d’aménagement coûteuses, des aides et subventions publiques au logement, ensemble de facteurs renchérissant in fine les prix des logements neufs de 15 à plus de 25% en zones tendues.

Parmi les solutions proposées par l’étude d’Immo G Consulting, figurent notamment :

> La création d’un observatoire foncier indépendant et transparent dont les maîtres-mots seraient « diagnostic » et « anticipation ».

> L’instauration d’une politique foncière locale envisagée sur le long terme, assurant stabilité du zonage, négociation avec les promoteurs, organisation du financement de l’aménagement, et permettant d’agir sur les différentiels de prix à travers l’agglomération.

> Conduire une politique d’aménagement avec le souci de réguler la production de terrains à bâtir au regard du taux d’absorption du marché immobilier et des besoins réels des ménages.

> Inciter à la libération du foncier non bâti, en zone tendue, par une fiscalité adaptée et pérenne.

> Développer le plafonnement des prix de sortie des programmes neufs, mis en place dans les grandes agglomérations (Marseille, Nantes, Lyon, Montpellier…) sous le label « logements abordables » ou « à prix maîtrisés ».

> Cultiver une autre vision de la ville en encourageant le développement de centralités secondaires, afin d’alléger la pression foncière sur le cœur de ville et de revaloriser les espaces en périphérie.

WiSEED Immobilier lance une levée de fonds d’1 million d’euros au taux de 10% l’an sur 18 à 24 mois

La communauté des WiSEEDers est invitée à souscrire à l’emprunt obligataire émis par le promoteur Capelli sur la plateforme de financement participatif (crowdfunding) WiSEED Immobilier. La souscription est ouverte directement sur www.wiseed.com/fr/immobilier.

Un projet à l’architecture soignée porté par un promoteur reconnu

C’est la quatrième fois que Capelli fait appel à la plateforme WiSEED Immobilier pour boucler le financement d’un programme résidentiel. Fort de cette relation de confiance, Capelli émet un nouvel emprunt obligataire de 1 000 000 euros sur une durée de 18 à 24 mois, en offrant une rémunération attractive de 10% l’an pour son programme « Les Jardins d’Amélie ».

Une relation qui perdure. Ce spécialiste de l’aménagement d’espaces de vie depuis 1976, côté en bourse, a initié sa collaboration avec WiSEED avec son programme « les Allées du Marquis», à Brie-Comte-Robert. Cette opération a été remboursée en mars 2016, avec un taux de 9% pour les investisseurs. Après ce premier succès, ont suivi « Les Terrasses Botania » à Francheville et « Les Hauts de Oberkampf » à Paris 20e, pour lequel la levée de fonds, de 1 000 000 €, a été réalisée en 1 semaine.

Un investissement sécurisé

L’immeuble de 4 étages sera édifié sur terrain de 2 596m² et comprendra 35 logements, du Type 2 au Type 4. 55 places de stationnement réparties sur trois niveaux de sous-sol viendront compléter le programme. Cette résidence ne manque pas d’atouts.

Des garanties de réussite. « Les jardins d’Amélie » a déjà l’objet d’une pré-commercialisation à 40% en quelques mois. Les logements sont destinés aussi bien aux accédants à la propriété, qu’aux investisseurs en loi Pinel. Le Plessis-Robinson étant situé en zone A bis, le loyer prévu par le dispositif de défiscalisation (16,83 euros par mois par m² en 2016) est tout proche du loyer de marché, ce qui assure à l’investisseur un bon rendement locatif.

D’autre part, le Groupe Capelli, société mère du promoteur signera une caution solidaire sur le remboursement des fonds investis via wiseed immobilier.

Une résidence de qualité. Situé au Plessis-Robinson (92350), à moins de 10 kilomètres de Paris, ce programme dispose de son permis de construire purgé de tout recours. Le cabinet d’architecte Breitman & Breitman a doté la plupart des appartements d’un prolongement sur l’extérieur sous forme de jardin, de terrasse, de loggia ou de balcon. Pour garantir les économies d’énergies, l’ensemble répond à la réglementation RT2012.

Marché secondaire des résidences services : comment reconnaître les bonnes affaires et celles à éviter ?

L’intérêt des investisseurs particuliers pour les résidences avec services (Ehpad, étudiants, tourisme…) ne se dément pas : simplicité de gestion, rendements performants, complément de revenus faiblement fiscalisés… Surtout dans un contexte d’investissement où la location meublée sous bail commercial présente un couple rendement/risque très attractif comparé aux produits d’épargne de long terme ou aux marchés actions très volatiles.

