17 mai 2006

Immobilier : Les « beaux quartiers » parisiens concentrent 90 % des ventes supérieures à 1 M€...

Communiqué de presse : Féau&Dauchez

Les « beaux quartiers » parisiens concentrent 90 % des ventes supérieures à 1 M€ et la totalité de celles supérieures à 3 M€. Au-dessus de 4 M€, les deux tiers des acquéreurs sont étrangers.

Au cours des seize derniers mois, Daniel Féau a conforté sa place de numéro 1 sur le marché parisien de l'immobilier « haut de gamme » (ventes supérieures à 1 M€). En 2005, le montant cumulé des transactions orchestrées par Daniel Féau a ainsi atteint 725 M€, en augmentation de 15% par rapport à 2004 et de 87% par rapport à 2003. La société a également vu ses parts de marché augmenter massivement, atteignant 33 % sur le segment des transactions d'un montant compris entre 2 et 4 M€, et 52 % pour les transactions d'un montant supérieur à 4 M€.

Charles-Marie Jottras, le président de Daniel Féau, dresse le bilan de l'année 2005* et du début de 2006 : « La demande soutenue a contribué à faire de 2005 une année extrêmement dynamique : le nombre des transactions supérieures à 1 M€ a, en proportion, progressé de 50% par rapport à l’ensemble des transactions opérées dans nos quartiers. »

Le marché du haut de gamme est toujours aussi concentré géographiquement : 90 % des transactions d'un montant supérieur à 1 M€ s'effectuent dans l'Ouest (8e, 16e, 17e sud, Neuilly), rive gauche ou dans le Marais (3e, 4e, 5e, 6e, 7e). En outre, plus le montant de la transaction est élevé et plus ce phénomène de concentration se vérifie : les quartiers mentionnés affichent ainsi la totalité des ventes supérieures à 3 M€.

Tout au long de l’année 2005, la demande a été soutenue par :
- des taux d'intérêt toujours très bas (sensiblement moins de 4 %)
- une clientèle étrangère d’autant plus présente que le bien proposé est luxueux : cette dernière représente les deux tiers des acheteurs pour les acquisitions dépassant 4 M€. Ironie du marché, les vendeurs de ce type de biens sont majoritairement des Français qui quittent la France.
- l’émergence d’un nouveau type d'acquéreurs : aujourd’hui, il n'est plus rare de voir des couples de 35 à 40 ans disposer d'un budget supérieur à 2,5 M€ ; appartenant aux métiers de la finance, de l'entreprise, des nouvelles technologies ou des professions libérales, ces nouveaux acquéreurs sont plus déterminés, plus « professionnels » dans leurs recherches.

De son côté, l'offre - mesurée par le stock instantané des biens à vendre - a diminué. D'une part, le stock des biens mis en vente par les particuliers décroît, phénomène contrebalancé par les ventes à la découpe. D'autre part, le stock de biens neufs demeure quasiment inexistant : moins de 48 appartements proposés dans les quartiers ouest de Paris et un seul programme à Neuilly.

Dans ce contexte, le nombre et la valeur des transactions ont augmenté dans toutes les catégories de biens d'un montant supérieur à 1 M€ sur les 12 derniers mois connus : 721 ventes ont ainsi été enregistrées dans la catégorie de 1 à 1,5 M€ (+ 44 %), 195 dans la catégorie de 1,5 à 2 M€ (+ 54 %), 98 dans la catégorie de 2 à 3 M€ (+ 38 %), 37 dans la catégorie de 3 à 4 M€ (+ 95 %), 22 dans la catégorie des biens d'un montant supérieur à 4 M€ (+ 83 %).

Pour les quatre premiers mois de l'année 2006, le nombre de transactions effectuées par Daniel Féau et Belles demeures de France s’inscrit en hausse de 18 % par rapport à la même période de l'année 2005 alors que le stock instantané est en baisse : les biens restent en vente moins longtemps, le rythme des transactions continue à accélérer.
Malgré ce dynamisme de marché, les prix tendent à se stabiliser, augmentant toujours, certes, mais à un rythme sensiblement moins soutenu que les années précédentes, hormis pour le « Grand Haussmannien », qui, lui, stagne.

D’ailleurs, l’écart entre les beaux quartiers et les autres continue à diminuer : alors qu’un acquéreur payait un appartement similaire 1,8 fois plus cher dans le 16e que dans le 10e en 2000, il ne le paye plus que 1,3 fois plus cher aujourd’hui ; le différentiel représente donc actuellement moins de 40% de ce qu’il était il y a six ans.

Féau&Dauchez en bref …

Né en 1998 de la réunion de deux cabinets comptant parmi les plus anciens de Paris, Féau&Dauchez est spécialisé dans la transaction immobilière haut de gamme et l'administration de biens.

Le Groupe, comptant 13 agences réparties dans les beaux quartiers de la capitale et de la proche banlieue Ouest, exerce six activités sous les marques Daniel Féau, Belles demeures de France, Dauchez-Administrateurs de biens et Dauchez Copropriétés : - la vente d'appartements et d'hôtels particuliers
- la commercialisation d’appartements neufs en VEFA ou en état futur de rénovation
- la vente par lot « à la découpe »
- la location d'appartements et d'hôtels particuliers
- la gérance locative de biens
- le syndic de copropriétés.

En 2005, Féau&Dauchez a réalisé un montant d’honoraires de 38 millions d’euros correspondant à :
- 1,2 milliard d’euros de biens immobiliers vendus ou loués à Paris et dans l’ouest parisien
- la gestion de 222 immeubles et 3.000 « lots diffus » pour le compte de leurs propriétaires, particuliers ou institutionnels, ce qui représente environ 6.000 locataires, et 1,2 million de m² dont 350.000 de bureaux
- 300 immeubles en Syndicat de Copropriété.


*Sources : CD-Bien et Groupe Féau&Dauchez

Contacts Presse :
Galivel & Associés - Carol Galivel / Audrey Auzolat
Tel :01 41 05 02 02
2, rue Kléber - 92309 Levallois Perret Cedex
Fax : 01 41 05 02 03
e-mail : galivel@galivel.com
Web : www.galivel.com

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