En parallèle du neuf, un marché de revente de biens dans des résidences existantes s’est développé depuis le milieu des années 2000. Ces reventes sont autant d’opportunités d’investissement pour des acheteurs. Encore faut-il savoir comment réaliser une bonne affaire sur le marché secondaire : quels sont les critères pour acheter au bon prix un bien meublé de seconde main dans une résidence services ? Quelles opportunités présentent les différents types de résidences services ? Et sur quels points être vigilant sur chacun des segments ?

Investir dans un bien meublé de seconde main
Les avantages de l’ancien. Le principe essentiel à retenir est que sous le statut du Loueur en meublé non professionnel (LMNP) il est possible de déduire les amortissements des revenus locatifs dans l’ancien comme dans le neuf. En pratique, pour le nouveau propriétaire, le compteur des amortissements est remis à zéro. En outre, l’investissement dans une résidence déjà existante permet de percevoir des revenus immédiatement avec une lisibilité sur les charges (frais de copropriété, taxe foncière…).

Critères d’investissement. Qualité du gestionnaire et du bail commercial, cohérence du prix du bien et du niveau de loyer, les principaux critères pour bien investir dans un logement meublé géré de seconde main sont les mêmes que dans le neuf.

Deux points spécifiques nécessitent cependant une attention particulière : les éventuels travaux à venir dans la résidence (coût et répartition des charges) et l’échéance du bail commercial. Si celle-ci est prévue dans les cinq années à venir, l’analyse du niveau de loyer doit être approfondie pour en évaluer la cohérence avec l’état du bien et son prix et au besoin anticiper un correctif des conditions économiques à terme.

Une affaire de spécialiste. Le recours à un professionnel est recommandé pour sécuriser l’opération tant sur le plan économique que fiscal avec un prix au meilleur des intérêts du vendeur et de l’investisseur. Point clé de la revente, la fixation du prix résulte du croisement de critères d’immobilier résidentiel (caractéristiques du bien, localisation et environnement immédiat) et d’immobilier commercial (qualité de l’exploitant et conditions du bail). Selon LB2S, les prix de revente s’échelonnaient en 2015 entre 45 000 € et 200 000 € – jusqu’à 600 000 € pour de très beaux appartements meublés en résidence de tourisme dans les grandes stations alpines – avec une moyenne à 102 000 €.

Analyse des différents segments sur le marché secondaire
Résidences EHPAD. La maturité et la lisibilité de ce marché encadré par les pouvoirs publics, conjuguées à la qualité des principaux exploitants offrent dans l’ancien, comme dans le neuf, d’excellentes perspectives. A condition toutefois d’éviter les établissements trop petits et ceux qui sont trop vétustes.

Les chambres en EHPAD étant rares à la revente, elles bénéficient d’une très bonne liquidité compte tenu des avantages de ce marché. Ces biens sont toutefois extrêmement dédiés : ils sont difficilement transformables pour un autre usage.
Les rendements vont de 4,2 à 5 % HT pour des prix entre 50 000 et 200 000 €.

Résidences étudiantes. L’augmentation croissante de la population des étudiants et de leurs besoins de logements est régulièrement mise en avant. L’emplacement géostratégique au sein d’une grande métropole est fondamental. Néanmoins, certaines surfaces sont trop chères. De plus, ce marché reste soumis au devenir des aides octroyées aux étudiants (APL).
Les rendements sont compris entre 4,4 et 4,8 % HT pour des prix entre 40 000 et 80 000 €.

Résidences de tourisme. Le marché de l’ancien propose des opportunités issues de commercialisations antérieures à la loi littorale : des meublés traditionnels bien situés et facilement recyclables. Les trois principaux points de vigilance sur ce segment sont les éventuels travaux, les prix parfois trop élevés et les échéances de bail proches.
La classe d’actifs propose des rendements performants de 5 à 6 % HT pour des prix allant de 50 000 à 200 000 € en général.

Résidences affaires. Ce marché jeune est en forte croissance et en corrélation avec la progression du tourisme urbain et professionnel depuis le début des années 2000. Les opportunités sont situées au cœur de grandes villes ou au centre de zones économiques porteuses (ex : zones aéroportuaires). Attention toutefois au risque de prix surévalués par rapport au marché. Il convient aussi d’étudier les perspectives économiques de la zone d’implantation.
Les rendements oscillent entre 5 et 7 % HT pour des prix entre 45 000 et 120 000 €.

Résidences seniors. Ce marché jeune propose des biens traditionnels adaptés pour de la location à long terme. L’emplacement en centre-ville à proximité des commerces et transports est un critère fondamental pour la pérennité de l’exploitation. Autre point de vigilance : un prix cohérent avec le marché local.
Les rendements sont compris entre 4,5 et 5 % HT pour des prix de 100 000 à 170 000 €.

Un marché secondaire en plein essor
Progression constante de l’offre… S’il n’existe pas de données consolidées sur le marché LMNP, force est de constater que le volume de biens à la revente ne cesse de croître. Cette tendance est avant tout la conséquence naturelle de la commercialisation de nombreuses résidences services ces dernières années. Plusieurs motifs de revente existent aussi bien au terme du bail commercial (réalisation du capital, réinvestissement…) qu’en cours de bail, notamment pour cause de force majeure (séparation, accident de la vie, perte d’emploi). S’ajoutent de nombreux biens arrivés au terme de leur dispositif de défiscalisation (LMP/LMNP, Besson, Demessine, Perissol). « Depuis quelques mois, la proportion de candidats propriétaires à la revente a considérablement augmenté. Ces derniers ont en effet réalisé que le marché est favorable pour optimiser la revente de leur logement », relève Alexandre TEITGEN, Directeur Général de LB2S.

… et de la demande. Les avantages de la location meublée gérée de seconde main ont amené les investisseurs à s’intéresser à ce marché au gré des opportunités croissantes. Pour référence – à défaut de données de marché officielles – les ventes enregistrées par LB2S sont en hausse continue depuis sa création en 2012. « Nos ventes sont dépendantes non pas du marché investisseur mais bien de celui des vendeurs. Ainsi nous établissons des « listes d’attente » avec un cahier des charges défini par le futur acquéreur et son conseiller et dès que nous avons le bien qui y répond, nous le mettons à disposition de l’investisseur », explique Alexandre TEITGEN.

10 mai 2016

Le marché immobilier de commerce sous tensions

Les derniers chiffres du BODACC (Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales) révèlent un secteur du commerce à la peine. A contre-courant, CAPIFRANCE enregistre des résultats en progression. Explications avec David Messica, Directeur de la filière Commerce et Entreprise du réseau CAPIFRANCE.

Les chiffres du BODACC, établis du 1er janvier au 31 décembres 2015, viennent d'être publiés. De quoi s'agit-il exactement et quels sont les résultats mis en exergue cette année ?
Le BODACC est le baromètre des ventes et cessions de fonds de commerce. Il s'agit d'une analyse annuelle reconnue par les acteurs du secteur. Or, celle-ci vient souligner une baisse de 9 % en volume et de 5 % en prix sur le dernier trimestre 2015 et révèle des résultats sur l'année plutôt mauvais. C'est le cas notamment nombre de transmissions : en 2015 un peu moins de 40 000 activités ont changé de mains, soit- 9,1 % sur un an et - 10 % à la par rapport à la moyenne de ces cinq dernières années. Le montant moyen de transactions (179 874 €) est également très bas ; c'est la première fois depuis plus de 5 ans, que les chiffres passent en dessous des 180 000 €. Enfin, le nombre de rachats de fonds de commerce est également en baisse : 39 835 contre 43 7 99 l'an dernier et plus de 48 000 en 2002.

Quelle est votre explication de ce phénomène ?
Ces résultats peuvent trouver un effet de causalité dans la progression rapide du e-commerce. Les premiers commerces à en pâtir sont d'ailleurs les commerces de proximité, de plus en plus désertés par les consommateurs. Aujourd'hui une majorité des achats se fait en ligne : habillement, décoration, loisirs créatifs voire même les achats alimentaires. Bien que de nombreux commerces cherchent à innover ou à se réinventer, il y a par ailleurs une tendance de fond qui prend de l'ampleur sur notre activité : depuis quelques années, le métier de commerçant intéresse moins. Chez CAPIFRANCE nous le vérifions également en termes de recrutement : les commerçants de plus de 50 ans, préfèrent se tourner vers une structure avec moins de charges ou se reconvertir plutôt que de reprendre un nouveau fonds de commerce.

Peut-on également penser que ce sont là les répercussions directes des attentats de janvier et de novembre ?
Aujourd'hui, les seuls commerces qui sont encore incontournables, de par leur rôle social (lieu de rencontre et d'échange) sont les brasseries /cafés / bars. Or, ces commerces sont quasiment les seuls à ne pas pouvoir être déclinés sur la toile. Mais malheureusement les événements qui se sont déroulés à Paris le 13 novembre dernier, ont particulièrement ciblés ces endroits fréquentés, et de nombreux établissements, cafés/bars y compris restaurants du 11ème arrondissement sont désormais à vendre. Et même si la probabilité que cela se reproduise au même endroit est faible, l'émotionnel a été touché. Ce climat de tension a également une incidence sur le tourisme parisien et de manière induite sur l'hôtellerie.

Quels sont justement les résultats concernant l'hôtellerie ?
Les réservations ont surtout été ralenties dans la capitale à la fin de l'année. Au global sur l'année 2015, la fréquentation des touristes étrangers en France a augmenté de 0,9 % pour atteindre 84,5 millions. Finalement, la seule tendance qui pourrait vraiment déstabiliser le marché reste le phénomène de location de particulier. Location saisonnière, Chambres d'hôtes, phénomène airbnb... beaucoup s'essayent à tirer profit d'un marché assez disparate. D'ailleurs, ce secteur pourtant à la peine (836 transactions dans le secteur de l'hébergement pour l'année 2015), intéresse de plus en plus les fonds d'investissement qui achètent de l'hôtellerie très haut de gamme. Il faut en effet savoir que c'est un placement fiscal recherché.

Malgré ce contexte, la filière commerce de CAPIFRANCE est en plein développement. Comment expliquez-vous ce décalage ?
Nous enregistrons encore cette année une belle performance : + 5 % de chiffre d'affaire acté, + 8 % en nombre de compromis signés et + 20 % en termes de recrutement. Ces résultats s'expliquent en grande partie par notre stratégie de diversification : la cession de fonds de commerce et les transactions de murs commerciaux.
Dans les facteurs clés de succès de l'activité commerce et entreprise, il faut reconnaître que le modèle CAPIFRANCE basé sur un statut d'agent indépendant correspond parfaitement au secteur de l'immobilier commercial. Il s'adresse d'ailleurs particulièrement aux commerçants ou aux chefs d'entreprise en reconversion. A cela s'ajoute l'alliance entre proximité de notre force de vente et le poids de notre actionnaire Artémis qui est un argument majeur pour tisser des liens d'affaires avec des grand enseignes nationales. D'autre part, sur le marché de l'investissement en immobilier d'entreprise, qui à l'inverse du marché du fonds de commerce est marqué par des montants moyens de transactions en forte hausse (plus de 90 % par des transactions de plus de 15 M€), notre groupe Digit RE (et à travers lui, le réseau CAPIFRANCE) est en mesure aujourd'hui de leur donner le change notamment grâce à la création d'un département Grands Comptes... Affaires à suivre...

David Messica vient d'être nommé Directeur de la filière Commerce et Entreprise du pôle immobilier Digit Re Group. Il est désormais en charge d'accompagner et de structurer le développement de cette activité pour toutes les marques du groupe et notamment pour CAPIFRANCE.
« Le réseau CAPIFRANCE est le troisième acteur national sur le marché du fonds de commerce avec près de 5 000 offres ».

Le Groupe Maisons Pierre se lance dans la construction … de son réseau de franchises !

Maisons Pierre, le constructeur de maisons individuelles de référence
Depuis 1984, Maisons Pierre accompagne ses clients et les aide à réaliser leur rêve d’accession à la propriété. Avec 5 maisons livrées par jour en moyenne, ce spécialiste de l’habitation individuelle a déjà permis à plus de 37 000 familles en France de devenir propriétaires d’une maison neuve, performante et économe en énergie, au meilleur rapport qualité/prix possible. S’appuyant sur un réseau de 350 collaborateurs et 1 500 partenaires, Maisons Pierre s’engage à chaque étape de leur projet, afin de faciliter la recherche du terrain, l’obtention du financement et du permis de construire, le suivi de construction et la livraison dans les meilleures conditions.

L’extension du réseau de franchises comme base du nouveau développement
Implanté dans 25 départements, via un réseau de 45 points de vente et 8 centres techniques, Maisons Pierre consolide aujourd’hui sa dynamique de croissance, en développant son réseau de franchises. Cette décision marque une nouvelle direction pour le groupe, qui s’est fixé comme objectif de recruter 150 franchisés d’ici 2020. Cette stratégie doit venir soutenir une demande en hausse et s’inscrit dans la lignée de sa première franchise en Normandie, comprenant déjà 6 agences.

Avec un spécialiste de la franchise, Maisons Pierre ouvre de nouveaux bureaux
Pour relever ce nouveau défi, Maisons Pierre a décidé de faire appel à l’expertise de Maurice Penaruiz, fondateur du réseau MIKIT dans les années 80, qui interviendra en qualité de conseil pour la marque. En développant pendant près de 30 ans un concept innovant de maisons « prêtes-à-finir », celui-ci a en effet su démontrer ses qualités de franchiseur avec plus de 200 adhérents et 30 000 maisons construites. Pour héberger cette nouvelle activité, Maisons Pierre prendra prochainement possession de nouveaux bureaux à Paris.

Maisons Pierre crée l’événement à La Foire de Paris
À l’occasion de La Foire de Paris, Maisons Pierre donne rendez-vous au grand public pour l’inviter à découvrir sur son stand une animation exceptionnelle : une véritable habitation de 144 m2, entièrement construite et aménagée. Bâtie en seulement 8 jours, celle-ci présentera les innovations du groupe en matière de confort de vie, de chauffage et de gestion des énergies.
Du 29 avril au 8 mai / Porte de Versailles – Pavillon 1 – Stand N067

* Article : « Devenir propriétaire : 9 jeunes sur 10 en rêvent » – seloger.com

À propos de MAISONS PIERRE

Fondée en 1984 par Pierre Jude, MAISONS PIERRE réalise la construction de maisons individuelles dans plus de 25 départements en France, grâce à un réseau de 45 points de vente et 8 centres techniques. L’entreprise couvre aujourd’hui les régions Île-de-France, Bourgogne, Centre, Champagne, Hauts de France, Normandie, Pays de la Loire, et Midi-Pyrénées. Depuis sa création, plus de 37 000 familles lui ont fait confiance.
www.maisons-pierre.com

09 mai 2016

Non à l’Internet zone de non-droit ou de passe-droits Par Jean-François BUET, Président de la FNAIM

Formidable outil de développement dans tous les domaines, Internet doit être salué comme un progrès. Ce n’est toutefois pas une raison pour traiter différemment les professionnels selon qu’ils opèrent sur la toile ou sur le terrain. Pour éviter toute distorsion de concurrence, l’Etat doit veiller à ce que tous les acteurs de la vie économique soient sur un même pied d’égalité.

C’est pourquoi la FNAIM dénonce la distorsion de concurrence qui pourrait être instaurée, dans le cadre du projet de loi pour une République numérique, entre les plateformes communautaires de location de courts séjours et les professionnels de la location de vacances.

Depuis des décennies, les agents immobiliers FNAIM spécialisés dans la location de meublés touristiques collectent la taxe de séjour au nom des propriétaires, contribuant ainsi au dynamisme de nombreuses communes de France. En 2015, ce sont ainsi plus de 10 millions d’euros qui ont été collectés grâce à eux à travers les 50 000 biens qu’ils gèrent et les quelque 512 000 familles hébergées.

Les plateformes Internet, au contraire, n’ont pas l’obligation de collecter la taxe de séjour et les loueurs qui passent par elles respectent rarement l’obligation de l’acquitter. Les amendements présentés ces derniers jours au projet de loi pour une République numérique en cours d’examen au Sénat, ne règlent pas cette inégalité de traitement. Si un pas semble être fait vers plus de transparence en termes d’enregistrement et de déclaration, la collecte reste facultative.

Ce sont autant de ressources fiscales que ne percevront pas les communes de France, des recettes pourtant nécessaires au dynamisme de la vie locale. Parallèlement, il y aura discrimination entre les consommateurs qui paient la taxe par l’intermédiaire des agents immobiliers et ceux qui ne la paient pas par le biais des plateformes.

Il existe pourtant des solutions. Amsterdam, Portland, San Francisco, notamment, ont rendu la collecte par les sites non pas facultative mais automatique. L'Allemagne vient de prendre des mesures drastiques contre les loueurs des plateformes collaboratives : amendes record de 100 000 euros, location limitée à une chambre, site de dénonciation anonyme pour les voisins...

La France doit agir elle aussi pour contrer ce phénomène grandissant de distorsion de concurrence.

04 mai 2016

Le grand retour des primo-accédants

La conjoncture est redevenue favorable aux primo-accédants. Ils représentent aujourd’hui 40% des acquéreurs (contre à peine 35% en 2015) et devraient monter à plus de 50%, voire 60% d’ici la fin de l’année. La baisse des taux d’intérêt sur les prêts de longue durée n’y est pas étrangère : sur 25 ans, les clients CAFPI empruntent à un taux fixe compris entre 1,56% et 2,20%. Ont également joué dans le bon sens le nouveau PTZ, la stabilisation des prix de vente et un retour de la confiance.

Taux toujours en baisse. Le très faible coût de l’argent auprès de la BCE incite les établissements financiers à prêter plus. Rien de tel pour attirer les clients que d’abaisser encore des taux de crédit déjà presque au plancher. Ainsi, en mai 2016, les taux fixes les plus bas négociés par CAFPI sont de 1,00% sur 10 ans, 1,15% sur 15 ans, 1,41% sur 20 ans et 1,56% sur 25 ans. Quant aux taux les plus hauts du N°1 des Courtiers, ils restent encore inférieurs, en moyenne, de près de 30 points de base (0,295%) aux taux du marché national.

Forte appétence pour l’immobilier. Avec le retour des primo-accédants, un souffle nouveau anime le marché immobilier, neuf ou ancien. Les jeunes ménages ont retrouvé le chemin des agences immobilières, des bureaux de vente des promoteurs et… des courtiers en crédit. CAFPI constate, en effet, une forte hausse des sollicitations qui, si elles ne se traduisent pas toutes immédiatement par des demandes de crédit, sont de bon présage pour les mois à venir. La dynamique née du désir d’acquisition immobilière a supplanté celle du rachat de crédit, et c’est bon signe !

Succès du PTZ 2016. Le printemps est une période propice à la recherche immobilière, mais, cette année, la motivation est encore renforcée chez les primo-accédants par le nouveau prêt à taux zéro qui rend plus simple et moins coûteux l’achat de leur premier logement. La grande nouveauté de la version 2016 du PTZ est son extension à l’ancien (sous condition de travaux). Malgré une certaine complexité du dispositif, le succès est au rendez-vous : beaucoup de jeunes ménages apprécient pouvoir acheter dans l’ancien, plus accessible et souvent mieux situé en centre-ville.

Pouvoir d’achat en hausse. En plus de banques volontiers prêteuses à faible taux, sur des durées longues et avec un faible apport personnel (de l’ordre de 10%, de quoi couvrir les « frais de notaire »), la conjoncture immobilière bénéficie aussi de la relative stabilité des prix :
- dans le neuf, l’heure est même plutôt à la détente, sous l’effet d’un redémarrage des mises en chantier qui vient abonder l’offre ;
- dans l’ancien, le gain en pouvoir d’achat atteint des sommets par rapport à 2012. Pour une mensualité de 1 000 euros sur 20 ans, il est possible d’emprunter 25% de capital en plus et, ainsi, d’acheter des m² supplémentaires : 35 m² de plus à Metz et Rouen, 18 à Marseille et Nantes, 16 à Rennes, près de 14 à Toulouse et de 13 à Lyon… Une opportunité !

Optimisation du financement. La baisse annoncée des honoraires des notaires est entrée en vigueur le 1er mai 2016. Si les ventes de très faible montant en profitent (cave, parking…), le gain sera modeste – ou nul – pour la plupart des actes. Il ne compensera même pas la hausse des droits d’enregistrement intervenue en 2014. Le potentiel d’économie est à chercher ailleurs, du côté de l’assurance décès-invalidité (ADI) qui, elle aussi se négocie. Avec, à la clé, un gain d’autant plus important que l’emprunteur est jeune et en bonne santé.

C’est une raison de plus pour recourir aux services d’un courtier, à condition toutefois qu’il apporte une vraie valeur ajoutée et ne se contente pas d’être un simple relais des demandes de prêt vers les banques. Ainsi, CAFPI apporte à ses clients une prise en charge complète de leur dossier, allant du conseil à la négociation du prêt et des garanties, en passant par l’étude du PTZ et l’accompagnement du client jusqu’à la réalisation de son acquisition.